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  • Déclin dramatique de l’espèce

    Les caribous survivront-ils ?

    Déclin dramatique de l’espèce

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    Covid-19

    Une 17 janvier, 2022

    Propagation et confusion

Numéro_1

Déclin dramatique de l’espèce

Les caribous survivront-ils ?

Déclin dramatique de l’espèce

Un généreux don de 2500 $

Cancer Fermont

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Comptoir alimentaire

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Propagation et  confusion

Covid-19

Une 17 janvier, 2022

Propagation et confusion

Les caribous survivront-ils ?

Déclin dramatique de l’espèce

par Bernard Jolicoeur

source photo : Donald Poirier

La baisse des populations de caribous au Québec est aussi alarmante que généralisée. Précisons que tous les caribous du Québec sont des caribous des bois et qu’on emploie le terme « écotypes » pour distinguer les populations du Grand Nord qui effectuent de très longues migrations comme les troupeaux de la rivière George et de la rivière aux Feuilles, au Nunavik, comparé aux petits troupeaux qui migrent moins ou très peu comme celui de Manicouagan, de Val-d’Or, de la Gaspésie ou de Charlevoix.

Pour mieux comprendre ce qui se produit actuellement, il importe de considérer l’avis des biologistes et des chercheurs indépendants qui étudient ces populations de caribous depuis des décennies et de se méfier des bobards répandus par tous ceux qui ont des intérêts financiers dans l’affaire : producteurs forestiers, pourvoyeurs et même les ministères qui gèrent les ressources forestières et la faune. En effet, le gouvernement actuel est loin de se distinguer en matière d’environnement et de gestion de nos ressources, c’est le moins que l’on puisse dire.

Comme toute espèce animale, les caribous dépendent d’un habitat qui doit être en mesure de les nourrir et de les abriter, mais celui-ci est partagé par nombre d’autres espèces dont certaines les influencent peu (oiseaux et amphibiens par exemple) alors que d’autres exerceront une influence non négligeable (insectes parasites, mammifères prédateurs, virus et bactéries responsables de certaines pathologies, etc.). Toutes ces espèces sont interreliées et, dans des circonstances normales, l’équilibre naturel fait en sorte que les composantes de l’écosystème survivront à long terme bien que leur nombre puisse varier cycliquement. De manière très simplifiée, les herbivores accroissent leurs effectifs quand la végétation abonde et, à partir d’un certain seuil, la flore ne suffit plus à nourrir tous ces individus, les petits ont un poids moindre à la naissance, le lait maternel devient moins riche, etc., et malheureusement, au lieu de diminuer progressivement, les populations d’herbivores s’écroulent abruptement comme nous l’avons observé avec le troupeau de la rivière George au début des années 2000.  Peu à peu, la végétation reprend du poil de la bête et les populations d’herbivores se rétablissent. Quant aux prédateurs, leurs populations s’ajustent aussi de façon cyclique aux variations de population de leurs proies.

Nous avons eu droit à toutes sortes d’explications farfelues en marge de cet écrasement du caribou qui était pourtant prévisible. C’était la faute des pourvoyeurs qui détournaient la migration en utilisant des hydravions, c’était la faute des chasseurs de trophées qui prélevaient tous les grands mâles laissant les femelles penaudes lors de la reproduction, c’était Hydro-Québec à cause de sa mauvaise gestion des barrages, etc. Tout cela est ridicule et si l’on se donnait la peine de regarder un peu plus loin dans le temps, il y a aussi eu un déclin de la population du troupeau de la rivière George dans les années 1940, bien avant les raisons peu crédibles évoquées pour tenter d’expliquer le phénomène actuel. Des épisodes de famine et de nombreux décès chez les Inuits sont rapportés par les historiens à cette époque.  Et si les caribous avaient un cycle de 60 ou 70 ans par exemple, comparativement à celui bien connu du lièvre qui a un cycle de 9 ou 10 ans, ce qui est bien documenté ? Pouvons-nous espérer que les caribous du Grand Nord reviendront hanter l’excellent habitat hivernal que constitue la taïga juste au nord de Fermont ?  Malgré une augmentation encourageante du nombre des caribous du troupeau de la rivière George ces dernières années, rien n’est moins certain si l’on tient compte d’une nouvelle donnée dans l’équation, le fameux réchauffement planétaire. Comment réagiront les plantes de la toundra, les lichens en particulier dont les caribous dépendent de façon directe ?  Bien adapté au grand froid, le lichen pourrait-il survivre à des épisodes de pluie verglaçante par exemple ?  Bien malin qui pourrait y répondre.  Croisons-nous les doigts, allumons des lampions, mais surtout, suivons les publications des chercheurs chevronnés.

