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  • Numéro_15

  • Vers un décollage  pour TREQ

    Transport aérien régional

    Vers un décollage pour TREQ

  • La Coop Metro réduit ses heures

    Pénurie de main-d’œuvre

    La Coop Metro réduit ses heures

  • La société Champion tournée vers l’avenir

    Mine de fer du Lac Bloom

    La société Champion tournée vers l’avenir

  • De multiples chantiers

    Ville de Fermont

    Une 20 septembre, 2021

    De multiples chantiers

Numéro_15

Vers un décollage  pour TREQ

Transport aérien régional

Vers un décollage pour TREQ

La Coop Metro réduit ses heures

Pénurie de main-d’œuvre

La Coop Metro réduit ses heures

La société Champion tournée vers l’avenir

Mine de fer du Lac Bloom

La société Champion tournée vers l’avenir

De multiples chantiers

Ville de Fermont

Une 20 septembre, 2021

De multiples chantiers

Transport aérien régional

Vers un décollage pour TREQ

par Éric Cyr

Le gouvernement fédéral a annoncé, le 11 août dernier, l’octroi d’un soutien financier de 3,5 millions de dollars pour la Coopérative de transport régional du Québec (TREQ) dans le cadre d’une enveloppe de 38,9 millions destinée à soutenir le transport aérien dans les régions de la province. Ce prêt sans intérêt devrait aider à propulser la coopérative d’aviation vers son envol en l’aidant à couvrir les coûts liés à son démarrage et sa commercialisation.

Cette démarche d’Ottawa, qui vise à soutenir les écosystèmes régionaux de transport aérien durement éprouvés durant la pandémie, répond à un besoin qui s’est exprimé très fortement durant cette période difficile et prend la forme d’une aide financière de 206 millions de dollars qui s’inscrit dans le cadre de l’Initiative de transport aérien régional à l’échelle du pays. L’apport de Développement économique Canada donnera un coup de pouce à ce nouveau venu dans le monde de l’aéronautique, qui stimulera la concurrence, dont le modèle d’affaires vise à offrir des liaisons régionales à prix abordable pour ses membres, qui dépassent actuellement les 16 000 coopérants et qui composent sa clientèle. Malgré cette contribution, TREQ, qui propose une flotte d’appareils Bombardier Q400, des avions régionaux performants de 74 places, doit encore ficeler son plan financier.

Cette contribution arrive à point pour de nombreuses régions qui cherchent à se munir de vrais outils de développement afin d’assurer une mobilité des personnes et des biens alors que plusieurs transporteurs aériens tentent de combler le vide laissé par Air Canada qui a suspendu de nombreuses dessertes aériennes régionales, dont plusieurs en sol québécois. Une autre compagnie qui dessert l’aéroport régional de Wabush au Labrador, Pascan Aviation, recevra pour sa part 8,8 millions de dollars en aide gouvernementale.

Carboneutralité

Quelques semaines plus tard, le 30 août, TREQ fait part de son intention de devenir le premier transporteur canadien carboneutre grâce à sa participation au programme de compensation de gaz à effet de serre (GES) de l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) par l’intermédiaire de sa plateforme Carbone Boréal. Cette entente permettra à la coopérative aérienne de compenser ses émissions de GES, lorsqu’elle lancera ses activités, par la plantation d’arbres dans la forêt boréale québécoise en plus d’encourager l’infrastructure de recherche universitaire.

Le concept coopératif qui a inspiré la création de TREQ vise notamment à répondre à la problématique des prix ridiculement élevés des billets d’avion pour les vols des dessertes aériennes régionales au Québec. Depuis le lancement des inscriptions en janvier dernier, plusieurs citoyens de la région, dont une majorité de Fermontois, ont déjà adhéré à la formule proposée en devenant membres. Comme TREQ a prévu inclure des liaisons vers l’aéroport de Wabush, la Ville de Fermont a incité ses citoyens à devenir membres en offrant un abonnement gratuit pour tous les résidents permanents de la localité nordique souhaitant s’inscrire. Le conseil municipal a adopté une résolution visant à payer les frais d’adhésion à la Coop TREQ à ceux qui en feront la demande.

Pour en savoir plus et vous inscrire, visiter le site internet treq.ca

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Publié le 20 septembre, 2021, dans la publication : Numéro_15 Volume 39

  • Aéronautique
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Publié sur le site le 20 septembre 2021

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Pénurie de main-d’œuvre

La Coop Metro réduit ses heures

par Éric Cyr

Le seul marché d’alimentation à Fermont est contraint de réduire ses heures d’ouverture et est fermé une journée par semaine, depuis le 14 septembre dernier, à cause de la pénurie de main-d’œuvre qui touche plusieurs sphères d’activités et qui freine certains secteurs de l’économie locale.

