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  • Numéro_18

  • La Sûreté du  Québec s’investit

    Implication communautaire et scolaire

    La Sûreté du Québec s’investit

  • Nomination diplomatique à saveur locale

    Diplomatie internationale

    Nomination diplomatique à saveur locale

  • Victoire incontestable de Marilène Gill

    Circonscription de Manicouagan

    Victoire incontestable de Marilène Gill

  • Un exploit pour un couple fermontois

    Ordre national du mérite agricole

    Une 4 novembre, 2019

    Un exploit pour un couple fermontois

Numéro_18

La Sûreté du  Québec s’investit

Implication communautaire et scolaire

La Sûreté du Québec s’investit

Nomination diplomatique à saveur locale

Diplomatie internationale

Nomination diplomatique à saveur locale

Victoire incontestable de Marilène Gill

Circonscription de Manicouagan

Victoire incontestable de Marilène Gill

Un exploit pour un couple fermontois

Ordre national du mérite agricole

Une 4 novembre, 2019

Un exploit pour un couple fermontois

Implication communautaire et scolaire

La Sûreté du Québec s’investit

par Éric Cyr

Légende photo : De gauche à droite en arrière-plan sur la photo : le responsable du poste de police de Fermont, Daniel Turgeon, la directrice des écoles, Marie-Josée Murray et l’agent Martin Thiffault, qui faisait partie de l’équipe de cyclisme sur route SQ2 pour l’édition 2018-2019, au gymnase en compagnie de jeunes élèves du primaire de l’école Des Découvertes.

Les policiers de la Sûreté du Québec (SQ) du poste principal de la MRC de Caniapiscau à Fermont ont remis, le 16 octobre 2019, un chèque d’une somme de 12 800 $ à la directrice de l’école Des Découvertes, Marie-Josée Murray, dans le cadre de la onzième édition du Grand défi Pierre Lavoie.

L’équipe de cyclistes SQ2, composée d’agents de la Sûreté du Québec, qui parrainait l’école primaire fermontoise en 2018-2019, a amassé ce montant tout au long de l’année en organisant plusieurs activités : la plus populaire fut un spinothon sur vélos stationnaires qui s’est tenu, le 27 avril dernier, dans le centre commercial du mur-écran. Les quatre coéquipiers des forces de l’ordre qui ont pris part à cette course ont parcouru à vélo, en juin dernier, une distance de 1000 kilomètres en sillonnant à vélo les routes du Québec.

Pédaler pour une bonne cause

Selon l’agent du corps policier québécois, Martin Thiffault, qui est également coureur, la mission première du parrainage de cette institution scolaire fermontoise par l’équipe de cyclistes SQ2 était de faire bouger les jeunes en les incitant à faire de l’exercice, l’objectif principal du Grand défi Pierre Lavoie, tout en leur inculquant de saines habitudes de vie. « Nous pouvons considérer que cette mission est accomplie, car l’école Des Découvertes s’est classée troisième pour l’ensemble de la Côte-Nord à sa première participation à ce défi pour les cubes énergie. De plus, les élèves de la polyvalente Horizon-Blanc ont participé à la course des établissements d’enseignement secondaire pour une première année et ont eu la chance de se rendre au stade olympique de Montréal grâce à la généreuse contribution financière grandement appréciée de la population locale qui leur a permis de participer à cet événement sportif grandiose. » Les policiers de la Sûreté du Québec auront permis de démarrer et de propulser une nouvelle activité sportive qui devrait perdurer encore longtemps puisqu’une prochaine participation est déjà prévue pour 2020.

Nouvel outil pédagogique

L’argent récolté par les membres de l’escouade de cyclistes SQ2 du Grand défi Pierre Lavoie permettra à l’école Des Découvertes d’aménager une aire de jeux interactive et d’acheter un nouvel outil pédagogique, un vidéoprojecteur interactif (VPI). L’appareil de projection, qui projette une image en grand format sur un écran, fera la joie des élèves et des professeurs de cet établissement d’enseignement en permettant une interactivité de groupe notamment sur des sujets relatifs aux matières enseignées.