Quant aux populations situées plus au sud, je pense que malheureusement les carottes sont cuites. Le « troupeau » de Val-d’Or est réduit à sept individus que l’on a confinés dans un enclos en espérant des jours meilleurs où ils se repeupleront et pourront être rendus à la nature. Ouf… Trop peu trop tard… Il aurait mieux valu écouter les experts qui, depuis des décennies, ont décrié les pratiques d’exploitation forestière qui ont ruiné l’habitat de ces bêtes. En clair, l’exploitation forestière élimine des forêts de conifères matures qui sont remplacées par de jeunes forêts de transition qui conviennent davantage à l’orignal qu’au caribou. De surcroît, les prédateurs, les loups notamment, utiliseront les chemins forestiers comme de véritables autoroutes pour poursuivre plus efficacement non seulement les orignaux, mais aussi les caribous forestiers.

En Gaspésie, la vingtaine de caribous qui vivotent sur les sommets des montagnes sont dans une situation bien particulière.  En effet, ils effectuent une migration en altitude plutôt que nord-sud. Sur les sommets dégarnis, ça va toujours, mais dès qu’ils descendent des montagnes pour gagner le milieu forestier, la prédation des jeunes par l’ours noir et réchauffement climatique aidant, par le coyote, viennent compliquer la donne. Là aussi, on prévoit de mettre en enclos le peu de bêtes qui survivent à ce jour.

Dans Charlevoix, les caribous avaient complètement disparu et ils ont été réintroduits dans les années 1970. Ce sont les rejetons de bêtes capturées dans le Grand Nord et élevées en enclos que l’on avait ensuite libérés dans la nature. L’habitat est adéquat et rappelle celui du nord du réservoir Manicouagan, mais une combinaison de facteurs incluant la présence de l’ours noir, du loup et malheureusement de braconnage endémique depuis des générations a laissé bien peu de chance à cette harde dont les derniers représentants doivent aussi être mis en enclos d’ici un an. Là aussi, les pratiques forestières défavorables sont pointées du doigt.

Reste le troupeau du réservoir Manicouagan.  Ce sont les quelques caribous que nous apercevons de temps à autre en été dans le secteur de Gagnon ou du réservoir Manicouagan durant la chasse à l’orignal en septembre et en octobre. Ces animaux occupent des territoires de plusieurs centaines de kilomètres carrés et ont absolument besoin de vastes étendues de forêt coniférienne non altérée comme on en retrouve dans le nord de Manic-V jusqu’au nord de Fermont et dans une partie du Labrador. Là où le bât blesse, c’est que ces caribous sont extrêmement sensibles au moindre dérangement du milieu forestier, des aires de coupe ou même un simple chemin forestier que l’on aménage suffisent à perturber leurs déplacements. Pour compliquer encore un peu la problématique, de vastes superficies d’habitat idéal ont été détruites par des feux de forêt dans un passé récent. Pour toutes ces raisons, je ne suis pas très optimiste quant à la pérennité de cette harde non plus.

Espérons seulement qu’à l’avenir, nos décideurs écouteront davantage les avis des experts indépendants qui étudient le caribou depuis de nombreuses années plutôt que d’être à la remorque des souhaits de l’industrie forestière. Or, force est de constater que le gouvernement actuel ne fait que noyer le poisson en proposant encore et encore des études, en créant une « commission indépendante » qui devrait accoucher d’un plan de rétablissement en 2023 alors que les causes du déclin du caribou forestier sont bien connues : de mauvaises pratiques d’exploitation forestière qui persistent depuis des décennies.

Pour mieux vous en convaincre, pour employer une expression à la mode « faites vos recherches ».
Lisez simplement les articles rédigés par le journaliste Philippe Mercure depuis 2019 dans La Presse et vous aurez, témoignages d’experts à l’appui, un excellent portrait de la situation quant à la véritable cause du déclin du caribou forestier : une exploitation forestière mal gérée par le ministère de la Forêt, de la Faune et des Parcs.

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Publié le 17 janvier, 2022, dans la publication : Numéro_1 Volume 40

  • Bernard Jolicoeur
  • Biologie
  • Caribou
  • Cervidé
  • Écologie
  • Environnement
  • Espèce menacée
  • MRNF
  • Québec
  • Renne

Publié sur le site le 17 janvier 2022

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Cancer Fermont

Un généreux don de 2500 $

par Éric Cyr

Légende photo : De gauche à droite sur la photo : Denis Grenier, Sophie D’Astous, Guy Simard de Distribution Choco, le petit fils à M. Grenier, Jérémy Grenier-Malenfant et Caroline Boudreau.