Coop Metro, Karim Khimjee, cette décision longuement mûrie s’avérait malheureusement nécessaire compte tenu du contexte actuel de pénurie de personnel, qui est intimement lié au manque de logements, qui sévit localement. Ces deux problèmes majeurs minent l’épicier, mais aussi des organismes et des petites entreprises d’ici tout comme d’autres services essentiels notamment le Centre de la petite enfance Le Mur-mûr.

Inévitable restructuration

« C’est après avoir consulté le président du conseil d’administration de la coopérative et la direction de l’entreprise de distribution alimentaire Metro, dont nous affichons la bannière, que nous avons choisi cette option, que nous espérons temporaire, qui s’imposait considérant les circonstances. La journée du mardi a été retenue, car cela aura moins d’impact sur nos employés à temps partiel et notre service de livraison », confie M. Khimjee, qui fait valoir que huit postes à temps plein sont à combler, ce qui équivaut à un total de 320 heures par semaine. Ce dernier explique que les gérants et lui-même doivent prendre des bouchées doubles depuis un bon moment déjà et que la fatigue accumulée se fait sentir. « Ce n’est pas de gaieté de cœur que nous avons dû nous résoudre à remanier l’horaire de travail, cela nous attriste de devoir en arriver là, mais il fallait agir et ne pas attendre de perdre du personnel de gestion pour des raisons d’épuisement professionnel. »

M. Khimjee a déjà interpelé les décideurs politiques afin que les élus aident la communauté à résoudre la situation problématique : « Il y a d’abord eu une concertation des intervenants du milieu afin d’envisager des solutions, mais rien de concret n’en est ressorti. Nous avons eu des discussions avec la direction de la municipalité au sujet de ces problématiques et nous attendons avec impatience leurs propositions. »

Un mal sous-jacent

L’administrateur considère que le marché ne constitue pas un problème puisqu’il y a une forte demande pour les produits alimentaires, mais qu’il existe une surenchère dans le domaine de l’embauche dans la région et que le phénomène est directement imputable au travail par navettage aérien (fly-in/fly-out) qui nuit grandement à l’épanouissement du milieu et à l’établissement de nouvelles familles sur place contribuant ainsi à une dévitalisation communautaire et sociale et dont les effets se font sentir « jusque dans votre panier d’épicerie ». M. Khimjee conclut : « On ne se mettra pas la tête dans le sable. J’ai hâte que la haute direction des minières prenne conscience de l’impact de leurs décisions qui affectent la vie fermontoise et tente de remédier aux inconvénients qu’elles occasionnent. »

La direction de la Coop Metro demande à sa clientèle de faire preuve de compréhension et de continuer d’appuyer le commerce local malgré le contexte difficile.

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Publié le 20 septembre, 2021, dans la publication : Numéro_15 Volume 39

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Publié sur le site le 20 septembre 2021

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Mine de fer du Lac Bloom

La société Champion tournée vers l’avenir

par Éric Cyr

Source photo : MFQ

La haute direction de Champion Iron étudie actuellement l’éventualité de la construction d’une usine additionnelle qui permettrait d’accroître encore davantage la qualité du produit de la mine de fer à ciel ouvert du Lac Bloom, exploitée dans le secteur de Fermont par sa filiale Minerai de fer Québec (MFQ), en rehaussant la pureté de son minerai de façon maximale grâce à un nouveau procédé.

Champion mène en ce moment une étude de faisabilité pour évaluer la possibilité d’augmenter à un plus haut degré la teneur, déjà très élevée, de son concentré de fer. L’étude complétée confirmera ou infirmera les besoins en infrastructures nécessaires pour la production éventuelle de ce produit.

L’édification de la nouvelle infrastructure pourrait permettre d’intensifier la teneur du concentré de fer, actuellement de 66,4 %, et qui devrait, selon les études menées par Champion, frôler le 69 % grâce à de nouvelles technologies de pointe destinées à séparer le fer de la silice par une deuxième étape de fragmentation qui consiste en un concassage (broyage) plus fin et en un procédé par flottaison. Comme le maximum de pureté de l’hématite est de 70 %, cette formule améliorée aurait l’avantage d’offrir un produit de qualité supérieure parmi les plus purs au monde.

