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  • Une Fermontoise publie  un livre

    Récit d’aventures

    Une Fermontoise publie un livre

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    Budget municipal 2022

    Légère augmentation de l’impôt foncier

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    Fermont et Labrador Ouest

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    Aéroport de Wabush

    Une 14 février, 2022

    Sécurité des passagers aériens compromise

Numéro_3

Une Fermontoise publie  un livre

Récit d’aventures

Une Fermontoise publie un livre

Légère augmentation de l’impôt foncier

Budget municipal 2022

Légère augmentation de l’impôt foncier

Mini convoi « de la  liberté » dans la région

Fermont et Labrador Ouest

Mini convoi « de la liberté » dans la région

Sécurité des passagers aériens compromise

Aéroport de Wabush

Une 14 février, 2022

Sécurité des passagers aériens compromise

Récit d’aventures

Une Fermontoise publie un livre

par Éric Cyr

Sur la photo, l’écrivaine lors du lancement de son premier livre.

La Fermontoise Ingrid Anderson-Aylestock a récemment publié son premier livre aux Éditions du Panthéon, Le journal d’une supervagabonde-Australie. Sa démarche littéraire, qui s’inscrit dans l’objectif de relater de façon imagée ses récits de voyage, n’a rien à voir avec un guide touristique, mais est plutôt inspirée de son vécu et de ses carnets personnels rédigés sur la route. Le premier volet se déroule au pays des kangourous et des koalas et son processus d’écriture devrait se poursuivre avec d’autres publications subséquentes. L’auteure a d’ailleurs déjà rédigé un second tome de ses aventures et effectue actuellement des démarches pour trouver un éditeur.

Nord-côtière originaire de Sept-Îles, où elle a fait le lancement de son bouquin à la bibliothèque Louis-Ange Santerre, le 29 décembre dernier, Mme Anderson-Aylestock s’est installée à Fermont en février 2021 où elle est éducatrice au CPE Le Mur-mûr en plus de travailler au restaurant pub Le Réphil et, à l’occasion, comme manœuvre pour la municipalité. Celle-ci a obtenu un diplôme d’études collégiales en Organisation nationale et internationale de voyages au collège April-Fortier à Montréal en 2017. L’année suivante, elle s’envole pour l’Ukraine afin de tourner une minisérie culinaire appelée Cuisine vagabonde. Après avoir entre autres occupé un emploi de guide touristique et suivi un cours d’anglais intensif dans la métropole québécoise, elle décide de partir en Australie à l’âge de 18 ans dans le cadre d’un voyage d’immersion afin de parfaire la langue de Shakespeare. Grâce à des recherches sur le site internet AuPairWorld, elle se déniche un emploi de fille au pair (nounou) dans la petite ville de Blackwater connue pour ses mines de charbon dans la région des Central Highlands dans l’arrière-pays au centre du territoire du Queensland. Après quatre mois au sein de cette famille, elle souhaite explorer le pays et part à sa découverte avec une auto achetée par son copain qui travaille dans les mines.

« J’ai écrit ce texte narratif, en quelque sorte un journal de bord qui contient une description du quotidien sur la route et mes expériences lors de mes déplacements, pour inciter les gens à voyager et à foncer afin de réaliser leurs rêves. Cette publication c’est une tranche de vie et mon rêve à moi », raconte celle qui a aussi été Gentil Organisateur (G.O.) au Club Med de Punta Cana en République dominicaine et qui envisage éventuellement d’animer des émissions de télévision relatives au voyage. « J’ai terminé l’écriture d’un second ouvrage, mais il n’est pas encore publié pour l’instant. Ce manuscrit relate un autre voyage que j’ai fait au Belize en Amérique centrale avec un saut à Hawaï et en Irlande. Je caresse aussi le projet d’écrire sur mon périple qui s’est déroulé aux États-Unis. Je remercie les lecteurs de leurs encouragements et les Fermontois de leur accueil. J’espère qu’ils vont aimer mes péripéties. »

L’éditeur français du bouquin de 168 pages décrit ainsi l’œuvre : « Beaucoup en rêvent, peu franchissent le pas. Prendre un aller simple, découvrir le bout du monde, expérimenter, vivre… C’est cette expérience et tout un art de vivre que partage Ingrid Anderson-Aylestock dans ce témoignage galvanisant ! »

Le livre peut être emprunté à la bibliothèque municipale de Fermont et vous pouvez contacter directement l’auteure pour l’acheter. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter le site internet supervagabonde.com et la page Facebook : Le Journal d’une Supervagabonde.