La buanderie de la Caniapiscau a fait une belle contribution à Cancer Fermont, en décembre dernier, en offrant un montant de 2000 $ à l’œuvre de bienfaisance ainsi que cinq boîtes d’aliments surgelés achetées à Distribution Choco, d’une valeur de 100 $ chacune, afin de les distribuer aux personnes locales atteintes du cancer dans le cadre de la tournée du temps des Fêtes de l’organisme caritatif.

Selon la propriétaire du service de nettoyage récemment implanté à Fermont, qui a pignon sur rue dans le parc industriel, Sophie D’Astous, cette initiative altruiste s’avérait naturelle afin de soutenir cette mission importante dans la collectivité au sein de laquelle elle fait des affaires.

« Nous tenons à remercier nos partenaires qui ont cru en nous depuis l’implantation de la buanderie. Merci aux entrepreneurs de Fermont et du Labrador qui nous soutiennent et qui encouragent les organismes et l’économie d’ici. C’est grâce à vous si nous avons pu redonner afin d’aider les personnes dans le besoin dans la communauté. Nous avons l’intention de répéter annuellement ce geste, car cette cause nous tient particulièrement à cœur. »

Donner au suivant

Le président fondateur de Cancer Fermont, Denis Grenier, est très heureux de cet élan de générosité qui contribue au maintien des services offerts par l’organisation. Mme D’Astous invite les entreprises et commerces de la région à appuyer le mandat de Cancer Fermont et tient à souligner le travail exceptionnel des bénévoles qui assurent sa pérennité et en particulier celui de M. Grenier et de son adjointe Caroline Boudreau, mais aussi celui de tous ceux qui contribuent à son rayonnement et à sa réussite. « Félicitations pour votre dévouement et votre persévérance. Moi et mon conjoint sommes constamment impressionnés par les résultats remarquables obtenus par cette association qui vient en aide de façon concrète et avec une approche flexible aux besoins exprimés par les personnes atteintes du cancer et à ceux de leurs familles. Vous jouez un rôle crucial à Fermont en favorisant l’allègement des contraintes administratives relatives à la maladie et en réduisant le stress financier imposé par cet état. Merci d’aider votre prochain en facilitant la vie aux personnes qui luttent courageusement contre le cancer. Bonne continuité à Cancer Fermont et prompt rétablissement à sa clientèle. »

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Publié le 17 janvier, 2022, dans la publication : Numéro_1 Volume 40

  • Buanderie de la Caniapiscau
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  • Cause sociale
  • Communautaire
  • Fermont
  • Mécénat
  • Oeuvre de bienfaisance
  • Organisme caritatif
  • Sophie D'Astous

Publié sur le site le 17 janvier 2022

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Comptoir alimentaire

Don de 30 000 $ de Rio Tinto IOC

par Éric Cyr

Source photo : IOC

La minière Rio Tinto IOC a fait un don de 30 000 $ au regroupement interconfessionnel Labrador West Ministerial Association, qui administre la banque alimentaire de l’Ouest du Labrador située au 610, Hudson Drive à Labrador City, le 21 décembre dernier. Ce comptoir alimentaire vient en aide aux plus démunis de la région lorsqu’ils ont besoin d’un dépannage alimentaire et de denrées de première nécessité.

Générosité et solidarité

Chaque année pendant la période des Fêtes, de nombreux employés d’IOC participent à une collecte destinée à garnir les paniers de l’organisme de bienfaisance. Malheureusement cette année, tout comme l’année précédente, ces derniers n’ont pu y contribuer au même niveau que par le passé en raison du contexte pandémique lié à la Covid-19. L’entreprise IOC a donc décidé de compenser en offrant fièrement cette contribution importante pour la cause au nom de ses employés.

La chef des opérations de la Compagnie minière IOC, Chantal Lavoie, a déclaré :

« Alors que le temps des Fêtes s’achève, il est important de se rappeler que tout le monde dans la communauté n’a pas autant de chance que nous. Chez IOC, nous croyons que personne ne devrait se coucher l’estomac vide, et c’est pourquoi nous avons fait un don de 30 000 $ à la Labrador West Ministerial Association au nom de nos 2 000 employés de la région. »

Engagement et valeurs

La Compagnie minière IOC, qui considère qu’il est essentiel de bâtir des relations durables qui soutiennent les communautés et les parties prenantes locales, de générer des retombées économiques régionales et de travailler en partenariat avec divers intervenants, participe régulièrement à des forums, à des planifications et à des groupes de travail communautaires afin d’échanger sur des dossiers d’intérêt commun et de s’adapter aux priorités changeantes dans les régions de Labrador City et de Sept-Îles. L’entreprise juge que ces activités jouent un rôle important dans le maintien de son privilège d’exploitation et dans sa contribution au développement économique régional durable.