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Publié le 4 novembre, 2019, dans la publication : Numéro_18 Volume 37

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Publié sur le site le 4 novembre 2019

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Diplomatie internationale

Nomination diplomatique à saveur locale

par Éric Cyr

Légende photo : Le nouvel agent diplomatique en Croatie, Alan Bowman, lors de la présentation de ses lettres de créance à la présidente croate Kolinda Grabar-Kitarović. Source photo : Ambassade du Canada en Croatie

L’ancien Fermontois Alan Bowman a été nommé ambassadeur du Canada auprès de la République de Croatie par la ministre fédérale des Affaires étrangères, Chrystia Freeland, le 9 septembre dernier. L’émissaire canadien à l’étranger, qui a commencé son éducation dans la communauté nordique, a par la suite poursuivi des études supérieures qui l’ont propulsé vers une brillante carrière.

Des études poussées

Le haut fonctionnaire a quitté le centre éducatif de Fermont pour aller terminer ses études secondaires au défunt Séminaire Saint-Augustin avant de poursuivre au collège privé Jean-de-Brébeuf. Il a par la suite obtenu un baccalauréat (B.A.) avec spécialisation en économie de l’Université McGill à Montréal, un diplôme de troisième cycle (DEA) en économie appliquée de l’Institut d’études politiques de Paris en France et une maîtrise en sciences économiques (M. Sc.) de l’Université de Montréal.

Parcours impressionnant

Le diplomate est entré au ministère des Affaires étrangères et du Commerce international en 1996 où, à l’administration centrale, il a été directeur adjoint de la Direction des relations économiques internationales et des sommets, directeur de la Direction des politiques sur l’Asie-Pacifique, directeur de la Direction des stratégies régionales ainsi que directeur de la recherche sur la politique étrangère. Il a également été président du comité sur le commerce et l’investissement du Forum de coopération économique de l’Asie-Pacifique (APEC) et affecté au Bureau du Conseil privé. À l’étranger, il a travaillé à Bangkok en Thaïlande, à la mission permanente auprès des Nations unies à New York aux États-Unis et plus récemment, il a été ministre conseiller et chef de mission adjoint à la mission auprès de l’Union européenne (UE) à Bruxelles en Belgique ainsi qu’observateur permanent du Canada auprès du Conseil de l’Europe.

Son enfance

Alan Bowman, qui a aussi habité à Port-Cartier, a toujours été un élève studieux et conserve de bons souvenirs du milieu fermontois où il a grandi. Ses parents constituaient un couple heureux pendant près de 50 ans avant leur triste décès en 2011. Ils avaient choisi Fermont, où ils ont vécu de nombreuses années, afin de s’y établir. Son père, Richard Bowman, était analyste et planificateur minier à la compagnie Québec Cartier et sa mère, Renée Bezeau Bowman, maîtresse de poste. Sa sœur, Jennifer, qui est fière des accomplissements de son frère, habite toujours à Fermont avec son conjoint Hugues Plante, où elle élève sa famille.

Selon M. Bowman : « Au cours de toutes mes affectations à l’étranger au service de mes concitoyens, j’ai toujours été très fier de dire que je viens de Fermont, ville du Nord où j’ai passé une jeunesse heureuse marquée par les aurores boréales et le lac Daviault, qui me manquent énormément. »

Affaires mondiales Canada gère les relations diplomatiques, fournit les services consulaires, fait la promotion du commerce international du pays et dirige le développement international et l’aide humanitaire du Canada.

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Publié le 4 novembre, 2019, dans la publication : Numéro_18 Volume 37

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Publié sur le site le 4 novembre 2019

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Circonscription de Manicouagan

Victoire incontestable de Marilène Gill

par Éric Cyr

Source photo : Bloc québécois

À peine réélue par une écrasante majorité de 54 % des voix, lors du scrutin du 21 octobre dernier, la députée de Manicouagan, Marilène Gill, du Bloc québécois (BQ) effectue un retour en force en entamant son second mandat avec optimisme et détermination. Combative, elle a déjà repris le flambeau des intérêts nord-côtiers afin d’assurer la continuité des dossiers à Ottawa et souhaite mettre en branle des états généraux sur la Côte-Nord afin de briser son isolement, une idée qui est très bien accueillie par ses concitoyens.

Fourbir les armes

La politicienne bloquiste se dit satisfaite de la campagne électorale qu’elle a menée avec énergie et remercie les électeurs de lui faire confiance. Elle explique que l’objectif de tenir des états généraux sur la Côte-Nord et son désenclavement en particulier est principalement de permettre d’entendre les groupes nord-côtiers et d’expliquer les grands enjeux auxquels est confrontée la région tout en lui donnant de la crédibilité et de la visibilité. Il s’agit de brosser un portrait d’ensemble de la situation actuelle, de faire le point et de transmettre l’information exacte aux citoyens afin qu’ils comprennent bien le processus dans une perspective globale avant d’enclencher des actions concrètes structurantes et déterminantes qui mèneront éventuellement à l’aboutissement des prépondérances régionales et de la priorité évidente qu’est le désenclavement.