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Publié le 14 février, 2022, dans la publication : Numéro_3 Volume 40

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Publié sur le site le 14 février 2022

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Budget municipal 2022

Légère augmentation de l’impôt foncier

par Éric Cyr

Source photo : Pixabay

Dans le cadre d’une séance virtuelle qui s’est tenue sur la plateforme numérique Zoom, le 31 janvier dernier, le conseil municipal de la Ville de Fermont a déposé et adopté ses prévisions budgétaires pour l’année 2022 ainsi qu’un plan triennal d’immobilisations, ce qui n’avait pas été fait depuis six ans. Le budget, semblable à celui de 2021, est équilibré et comporte une hausse des revenus de près de 835 000 $ sur un montant total frôlant les 20 millions $.

Les taxes foncières augmenteront en moyenne de 50 $ à 250 $ pour certaines catégories d’habitations, comme des résidences qui comportent deux logements superposés (duplex) et des maisons unifamiliales, dans certains secteurs alors qu’elles diminueront légèrement dans d’autres, dont plusieurs situées dans le parc des maisons mobiles.

L’évaluation foncière des propriétés immobilières a été quelque peu modifiée en tenant compte du résumé de l’inventaire des bâtiments situés sur le territoire de la municipalité. À la suite de cet exercice, le taux d’imposition a dû être remodelé afin de ne pas trop surcharger les secteurs résidentiel et industriel. L’évaluation municipale des immeubles, qui n’avait pas changé depuis six ans à la suite d’une entente avec deux minières, qui contestaient à l’époque leurs avis d’imposition et qui ne l’ont pas fait depuis 2018, subira donc une modulation.

Selon le maire de Fermont Martin St-Laurent : « Dans le cadre de la préparation du budget 2022, le conseil municipal a d’abord pris connaissance des changements de valeur foncière en matière résidentielle, commerciale et industrielle. Un nouveau rôle d’évaluation a été déposé en octobre 2021 et il sera en vigueur pour les trois prochaines années.  Le conseil a tenu compte de ces changements pour ajuster les taux de taxes à la baisse par catégorie d’immeubles et a évalué différents scénarios pour que les avis d’imposition demeurent raisonnables. Fermont a un budget équilibré dont les sources de revenus sont partagées équitablement. Le conseil a choisi, pour assurer un bon niveau de services, d’investir dans certaines infrastructures de loisirs et de développer l’offre de logements et le développement industriel. Fermont doit maintenir et améliorer son offre de services aux familles et aux travailleurs afin de maintenir une belle qualité de vie pour tous. »

M. St-Laurent a expliqué qu’après avoir réussi à s’entendre avec les acteurs de l’industrie lourde, qui argumentaient et débattaient systématiquement au sujet de l’évaluation de leurs biens à chaque renouvellement du rôle d’évaluation, la municipalité avait opté pour conserver le statu quo pour une période de trois ans et cette entente est venue à échéance. Il faut considérer que les taxes foncières des deux grands acteurs du domaine minier représentent la part du lion des revenus municipaux puisqu’elles constituent 85 % de l’ensemble des recettes fiscales.

Avec ces nouvelles modifications, l’évaluation du secteur résidentiel se dilate en moyenne de 20 % comparativement à 15 % pour la zone industrielle. Les coffres de la Ville ont connu une diminution de 1,10 % de la taxe foncière générale et l’administration municipale a donc dû se résigner à consentir à une majoration de l’avis de cotisation à certains endroits, ce qui fait que des quartiers domiciliaires vont voir leurs taxes s’accroître tandis que d’autres, comme la majorité des maisons mobiles, vont les voir rétrécir. Il va y avoir une diminution totale de 200 000 $ des taxes résidentielles. Pour ce qui est des deux principales minières, l’une va subir un renchérissement de son imposition, tandis que l’étirement sera un peu moins prononcé pour l’autre.

Le budget déposé prévoit des revenus de 19 750 M$ et des dépenses de 19 600 M$. Parmi les sommes déboursées importantes, le département des Loisirs et de la culture cumule le plus gros montant soit 4 780 M$ suivi des transports avec 3 920 M$ et de l’administration générale avec 3 180 M$. Soulignons que 190 000 $ est accordé en aide  financière aux organismes communautaires locaux. Parmi les projets spéciaux, un nouveau roulodrome (planchodrome) de 275 000 $ sera aménagé près de la piste d’athlétisme, un montant de 350 000 $ sera réservé pour la réfection du terrain de tennis. La glissade de la piscine sera également changée et un nouveau système audiovisuel sera installé au Centre multifonctionnel.