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Publié le 17 janvier, 2022, dans la publication : Numéro_1 Volume 40

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  • Oeuvre caritative
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Publié sur le site le 17 janvier 2022

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Covid-19

Propagation et confusion

par Éric Cyr

Source photo : Pixabay

La pandémie de Covid-19 continue de faire les manchettes et n’épargne pas la Côte-Nord et le Labrador. Avec l’apparition du variant Omicron, dont la présence a été répertoriée ici aussi, de nouvelles incidences sont également dénombrées dans la région. Il est indéniable qu’il existe bel et bien une augmentation des cas, cependant le nombre exact est difficile à évaluer et fluctue sans cesse. Des cliniques de vaccination sont déployées à plusieurs endroits notamment à Fermont, Schefferville et Labrador City, afin d’administrer des vaccins et des doses de rappel destinés à freiner sa propagation.

Pour les régions éloignées comme Fermont et Schefferville, la clientèle prioritaire existe, mais la catégorisation par groupes d’âge ne s’applique pas compte tenu de l’éloignement géographique et donc tous peuvent se prémunir d’un vaccin en s’inscrivant à un rendez-vous. Pour le Québec, à compter du 17 janvier 2022, les citoyens de 18 ans et plus peuvent prendre un rendez-vous. Des trousses de tests de dépistage rapide pour les gens asymptomatiques offerts gratuitement par le gouvernement du Québec aux personnes de 14 ans et plus sont toujours disponibles pour l’instant à la pharmacie de Fermont. Des tests rapides pour la clientèle présentant des symptômes associés à la Covid-19 sont aussi offerts dans les cliniques de dépistage du Centre intégré de santé et de services sociaux de la Côte-Nord (CISSSCN) notamment au Centre multiservices de santé et de services sociaux (CMSSS) de Fermont au 1, rue de l’Aquilon.

Les usagers symptomatiques doivent cependant au préalable composer le 1-877 644-4545 (ligne Info Covid) pour une évaluation de leur état avant de se présenter sur place où ceux-ci recevront a priori une trousse de dépistage rapide avant un examen plus approfondi. Les tests de diagnostic moléculaire (PCR), beaucoup plus précis, sont dorénavant réservés à certains groupes cibles, dont des clientèles jugées vulnérables et les travailleurs de la santé, et se font au même endroit.

Au Québec

Le retour d’un couvre-feu de 22 h à 5 h du matin a été instauré, le 31 décembre dernier, pour l’ensemble des régions du Québec, incluant Fermont et Schefferville, de concert avec la fin des rassemblements privés et le report du retour en classe qui a été fixé au 17 janvier. Le port du couvre-visage demeure en vigueur dans les espaces clos comme les centres commerciaux et le passeport vaccinal est exigé à de plus en plus d’endroits. Il est toujours recommandé de se laver les mains fréquemment. Les restaurants ont été à nouveau fermés sauf pour la livraison et les menus pour emporter. Le gouvernement Legault a l’intention de serrer la vis aux non-vaccinés en limitant de plus en plus les endroits auxquels ils pourront accéder afin de les inciter à se prévaloir du vaccin.

Au Labrador

Le point de contrôle à la frontière avec le Québec, le dernier qui subsistait entre les provinces à l’intérieur du pays, a été abandonné à la mi-décembre et ne devrait pas être réintroduit. Les autorités de la Santé publique de Terre-Neuve-et-Labrador ont commis une erreur magistrale, à la fin décembre et qu’elles ont corrigé le 3 janvier, en inversant les données du nombre de cas de Covid-19 dans deux zones du Labrador soit le Labrador Ouest (Labrador City, Wabush, Churchill Falls) et Happy-Valley-Goose-Bay et la côte du Labrador. Bien que la bévue, qui attribuait plus du triple des cas réels dans l’Ouest du Labrador, ait causé du stress et de l’anxiété dans la région, elle n’a fait l’objet d’aucune couverture médiatique. Cette gaffe statistique a cependant beaucoup fait réagir sur les réseaux sociaux.

Au fédéral

Le gouvernement fédéral oblige une preuve de vaccination pour les voyageurs qui souhaitent prendre un mode de transports qui relève de son champ de compétences dans les secteurs aérien, ferroviaire et maritime (avions, trains, bateaux), et étudie la possibilité de couper les prestations d’assurance-emploi (chômage) aux personnes non vaccinées.

Au Québec, pour prendre rendez-vous en ligne pour une vaccination consultez le site internet Québec.ca/vaccinCOVID ou appelez au 1 877 644-4545. Au Labrador : https://www.lghealth.ca/vaccine ou composez le 1 855-897-2267 ou le 709 285-8100 pour l’hôpital de Labrador City.

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Publié le 17 janvier, 2022, dans la publication : Numéro_1 Volume 40

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Publié sur le site le 17 janvier 2022

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