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  • De l’Afrique au Québec

    Une histoire s’écrit

    De l’Afrique au Québec

  • Un spinothon fort populaire

    Activité physique

    Un spinothon fort populaire

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    Désenclavement du territoire

    La grogne s’amplifie sur la Côte-Nord

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    Désenclavement de la Côte-Nord

    Une 17 février, 2020

    Le gouvernement Legault fait la sourde oreille

Numéro_03

De l’Afrique au Québec

Une histoire s’écrit

De l’Afrique au Québec

Un spinothon fort populaire

Activité physique

Un spinothon fort populaire

La grogne s’amplifie sur la Côte-Nord

Désenclavement du territoire

La grogne s’amplifie sur la Côte-Nord

Le gouvernement Legault fait  la sourde oreille

Désenclavement de la Côte-Nord

Une 17 février, 2020

Le gouvernement Legault fait la sourde oreille

Une histoire s’écrit

De l’Afrique au Québec

par Éric Cyr

Originaire du Cameroun en Afrique centrale, où il a connu sa femme Josée, Guy Kouam a déménagé à Fermont sur la Côte-Nord avec sa famille en août 2018 afin de travailler dans l’industrie minière après avoir fait de hautes études, décroché un doctorat et fondé une entreprise.

Le parcours du père de trois enfants, tous nés au Québec, est impressionnant. Après avoir obtenu un baccalauréat en géologie de l’université de Dschang dans son pays natal, il complète une maîtrise en sciences de la terre au même établissement avant d’entamer un programme de troisième cycle (DEA) en sciences géotechniques et hydrotechniques à l’université de Yaoundé. Son mémoire de DEA « Contribution à l’étude de vulnérabilité des nappes superficielles en zone urbaine tropicale : cas du bassin versant de Mingoa-Yaoundé » a remporté le prix de la coopération belge au développement en 2004. Il transmet par la suite ses connaissances en géologie en tant que moniteur chargé des travaux pratiques et des travaux dirigés dans les deux universités. C’est en 2008 qu’il quitte le Cameroun pour la Belgique en Europe où il termine un master complémentaire en sciences et gestion de l’environnement dans les pays en développement suivi d’un doctorat en environnement à l’université de Liège au campus d’Arlon en Région wallonne. Toujours prêt à relever des défis, Guy Kouam part pour le Québec en 2011. Il fait d’abord des allers-retours entre la Belgique et le Québec pour ses travaux de recherche avant de s’établir dans la belle province de façon définitive en 2013. Sa thèse de doctorat a obtenu le prix de la Fondation pour les générations futures en 2015 (Doctoral Thesis Award for Future Generations). En 2014, il s’inscrit au baccalauréat en génie des mines à Polytechnique Montréal, dont deux sessions se déroulent à l’université McGill, et obtient son diplôme à l’automne 2017.

Dorénavant membre de l’ordre des ingénieurs du Canada, en tant qu’ingénieur « junior » et de l’ordre des géologues du Canada à titre de géologue, Guy Kouam lance sa propre boîte dénommée EnviroGéoMines et décroche un contrat pour la mine de diamants Stornoway au nord de Chibougamau dans la région de la Baie-James. Souhaitant un mode de vie plus stable, il délaisse finalement la formule du travail aéroporté semi-nomade pour s’installer à Fermont avec sa famille en août 2018, où ils habitent depuis. Guy Kouam occupe actuellement le poste d’ingénieur junior chargé de la production à la mine de fer du Mont-Wright d’ArcelorMittal et sa femme, qui a démissionné d’un poste permanent de secrétaire médicale au dispensaire diététique de Montréal pour le suivre, est à l’emploi d’Échafaudage industriel.

« Je vais à la rencontre des gens pour m’intégrer et être à l’aise. C’est à moi de m’adapter. Je veux m’investir dans la vie de la communauté. Malgré un cas isolé de racisme à l’école qui s’est vite résorbé, mes enfants sont bien ici, ils ont de bons enseignants, font du judo, de la natation, du patinage. Selon moi, il faudrait cependant songer à revitaliser Fermont pour assurer sa pérennité en diversifiant l’activité économique », confie celui qui s’est visiblement très bien intégré à sa nouvelle culture.

