• Publications
  • Le journal
    • L’Équipe
    • Historique
    • Distinctions
  • Abonnements & membres
  • Annoncez avec nous
  • Contactez-nous
Journal le Trait d'Union du Nord
  • Publications
  • Le journal
    • L’Équipe
    • Historique
    • Distinctions
  • Abonnements & membres
  • Annoncez avec nous
  • Contactez-nous
  • Toutes les publications
  • Numéro_6

  • Feu vert sur toute la ligne…

    Mine de fer du Lac Bloom

    Feu vert sur toute la ligne…

  • Tournage à Labrador City

    AFL

    Tournage à Labrador City

  • Dévoilement d’un nouveau logo

    Maison des Jeunes

    Dévoilement d’un nouveau logo

  • C’est la fête en compagnie de Taïgouin !

    Taïga Carnaval

    Une 28 mars, 2022

    C’est la fête en compagnie de Taïgouin !

Numéro_6

Feu vert sur toute la ligne…

Mine de fer du Lac Bloom

Feu vert sur toute la ligne…

Tournage à Labrador City

AFL

Tournage à Labrador City

Dévoilement d’un nouveau logo

Maison des Jeunes

Dévoilement d’un nouveau logo

C’est la fête en compagnie de Taïgouin !

Taïga Carnaval

Une 28 mars, 2022

C’est la fête en compagnie de Taïgouin !

Mine de fer du Lac Bloom

Feu vert sur toute la ligne…

par Éric Cyr

Source photo : MFQ

Québec a donné son aval à la société Minerai de fer Québec (MFQ), une filiale de Champion Iron, pour l’agrandissement du parc d’entreposage de stériles et de résidus miniers de la mine de fer du Lac Bloom située à proximité de Fermont dans le cadre d’un décret adopté par le Conseil des ministres, le 9 mars dernier, malgré un avis défavorable du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) qui avait recommandé, en mars 2021, de ne pas accepter le projet tel que présenté en suggérant de revoir les solutions retenues.

L’économie à tout prix

Le gouvernement Legault a donné carte blanche à MFQ en choisissant sciemment d’ignorer les recommandations du BAPE, qui n’a pas le pouvoir de recommander ou de refuser un projet, les réticences des groupes environnementaux qui proposaient des solutions de remplacement au scénario retenu par la minière tout comme il n’a aucunement pris en considération les doléances du comité des résidents du lac Daigle habitant dans le secteur qui sont directement interpellés par le projet et dont la représentante, Martine Cotte, a, elle aussi, suggéré d’autres possibilités qui ont été ignorées. Cette décision contestée permettra à l’entreprise de doubler sa production annuelle de concentré de fer de haute pureté qui devrait atteindre 15 millions de tonnes.

Divergences flagrantes

Les partis sont diamétralement opposés sur le sujet et semblent irréconciliables. La minière prétend avoir retenu la meilleure solution de développement durable et pour la gestion de ses résidus miniers ce qui n’est pas du tout l’avis d’un regroupement de multiples groupes environnementaux qui, bien que favorables à l’agrandissement de la mine, sont farouchement opposés au déversement et à l’entreposage de déchets miniers dans des cours d’eau et qui souhaitent que Québec revienne sur sa décision. Selon la coalition écologiste Québec Meilleure mine, cette situation est aberrante et constitue un retour en arrière dans les façons de faire de l’industrie minière puisque de nombreuses mines de fer à travers le monde remplissent une vaste majorité de la fosse de laquelle les résidus ont été extraits plutôt que d’envisager le remplissage d’étendues d’eau avoisinantes. Selon un porte-parole de l’organisation, Ugo Lapointe, cette décision n’a aucun sens et MFQ choisit la facilité au détriment de l’environnement. Même constat pour un responsable de Mining Watch Canada, Rodrigue Turgeon : « Le gouvernement peut encore revenir à la raison en faisant deux choses simples. Premièrement, révoquer l’autorisation accordée à la minière de détruire huit lacs pour y déverser ses déchets miniers et deuxièmement adopter un règlement interdisant clairement le déversement de déchets miniers dans des lacs et cours d’eau du Québec. » Une pétition en ligne a été lancée en ce sens par les groupes Eau Secours, Québec Meilleure mine et Mining Watch Canada et a déjà recueilli 2000 signatures en une fin de semaine : https://eausecours.org/agir/fr-petition-mine-bloom/.