Le budget est affiché sur le site internet de la Ville de Fermont et un exemplaire peut être obtenu à l’Hôtel de Ville.

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Publié le 14 février, 2022, dans la publication : Numéro_3 Volume 40

  • Budget municipal
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  • Impôt foncier
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Publié sur le site le 14 février 2022

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Fermont et Labrador Ouest

Mini convoi « de la liberté » dans la région

par Éric Cyr

Le convoi « de la liberté » composé principalement de camionneurs insatisfaits des mesures sanitaires imposées par le gouvernement de Justin Trudeau afin de lutter contre la pandémie de Covid-19, mais qui regroupe aussi des citoyens de tous les horizons originaires de plusieurs endroits au Canada qui affichent des revendications multiples et éclectiques et dont certains à tendance anarchiste ou religieuse, fait des adeptes partout au pays et paralyse Ottawa depuis la fin janvier où la tension monte entre les manifestants pour la plupart pacifiques, mais très bruyants, et les résidents et commerçants exaspérés du centre-ville. En lien avec ce déploiement populaire, le maire de la capitale fédérale, Jim Watson, a déclaré l’état d’urgence, le 6 février.

La région de Fermont et de l’Ouest du Labrador suit la tendance. Un cortège de véhicules tapissés de drapeaux du Canada et de slogans pour la liberté est parti de Wabush au Labrador, le 29 janvier dernier, et s’est dirigé vers Labrador City où des manifestants se sont rassemblés dans le stationnement du centre commercial Mall avant de se rendre à Fermont où la procession a aussi défilé dans les rues de la ville jusqu’au stationnement de l’aréna Daniel-Demers où la cinquantaine de participants se sont arrêtés pour scander des cris de ralliement. La cohorte motorisée a par la suite pris le chemin de la mine de fer du Mont-Wright d’ArcelorMittal avant de se disperser.

Organisateur de la Côte-Nord

Dans cette mouvance, le syndicaliste nord-côtier Bernard « Rambo » Gauthier a pris la tête d’une colonne de camionneurs québécois issue des régions qui s’est rendue, au début février, dans la capitale nationale du Québec afin de faire part de ses revendications, dans ce cas-ci aussi très variées, au gouvernement de la Coalition avenir Québec (CAQ). Le moment choisi pour ce déplacement coïncide avec un événement culturel d’envergure internationale dans la Vieille Capitale, soit le Carnaval de Québec, ce qui déplaît aux organisateurs de cet attrait touristique majeur ainsi qu’aux commerçants locaux.

Le droit de manifestation est accepté en démocratie. Il existe cependant des considérations de maintien de l’ordre et, contrairement au premier ministre du Canada, Justin Trudeau, qui a été très évasif, le premier ministre du Québec, François Legault, a été ferme et a mis en garde les manifestants en leur signifiant clairement qu’aucun écart de conduite ne serait toléré. La chaîne de routiers québécois a été dissoute, le 6 février, mais un nouveau rassemblement est prévu après le carnaval.

Liberté à tout prix

Ces manifestations de ras-le-bol d’une certaine frange de la population surviennent après deux ans de restrictions destinées à freiner la propagation du coronavirus en constante mutation imposées par les gouvernements et qui ont nécessité de nombreuses adaptations et des sacrifices importants des citoyens, des commerçants et des entreprises, mais aussi des professionnels de la santé sur la corde raide et dont l’expertise a été constamment sollicitée. Personne ne peut prédire quand ce mouvement de contestation populaire et la Covid-19 vont s’essouffler. Un certain parallèle peut cependant être fait avec ce convoi « de la liberté » et les gilets jaunes qui ont surgi avant l’apparition de la pandémie en France en ce qui a trait au message ressemblant à un pot-pourri de revendications constituant un mélange hétéroclite.

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Publié le 14 février, 2022, dans la publication : Numéro_3 Volume 40

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Aéroport de Wabush

Sécurité des passagers aériens compromise

par Éric Cyr

Le directeur du Service de prévention des incendies de Labrador City, Joe Power, critique le plan d’urgence désuet à l’aéroport régional de Wabush au Labrador qui dessert la population de l’Ouest du Labrador et de Fermont au Québec. Selon ce dernier, une situation potentiellement désastreuse survenue récemment a rudement mis à l’épreuve le plan de préparation en cas de catastrophe aérienne et remet en question l’efficacité des mesures aéroportuaires d’urgence destinées à prévenir une tragédie.