Le pompier à temps partiel à la caserne 12 de Fermont, depuis septembre dernier, suit actuellement des cours de l’École nationale des pompiers du Québec dispensés sur place. Il s’implique également tous les dimanches au club de soccer local, est marguiller à l’Église catholique et va poser des collets de trappe en forêt à l’occasion avec des amis. Comme tout bon Fermontois, il s’insurge contre la route 389. « La première fois que j’ai emprunté ce lien routier avec ma famille, j’ai été stupéfait de rouler sur un chemin non bituminé au Québec. L’état de cette route est lamentable, ce qui amplifie son caractère accidentogène. On est en droit de se demander à quoi servent les taxes élevées qui nous sont imposées. »

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Publié le 17 février, 2020, dans la publication : Numéro_03 Volume 38

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  • Guy Kouam
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Publié sur le site le 17 février 2020

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Activité physique

Un spinothon fort populaire

par Éric Cyr

La deuxième édition du spinothon de Fermont au profit de l’école Des Découvertes et de la polyvalente Horizon-Blanc, s’est déroulée dans le local de l’ancien club de boxe chinoise dans le Centre L.-J. Patterson, le 8 février dernier, de concert avec la Sûreté du Québec qui a instauré cette manifestation sportive l’an passé et qui orchestrait l’activité à nouveau cette année avec l’aide précieuse de l’organisatrice principale Geneviève Turcotte qui a repris le flambeau.

Un total de 145 citoyens regroupés au sein de 26 équipes a pris part à cet événement unique qui s’est échelonné sur une période de douze heures consécutives. Des athlètes énergiques se sont relayés en enfourchant un vélo stationnaire et en pédalant sur place à tour de rôle au son d’une musique entraînante. L’inépuisable Gabriel Bourgeois a pédalé durant tout ce temps donnant un exemple inspirant de motivation à la jeunesse à l’aube de la semaine de la persévérance scolaire qui se tiendra du 17 au 21 février. Le rassemblement sportif était animé par la radio locale CFMF 103,1.

Succès retentissant

Les policiers du poste principal de la Sûreté du Québec dans la MRC de Caniapiscau ont travaillé fort pour renouveler l’expérience qui a permis d’amasser des dons totalisant 4 130 $. Ce montant, qui sera remis à l’école Des Découvertes et à la polyvalente Horizon-Blanc, permettra de faire bouger les jeunes selon la directrice des deux institutions d’enseignement, Marie-Josée Murray, qui souligne que ce partenariat avec la Sûreté du Québec et cet apport pécuniaire sont très appréciés.

« Je remercie au nom des deux écoles la population qui, grâce à sa participation, fait de cette campagne de financement une véritable réussite. »

Le défi de cardiovélo a d’ailleurs incité de nombreuses personnes, qui ne se considèrent pas nécessairement comme des sportifs, à bouger et à faire de l’exercice physique pour une bonne cause. Les participants ont pu faire d’une pierre deux coups, soit de se maintenir en forme tout en contribuant à amasser une somme d’argent qui aidera les élèves fermontois.

Cet événement rassembleur a aussi permis aux membres de la Sûreté du Québec de fraterniser avec le public dans une ambiance agréable et décontractée. Les participants sont unanimes pour dire que cette expérience fut une grande réussite et que cette action devrait être renouvelée lors d’un troisième épisode l’an prochain. Le responsable du poste de police de Fermont, le sergent Daniel Turgeon, est très fier de l’engagement communautaire et social de ses collègues : « C’est une bonne occasion pour les policiers de se rapprocher de la population et de tisser des liens tout en encourageant de saines habitudes de vie et en appuyant des projets locaux d’importance. » L’instigateur de cette initiative, l’agent Martin Thiffault, est heureux de constater que sa pérennité semble assurée : « C’est un plaisir de voir que Geneviève Turcotte a reproduit l’activité qui devrait, je l’espère, faire partie des mœurs à Fermont encore longtemps. C’était l’un des principaux objectifs lors de sa création et je suis très satisfait que le milieu ait sa survie à coeur. »

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Publié le 17 février, 2020, dans la publication : Numéro_03 Volume 38

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  • Vélo stationnaire

Publié sur le site le 17 février 2020

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Désenclavement du territoire

La grogne s’amplifie sur la Côte-Nord

par Éric Cyr

Source photo : CSN

Alors que l’isolement était de plus en plus marqué au début février en Basse-Côte-Nord, qui est recluse en moyenne plus de 300 jours par année; route 138 inachevée, service maritime interrompu pour la saison, Route blanche pour les déplacements à motoneige fermée à cause des conditions météo, retards et annulations de vols aériens, la Coalition Union 138 et la Société du Pont sur le Saguenay passent à nouveau à l’action pour faire valoir l’urgence d’agir dans le dossier du désenclavement de la Côte-Nord.