MFQ assure pour sa part ne pas avoir le choix de procéder de cette façon lors de l’excavation de la deuxième phase de son expansion minière qui générera 900 millions de tonnes de résidus par année en assurant ne pouvoir les entreposer sur la terre ferme et fait valoir que l’entreprise devra investir 20 millions de dollars additionnels pour compenser la perte d’habitat du poisson et la destruction de milieux humides et hydriques environnants.

Mme Cotte affirme pour sa part que les citoyens du lac Daigle, qui se sont retrouvés en sandwich entre MFQ et les environnementalistes, considèrent qu’il y a de nombreux irritants et nuisances dans cette décision unilatérale : « On se demande à quoi sert le BAPE et si ce n’est pas qu’une simple parure dorée ? L’instance autonome n’a pas approuvé le projet sous sa forme actuelle, car il existe d’autres options qui n’ont pas été analysées par le promoteur qui affirme que c’est trop compliqué. Pourtant ça se fait ailleurs. Il est vrai que c’est plus compliqué, mais ça peut se concrétiser. »

Bien que générateur d’emplois, à constater le traitement de l’information dans différents médias en lien avec cette décision, MFQ qui a obtenu le feu vert pour l’augmentation de la capacité d’entreposage de stériles et de résidus miniers, est loin d’avoir recueilli l’acceptabilité sociale et la faveur de l’opinion publique pour une telle démarche. MFQ a annoncé, à la fin janvier, l’aménagement d’un deuxième concentrateur et que la deuxième phase du projet de la mine du Lac Bloom était devancée au mois d’avril.

Partager

Publié le 28 mars, 2022, dans la publication : Numéro_6 Volume_40

  • BAPE
  • Champion Iron
  • Écologie
  • Environnement
  • Fermont
  • Industrie minière
  • Lac Bloom
  • MFQ
  • Milieux humides
  • Mine de fer
  • Minerai de fer Québec

Publié sur le site le 28 mars 2022

  • Publication précédente
  • Prochaine publication

AFL

Tournage à Labrador City

par Éric Cyr

Légende photo : Priscillia Auvray à gauche et Flora Bidaud à droite.

Deux réalisatrices d’origine française, qui habitent aujourd’hui à Montréal, se sont déplacées à Labrador City, du 8 au 15 mars derniers, dans le cadre de la captation d’images destinées à la production d’un court documentaire sur la Communauté francophone accueillante de Labrador City/Wabush. L’initiative orchestrée par la Fédération des francophones de Terre-Neuve et du Labrador (FFTNL) est sous la supervision de l’Association francophone du Labrador (AFL).

Priscillia Auvray, de Sanary-sur-Mer sur la Côte d’Azur, et Flora Bidaud, de Dijon en Bourgogne, collaborent à la concrétisation du film. Leur précieuse expertise est fort utile à leur mission. Mme Auvray a étudié à l’École supérieure de cinéma d’animation Supinfocom Rubika à Valenciennes. Artiste dans le domaine de la création virtuelle depuis une décennie, elle crée des études et des visuels en trois dimensions (3D). Celle-ci met son talent au profit du projet tout comme sa collègue, Flora Bidaud, qui a, pour sa part, œuvré dans le domaine publicitaire dans l’Hexagone et a été cheffe d’équipe et responsable des ressources humaines au studio de divertissement multimédia spécialisé dans la conception et la production d’environnements immersifs, Moment Factory, dans la métropole québécoise où elle a rencontré sa nouvelle partenaire de travail.