L’épaule à la roue

La dynamique a complètement changé dans le contexte de cette nouvelle législature puisque le BQ, qui a effectué une remarquable remontée en récoltant 32 sièges, affiche toute sa légitimité. Le Québec n’a jamais été aussi fort à Ottawa en plus d’une décennie et le BQ détient la balance du pouvoir au Québec. Mme Gill se veut rassembleuse et amorce son nouveau mandat en demeurant près des aspirations légitimes de ses concitoyens tout en étant convaincue que son parti ira chercher des gains significatifs pour la Côte-Nord et pour le Québec.

« Le Bloc québécois est le seul parti qui défend et qui promeut les intérêts du Québec, rien que du Québec, et cela, sans compromis. Que ce soit dans les dossiers économiques, sociaux ou environnementaux, nous veillons à ce que le Québec soit respecté et à ce qu’il reçoive sa juste part du fédéral. Nous sommes un parti indépendantiste et cela suppose nécessairement que nous soyons résolument nationalistes. C’est pourquoi les Nord-Côtiers peuvent également compter sur nous pour défendre les consensus de l’Assemblée nationale du Québec ainsi que pour porter des dossiers qui touchent directement à notre nation, tels que la laïcité (loi 21), la langue française ou encore la culture. En résumé, c’est simple : le Québec, c’est nous ! » rappelle la députée nord-côtière qui considère que les gens ont voté avec leur cœur.

« Je suis fière d’avoir pris plusieurs engagements qui m’ont été demandés sur le terrain par les Nord-Côtiers. Que ce soit entre autres pour le désenclavement de la Côte-Nord, pour la protection des fonds de pension et des assurances des travailleurs et des retraités, pour les demandes des Premières nations et pour la réforme de l’assurance-emploi, le travail que je propose d’effectuer vise à donner toute la place à la population de façon à contribuer à son mieux-être. Je suis également fière que le Bloc québécois les ait inscrits dans sa plateforme électorale nationale. Cela montre toute l’importance que nous accordons à nos régions », conclut la députée bloquiste.

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Publié le 4 novembre, 2019, dans la publication : Numéro_18 Volume 37

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Publié sur le site le 4 novembre 2019

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Ordre national du mérite agricole

Un exploit pour un couple fermontois

par Éric Cyr

La fondatrice et propriétaire de l’exploitation agricole Pousse partout! de Fermont, Francine Marcoux et son conjoint Yoland Corbin, ont été honorés dans le cadre de la 130e édition de la compétition de l’Ordre national du mérite agricole. Les deux passionnés d’horticulture et d’agriculture ont été décorés du titre de chevalier et ont chacun reçu une médaille et un diplôme portant la mention « Grand mérite » dans la catégorie bronze.

C’est le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec, André Lamontagne, qui leur a conféré ce titre lors du gala régional Saguenay-Lac-Saint-Jean et Côte-Nord qui se tenait à Chicoutimi, le 18 octobre dernier, en leur remettant cette distinction « en reconnaissance des efforts déployés et du savoir-faire démontré dans la gestion de leur entreprise et l’amélioration de leur qualité de vie. »

Tremplin vers l’argent

Le Québec est divisé en cinq territoires pour ce concours, et la médaille de bronze constitue le premier échelon de participation. Pour être admissible à cette catégorie, le concurrent doit être en activité agricole depuis au moins cinq ans. Cette médaille de bronze, étape obligée, donne le droit à Pousse partout! de postuler pour la médaille d’argent dans cinq ans.

Lors de la qualification de Pousse partout! trois juges se sont déplacés à Fermont pour l’attribution des points. Le commandeur Yvon Lacasse et les agronomes Guylaine Mercier et Denis Boies se sont basés sur les qualités de gestion du groupe dans une démarche de développement durable, peu importe le mode de production, la qualité du sol, le type de culture ou d’élevage en accordant une attention particulière à l’intégration des bonnes pratiques agroenvironnementales. Selon Mme Marcoux, qui est diplômée de l’Institut agroalimentaire de Saint-Hyacinthe en horticulture légumière et fruitière et qui a développé une expertise en culture nordique, les observations et les bons conseils de ces professionnels sauront être mis à profit et contribueront à améliorer les procédés et techniques de l’entreprise nordique. « Nous sommes conscients que nous n’aurions pu décrocher une telle récompense sans l’aide des généreux bénévoles et des clients qui nous encouragent en achetant localement. Merci aussi aux employés qui se sont succédés et à ceux qui travaillent encore pour nous. »