La démarche du chef des pompiers de Labrador City, qui accuse Transports Canada de parachuter ses responsabilités sur le dos des municipalités, a pour objectif d’informer les pilotes, les voyageurs et les citoyens des risques qu’ils encourent en transitant par l’aérodrome de Wabush dont les ressources ont été considérablement réduites par le ministère des Transports du Canada qui a démantelé le service local de sauvetage et de lutte contre les incendies d’aéronefs, le 7 août 2020.

Confusion totale

M. Power, qui a informé, il y a un an, le directeur de l’aéroport de Wabush de graves lacunes liées au plan d’urgence, établi en janvier 2013, et qui n’a jamais obtenu de réponse, a déclaré que l’intervention du 19 janvier 2022 survenue lors de l’atterrissage d’urgence d’un avion Beechcraft avec 17 personnes à bord aux prises avec une panne de moteur avait lamentablement échoué.

« La déclaration que Transports Canada a faite à un journaliste de Radio-Canada/CBC à la suite de cet événement indiquant que tout est sécuritaire à l’aérogare de Wabush m’inquiète grandement et me fait craindre le pire. L’intervention du service d’incendies et de sauvetage (Fire and Rescue) de Labrador City me laisse perplexe et je redoute qu’une catastrophe aérienne puisse éventuellement se produire. Je constate que les intervenants de ce terminal aérien ne sont pas aussi bien formés qu’ils devraient l’être et manquent sérieusement de préparation pour faire face à une situation d’urgence. Cette grave lacune organisationnelle s’avère très problématique et sème la confusion lors d’un déploiement des services d’urgence », explique M. Power qui dénonce le manque de communication et de coordination des instances aéroportuaires lors de ces récentes manœuvres sur le terrain qui ont aussi mobilisé les services de prévention des incendies de Wabush et de Labrador City, les policiers provinciaux de la Royal Newfoundland Constabulary, les agents de sécurité de la minière IOC, et le personnel de la Régie régionale de la santé Labrador Grenfell Health, qui se sont joints aux opérations et qui ont été pris en otage inutilement par manque d’informations précises relatives à l’incident qui aurait pu s’avérer périlleux.

À vos risques et périls

Le mécontentement des citoyens des trois localités minières de la région ainsi que de nombreux utilisateurs de ce terminal aérien n’ont pas changé la décision de Transports Canada qui a aboli les services d’urgence-incendie qui y étaient rattachés, à l’été 2020, malgré une forte opposition locale. Des professionnels du domaine croyaient alors que Transports Canada mettait la vie des passagers en danger. Le pompier Ryan Connolly, qui a travaillé au sein de cette brigade, affirmait que sa suppression mettait les passagers et les équipages atterrissant et décollant de Wabush à risque. Selon ce dernier, des professionnels spécialisés et formés dans ce genre particulier d’intervention doivent être sur place et prêts à intervenir rapidement en cas d’urgence. Il expliquait qu’il n’y a pas que dans le cas d’un écrasement d’avion que les pompiers peuvent faire toute la différence, mais aussi lorsqu’un incendie de moteur se déclare ou lors d’un déversement de carburant qui s’enflamme. Chaque seconde compte pour sauver des vies et le laps de temps d’intervention est primordial. Le type de carburant utilisé dans les avions brûle très rapidement et les flammes se comportent de façon agressive, il est donc essentiel que des pompiers soient physiquement sur les lieux et constamment sur le qui-vive afin de parer une éventuelle tragédie humaine en contrôlant les facteurs pouvant l’engendrer notamment les flammes qu’ils doivent tenter de maîtriser dès le début afin que le feu ne se propage pas aux sorties de l’appareil.

Vies humaines et statistiques

Le gouvernement fédéral indiquait à l’époque, afin de justifier le retrait du service, que le volume de passagers requis annuellement pour que les services d’incendie soient obligatoires dans une installation aéroportuaire est de 180 000 passagers et jugeait alors que ce seuil ne serait pas atteint à Wabush selon ses calculs contestés par les élus locaux. Il n’y aurait donc, selon Ottawa, aucune obligation réglementaire de fournir ce service. À la suite du témoignage de M. Power, un porte-parole de Transports Canada a indiqué que le plan d’intervention d’urgence de l’aéroport local subit actuellement une mise à jour qui sera transmise aux personnes concernées une fois le processus complété. Depuis l’abolition du service de sauvetage et d’incendies de l’aéroport, au moins deux autres incidents, liés au train d’atterrissage d’avions qui ne voulait pas se déployer, auraient pu avoir des conséquences désastreuses.

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Publié le 14 février, 2022, dans la publication : Numéro_3 Volume 40

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Publié sur le site le 14 février 2022

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