Le projet dont l’objectif est de faire découvrir la communauté francophone accueillante de l’ouest du Labrador tombe à pic pour les deux vidéastes qui se perdaient dans un travail alimentaire routinier et souhaitaient délaisser l’industrie pour exploiter un volet plus humain et artistique. Après avoir étudié la proposition, qui consiste en la production d’un court-métrage, elles se regroupent au sein du studio Moti avec l’envie commune de créer dans le cadre d’un collectif afin de mener à bien leur premier contrat cinématographique à l’extérieur du Québec. Elles confient avoir été étonnées de découvrir une petite communauté francophone dynamique au Labrador.

« Nous sommes des créatrices, pas des techniciennes. Nous voulions nous recentrer sur le côté humain de notre métier. Ce n’est pas l’aspect lucratif qui nous intéresse, mais plutôt de mettre à profit notre expérience au profit de la communauté afin de lui donner une visibilité accrue. Nous sommes spécialisées sur des projets à impact positif, c’est ce qui oriente notre démarche actuelle », explique Mme Bidaud qui est très heureuse d’avoir abandonné les tableaux dans Excel et les horaires de vacances pour exploiter son plein potentiel. « Quand nous choisissons un contrat, nous nous investissons de A à Z. Nous aidons à la promotion du contenu audiovisuel. Nous écrivons le script en collaboration avec les partenaires et nous consultons les clients durant tout le processus », poursuit Mme Auvray qui confie que les deux comparses reviendront dans la région du 21 au 27 juin prochains afin de capter d’autres images
destinées à montrer différentes saisons sur le territoire situé immédiatement sous le 53e parallèle.

Les deux femmes qui ont été chanceuses de pouvoir se trouver un forfait couette et café (chambre avec petit déjeuner) à Labrador City planifient déjà leur retour avec enthousiasme.

Partager

Publié le 28 mars, 2022, dans la publication : Numéro_6 Volume_40

  • Association francophone du Labrador
  • Communauté francophone accueillante
  • Court métrage
  • documentaire
  • Film
  • Flora Bidaud
  • Ouest du Labrador
  • Priscillia Auvray
  • Réalisatrices
  • Studio Moti
  • Vidéastes

Publié sur le site le 28 mars 2022

  • Publication précédente
  • Prochaine publication

Maison des Jeunes

Dévoilement d’un nouveau logo

par Éric Cyr

Légende photo : De gauche à droite sur la photo prise lors du lancement du logo : l’entrepreneure Sylvie Faucher de Pigment Design Solutions, la conceptrice d’un logo gagnant Marie-Maude Pellerin, la présidente du CA Mélissa Guimond, les membres du CA Marie-Claude Huard et Élaine Côté, la conceptrice d’un logo gagnant Noémie Sirois.

La Maison des Jeunes Alpha de Fermont a procédé au dévoilement de son nouveau logotype officiel, le 17 mars dernier, dans son local adjacent aux Services des loisirs dans le mur-écran. La population était invitée à assister à l’événement et un goûter, incluant pour dessert un gâteau orné du nouveau symbole visuel, a été servi pour ceux qui étaient sur place pour l’occasion. Des tirages de prix de présence, deux t-shirts et un sac avec la nouvelle marque distinctive ont aussi été faits pour les participants.

Ce sont des adolescents qui fréquentent l’endroit qui ont soumis des suggestions dans le cadre d’un concours organisé avant la période des fêtes par le conseil d’administration (CA) de la maison des jeunes fermontoise. Un total de huit créations a été soumis par de jeunes artistes locaux lors du « projet logo mdj 2022 » selon certains critères définis au préalable. Des huit propositions reçues, deux ont été d’abord retenues par les membres du CA, qui étaient les juges du concours. À la suite de cette étape, les deux logos qui ont suscité l’intérêt ont été analysés et commentés par les administrateurs qui les ont considérés comme dignes d’être conservés. Comme les opinions étaient partagées, il a été décidé que ceux-ci seraient fusionnés en un seul logo en conservant des caractéristiques propres à chacun évidemment avec l’accord des deux jeunes dessinatrices les ayant produits qui ont chacune remporté 200 $ pour leur effort et leur travail et les six autres candidats ont reçu 20 $. Force est d’admettre que le résultat est très original et correspond bien à la nouvelle image que la Maison des jeunes souhaite véhiculer.