Patience et polyvalence

Des clients pouvaient toujours déguster à la fin octobre des fraises juteuses et savoureuses chez Pousse partout!, qui prolonge sa saison de production alors que les autres producteurs de la Côte-Nord ont déjà cessé leurs activités. Depuis que Mme Marcoux a commencé la culture maraîchère en 2013, elle expérimente différents légumes, herbes et fruits qui peuvent pousser ici sans chauffage. Avec ou sans abri, elle recherche les légumes les plus rustiques et les plus vigoureux, en bref les plus intéressants à cultiver en climat subarctique. Depuis 2014, les abonnés aux paniers se partagent le fruit des récoltes issues des potagers locaux.

Au début du printemps 2019, à la suite de l’effondrement de la petite serre, M. Corbin a modifié une des serres froides et l’a transformée en serre chauffée pour que sa conjointe puisse démarrer sa production d’annuelles. Ainsi est née la première serre chauffée chez Pousse partout! qui, comme elle était assez spacieuse pour permettre la production de plantes ornementales, a incité la propriétaire à produire elle-même toutes les annuelles et vivaces qu’elle offre à sa jardinerie. Satisfaite des résultats, elle prévoit augmenter sa production le printemps prochain en proposant aussi des plants de légumes à ceux qui veulent se faire un jardin, et une plus grande variété de vivaces.

Pousse partout! a bien grandi depuis sa fondation en juin 2000. Au début, l’entreprise offrait seulement des services d’entretien et d’aménagement paysager. En 2012, les deux complices à la retraite installent une jardinerie dans un bâtiment abandonné dans le parc industriel. Ayant sous la main un terrain assez vaste, Mme Marcoux décide d’y faire de la culture maraîchère en contenants à l’extérieur et opte pour la culture en serres froides (sans chauffage). Son partenaire apporte sa contribution en fabriquant des contenants en bois recyclé, en construisant des serres froides à partir d’abris couverts en toile (Tempo) usagés. Il est à l’affût de tout ce qui pourrait lui servir afin de permettre à sa femme de vivre son rêve tout en accordant une seconde vie à du matériel usagé et ainsi réduire les coûts de production. C’est grâce à la complémentarité de ce couple que Pousse partout! est devenue producteur agricole en 2013. Depuis, d’autres activités et projets ont été réalisés. Depuis 2016, Mme Marcoux offre des visites guidées de son entreprise aux touristes qui débarquent à Fermont. Cette année, les deux complices ont construit un jardin éducatif à l’aide de jeunes Fermontois de camps de jour. Des ateliers d’agroéducation y auront lieu dorénavant chaque été.

Reconnue par l’Union des producteurs agricoles (UPA) l’exploitation agraire rurale est celle qui se situe la plus au nord du Québec.

Productions nord-côtières

Il existe actuellement 103 producteurs agricoles sur la Côte-Nord, toutes productions confondues, soit principalement des producteurs de bleuets et de petits fruits. Quant aux autres, il y a une grande diversité de productions soit des céréales, du fourrage, du bœuf de boucherie, des vaches laitières, des cultures horticoles et de la production maraîchère en champs et en serre ainsi que de l’apiculture. Cette année cinq d’entre eux ont été récompensés par l’Ordre du mérite agricole soit : Claudie Canuel et Yvan Desjardins de l’entreprise Les canneberges de la Côte-Nord à Chute-aux-Outardes dans la catégorie or, Daniel Harvey et Sylvie Martel de Bleuets Sylma ont reçu chacun une médaille d’argent et finalement Marie-Pierre Fortier et son conjoint Jean-François Brisson de l’entreprise Herbamiel située à Sacré-Cœur, l’entreprise Bleuetière du Nord de Denis Picard à Sept-Îles et enfin Yoland Corbin et Francine Marcoux de Pousse partout! ont tous reçu une médaille de bronze.

Créé en 1889, le prestigieux concours de l’Ordre national du mérite agricole est organisé annuellement par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ) et vise à encourager l’excellence des productrices et producteurs agricoles québécois et à reconnaître les services qu’ils rendent à l’agriculture.

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Publié le 4 novembre, 2019, dans la publication : Numéro_18 Volume 37

  • Culture maraîchère
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Publié sur le site le 4 novembre 2019

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