Dans le contexte de transition énergétique mondial actuel, il devient nécessaire, pour les sidérurgistes internationaux, de diminuer leurs émissions de carbone dans leur procédé de fabrication de l’acier afin de respecter des mesures législatives de plus en plus rigoureuses. Presque toutes les grandes entreprises sidérurgiques ont des objectifs clairs de réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre (GES) et la principale méthode pour les atteindre est d’utiliser du minerai de fer de meilleure qualité qui nécessite moins d’énergie dans le processus de production de l’acier.

Le minerai de fer de haute pureté produit à la mine du Lac Bloom avec de l’hydroélectricité, une énergie renouvelable, se positionne déjà comme une solution dans la décarbonisation de l’industrie de l’acier.

Le nouveau produit qui pourrait être développé par Minerai de fer Québec serait d’autant plus attractif en suscitant l’intérêt des acheteurs tout en permettant à MFQ de contribuer encore davantage au procédé de fabrication de l’acier par arc électrique qui utilise principalement de l’acier recyclé, un procédé beaucoup plus écologique que celui des hauts fourneaux.

Diverses possibilités

Plusieurs scénarios sont à l’étude et l’emplacement de cette première usine du genre pour MFQ n’a pas encore été arrêté. La finalisation de l’étude de faisabilité permettra d’en savoir plus quant au lieu de cette possible installation.

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Publié le 20 septembre, 2021, dans la publication : Numéro_15 Volume 39

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Publié sur le site le 20 septembre 2021

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Ville de Fermont

De multiples chantiers

par Éric Cyr

Des chantiers importants occupent le paysage fermontois depuis quelques mois en concordance avec les exigences du plan directeur des infrastructures de la Ville de Fermont établies par des ingénieurs civils et validées par des inspections des réseaux d’eau potable et sanitaire à l’aide de caméras et d’ultrasons afin de vérifier son état et de constater sa détérioration. Le goudron est à l’honneur puisque la Ville de Fermont a octroyé des contrats d’asphaltage de rues cette année. La priorité a été accordée à des secteurs qui ont été jugés les plus achalandés ou dont la réfection était plus urgente.

Selon le directeur général de la Ville de Fermont, Claude Gagné, la municipalité a un carnet de commandes bien rempli et les principaux chantiers confiés à l’entrepreneur général Dexter Québec pour l’été 2021 consistent en des travaux d’infrastructures sur la rue du Parc qui totalisent environ 4,9 millions de dollars avant les taxes, un remplacement d’un ponceau au croisement des rues Duchesneau et Iberville (tuyau en 2020 et pavage en 2021), qui coûte 400 000 $, une rénovation du stationnement des véhicules récréatifs et remorques adjacent au garage municipal d’une somme de 10 000 $ et la construction de jeux d’eaux pour une somme de 800 000 $ incluant 160 000 $ pour de nouveaux modules qui vont agrémenter les anciens qui seront aussi réinstallés sur place.

Le municipal appuie sur la pédale

Le directeur des Services techniques de la municipalité, Jean-Michel Meilleur, qui supervise les chantiers, explique que les travaux vont bon train et qu’à l’heure actuelle les échéanciers, qui ont été fixés au mois d’octobre pour les travaux d’infrastructures municipales et de voirie (chaussée, drains, asphaltage), sont respectés par la firme Dexter Québec qui fait aussi appel à quelques sous-traitants, dont Lesage Transport, pour certaines tâches spécifiques.

« Avant de démarrer les opérations, des inspections préalables ont été réalisées. Les techniciens des eaux ont effectué une écoute nocturne du réseau d’eau potable, au moment où il est le moins sollicité, à l’aide d’ultrasons afin de détecter d’éventuels sifflements associés à des fuites. Ceux-ci ont aussi procédé à une inspection de la canalisation des égouts à l’aide de caméras avant de compiler les données de ces exercices et de valider le plan directeur permettant de commencer les travaux. »

À la suite des analyses, la réfection des ouvrages de la rue du Parc, entre les rues Duchesneau et du Camp, a été jugée prioritaire et la fin des travaux est prévue pour octobre ou à l’été 2022 si les travaux d’asphaltage ne peuvent être exécutés cet automne. L’assemblage de jeux d’eau sur une thématique nord-côtière incluant des structures fixes et un plancher de béton, dans le parc Beauséjour, situé en face du 6 venelle 11 (ancien café Entracte) rénové en 2019, et des venelles communautaires, un lieu jugé central qui a été retenu pour sa proximité du mur-écran, est réalisé en collaboration avec la MRC de Caniapiscau et devrait se terminer d’ici la fin septembre. La modernisation du stationnement en régie interne a été complétée.

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Publié le 20 septembre, 2021, dans la publication : Numéro_15 Volume 39

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Publié sur le site le 20 septembre 2021

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