Peu après la sortie des membres de l’alliance nord-côtière qui se sont invités aux bureaux de la direction des grands projets du ministère des Transports à Québec pour réclamer une rencontre extraordinaire avec le premier ministre, François Legault, à ce sujet considéré prioritaire, un autre rassemblement pacifique s’est tenu cette fois à Baie-Comeau en face de l’édifice administratif de Transports Québec sur la Côte-Nord, le 4 février dernier. Le fer de lance du mouvement, qui compte déjà en son sein la totalité des élus nord-côtiers des trois paliers de gouvernement et les chefs autochtones innus, récolte également de très nombreux appuis auprès de la population. En plus des représentants politiques et des citoyens, plusieurs groupes sont venus épauler la démarche dont l’importance hiérarchique fait l’unanimité notamment des délégués syndicaux et un regroupement de plusieurs propriétaires de camions et d’équipements lourds.

Faux fuyants aux gouvernements

Le message des élus nord-côtiers et des chefs innus est clair. Ils réclament un échéancier détaillé pour le prolongement de la route 138 et son parachèvement jusqu’à Blanc-Sablon ainsi que la reprise d’études reliées aux coûts de construction d’un pont à l’embouchure de la rivière Saguenay. Selon la Coalition Union 138 qui souhaite véritablement relier la Côte-Nord à l’ensemble du Québec : « Le ministre des Transports du Québec, François Bonnardel, doit rapidement ordonner la reprise des travaux du bureau de projet pour le pont sur le Saguenay de qui relève l’étude de faisabilité pour sa construction. Il doit également nous doter d’un échéancier précis pour la poursuite de la route 138 à l’est de Kegaska. Il est grand temps qu’il arrête de tergiverser sur ce dossier. »

Un porte-parole de l’organisation qui milite pour le désentravement nord-côtier, Guillaume Tremblay, explique : « Après avoir fait plusieurs demandes de rencontre et des démarches politiques de toutes sortes, nous sommes toujours en attente d’une réponse concrète du gouvernement de la Coalition avenir Québec (CAQ). Notre patience a des limites. Ce manque de considération et l’inaction de monsieur Bonnardel et du ministre responsable de la région, Jonathan Julien, ne nous laissent pas le choix de nous mobiliser et nous continuerons de le faire jusqu’à ce que nous soyons entendus. Soyez assurés que nous ne reculerons pas sur cet enjeu qui fait consensus et qui est prioritaire pour les citoyens de la Côte-Nord. Les actions se poursuivront jusqu’à l’obtention de réponses satisfaisantes et d’un plan concret pour réellement et concrètement intégrer la Côte-Nord au reste du Québec. »

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Publié le 17 février, 2020, dans la publication : Numéro_03 Volume 38

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  • Élus nord-côtiers
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  • Route 138
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Publié sur le site le 17 février 2020

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Désenclavement de la Côte-Nord

Le gouvernement Legault fait la sourde oreille

par Éric Cyr

Source photo : Dean Andrew-King

Le mécontentement est de plus en plus marqué sur la Côte-Nord dont les revendications légitimes en matière de transport semblent relayées aux oubliettes par le gouvernement de la Coalition avenir Québec (CAQ) tout comme elles le furent par les gouvernements successifs précédents tant à Québec qu’à Ottawa. Sauf qu’aujourd’hui tous les élus de cette région, de tous les paliers de gouvernement, incluant les chefs autochtones innus, s’entendent à l’unanimité sur l’importance et l’urgence de rompre son isolement une bonne fois pour toutes, ce qui pourrait faire entrave à l’indifférence caquiste.

Les astres s’alignent

Après plus d’un demi-siècle de tergiversation, le message des élus nord-côtiers et des intervenants du milieu socio-économique, qui trouve écho auprès de l’ensemble des citoyens de ce vaste territoire, est dorénavant clair et sans équivoque : le désenclavement de la Côte-Nord est la priorité absolue. Les dossiers du parachèvement de la route 138 jusqu’à Blanc-Sablon et de la construction d’un pont à l’embouchure de la rivière Saguenay sont à l’avant-scène suivis de celui de la réfection de la route nationale 389, qui fait aussi partie de ce dossier d’envergure qui suscite les passions. Le gouvernement Legault a bien annoncé de façon très discrète qu’il priorisait le prolongement de la route 138 jusqu’à Blanc-Sablon, mais les élus sont de plus en plus perplexes quant à la réelle volonté de celui-ci, malgré une motion unanime adoptée par l’Assemblée nationale à Québec pour obtenir un échéancier pour l’ensemble des tronçons à compléter. Même chose du côté du pont sur le Saguenay à la hauteur de Tadoussac/Baie-Sainte-Catherine, pour lequel un bureau de projet avait été mis en place par le gouvernement précédent et qui semble réduit au silence depuis environ un an.

À l’unisson avant les tensions

Littéralement pris en otage, les Nord-Côtiers sont de plus en plus hargneux face aux décideurs politiques au pouvoir qui ignorent leurs aspirations. Les frustrations au sujet du désenclavement de la Côte-Nord, incluant la Basse-Côte-Nord, ne datent pas d’hier et ont été la source de plusieurs initiatives et impulsions récentes notamment la formation d’un front commun historique. Un mouvement civil a aussi vu le jour; la Coalition Union 138 qui milite pour le désenclavement de la Côte-Nord et vient en appui aux élus fédéraux, provinciaux et municipaux ainsi qu’aux chefs autochtones innus de ce territoire. Les maires des plus grandes villes du Labrador ont joint le mouvement et entretiennent des liens de plus en plus serrés avec ceux de la Côte-Nord. Lentement mais sûrement, le soutien se fait de plus en plus nombreux à l’extérieur de la région. Un premier appui est venu des 27 cités régionales du Québec regroupées sous l’Union des municipalités du Québec (UMQ). Sont venus ensuite les appuis des conseils d’administration de l’UMQ et de la Fédération québécoise des municipalités (FQM) et plus récemment celui des instances provinciales de la Confédération des syndicats nationaux (CSN). Rappelons qu’une importante délégation nord-côtière s’est déplacée à Ottawa puis à Québec l’an passé afin de réclamer l’implication de nos gouvernements provincial et fédéral dans le dossier du désenclavement.

Lors de la visite du ministre du cabinet Trudeau, François-Philippe Champagne, à Sept-Îles en janvier 2019, ce sont des représentants de deux provinces et de trois cultures ayant les mêmes visées qui livraient un message fort à l’élu fédéral. Les maires labradoriens appuient la démarche qui permettrait par ricochet de faciliter l’accès au Labrador, lequel sera le cas échéant, relié en boucle en passant par les routes 510, 500 et 389 qui forment la Trans-Québec-Labrador. Pour la première fois, des ambassadeurs autochtones et allochtones de la Côte-Nord étaient côte à côte pour faire valoir leurs réclamations, du jamais vu.

Les précurseurs

La Coalition Union 138 et la Société du Pont sur le Saguenay ont décidé d’unir leurs forces dans ce dossier et de soutenir les élus dans leur démarche. Les deux organisations ont formé une alliance stratégique qui a occupé les bureaux de la direction des grands projets du ministère des Transports à Québec, le 13 décembre dernier, afin de demander une rencontre d’urgence avec le premier ministre québécois, François Legault, au sujet du désenclavement. Devant l’absence d’une réponse favorable, les délégués de cette cohorte nord-côtière ont donc récidivé, le 4 février, après avoir lancé une invitation à la population, cette fois-ci devant les bureaux de Transports Québec à Baie-Comeau où une foule de plus de 200 manifestants s’est rassemblée. Les organisateurs du regroupement promettent d’autres sorties publiques. La question que tous se posent : comment un gouvernement peut-il faire abstraction à ce point de la priorité ultime de toute une région ? Une région qui semble bien décidée à briser une fois pour toutes ce cercle vicieux qui la prive de son développement.

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Publié le 17 février, 2020, dans la publication : Numéro_03 Volume 38

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Publié sur le site le 17 février 2020

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