Une fusion réussie

C’est l’agencement harmonieux et original des créations de Marie-Maude Pellerin et de Noémie Sirois qui a donné le résultat final qui représente bien l’image moderne des utilisateurs de la Maison des Jeunes Alpha ainsi que sa mission. C’est l’animatrice responsable, Suzanne Synnott, qui a procédé au tirage en compagnie des animatrices Fany Dionne et Marie-Ève Arsenault. Les membres du CA et les représentants de l’organisation tiennent à remercier ceux qui ont pris part au concours et à féliciter les gagnants ainsi que l’apport inestimable de l’entreprise Pigment Design Solutions qui a généreusement offert de produire le logo.

Partager

Publié le 28 mars, 2022, dans la publication : Numéro_6 Volume_40

  • Création visuelle
  • Dessinatrices
  • Fermont
  • Identification visuelle
  • Jeunesse fermontoise
  • Logo
  • Maison des jeunes Alpha
  • Marie-Maude Pellerin
  • Noémie Sirois
  • Symbole visuel

Publié sur le site le 28 mars 2022

  • Publication précédente
  • Prochaine publication

Taïga Carnaval

C’est la fête en compagnie de Taïgouin !

par Éric Cyr

Source photo : Kathleen Dubé

Quel cadeau que le retour en force du Taïga Carnaval du 18 au 20 mars 2022 ! Il y a tout juste un mois, nous pensions avoir droit cette année encore à un carnaval édulcoré orienté vers des activités à domicile. Heureusement, les règles sanitaires imposées par le gouvernement Legault se sont assouplies in extremis de sorte que les organisateurs ont pu, à nouveau, réajuster le tir avec l’autorisation des rassemblements en plein air. Le comité du carnaval a réussi à programmer en un temps record des activités familiales et rassembleuses destinées à toute la population.

18 mars

L’événement annuel a pris son envol avec la classe neige des écoles pour les élèves du primaire incluant au programme glissade et parcours d’un labyrinthe de neige. La journée avait commencé par les repas « cabane à sucre » organisés par la Maison d’aide et d’hébergement qui a distribué plus de 300 déjeuners traditionnels. Le dîner hot-dogs avec la mascotte, le moustique Taïgouin, sous le chapiteau a attiré plus de 80 jeunes du service de garde de l’école et du centre de la petite enfance et leurs éducatrices. Le « snow jam » de 16 h a aussi été populaire et fréquenté par plusieurs jeunes élèves qui ont démontré leurs prouesses en essayant d’épater la galerie. Durant l’activité, plusieurs cadeaux ont été offerts aux participants. La soirée fut également bien remplie avec un défilé de motoneigistes brandissant des flambeaux, qui se sont rendus jusqu’au sommet du mont Daviault, suivi de la fameuse course de souffleuses qui a eu lieu sur le terrain de tennis aménagé pour l’occasion. Les compétiteurs acclamés du public étaient en feu, les moteurs vrombissaient et la neige volait de toute part. Le gagnant de l’épreuve inusitée fut Mathieu Bond et celui-ci pourra conserver chez lui, durant une année, le fameux trophée confectionné par l’artiste fermontois de «scrap métal» (recycl’art), Yan Poirier, qui donne une seconde vie au métal destiné à la ferraille. La soirée s’est poursuivie sous la grande tente avec le spectacle de musique du groupe rock Loaded Dice qui a offert une généreuse performance de plus d’une heure quarante-cinq.

19 mars

La journée ensoleillée a commencé par du bricolage sous le chapiteau suivi par des activités extérieures. Un tournoi de volley-ball opposant sept équipes, et où l’on a aperçu des athlètes en maillots de bain, a été remporté par les Pingouins assoiffés, un trio composé de Bruno Villeneuve, Nico Bélanger et Jason Normand. Les visiteurs sur le site du carnaval ont pu s’adonner à un jeu de jenga géant (des blocs en bois dur à empiler) et profiter de jeux de volley-pong et de soccer-billard. La nouveauté qui constituait l’attraction principale de l’après-midi fut le « skimboard ». Avec l’aide des pompiers qui ont apporté de l’eau, une petite piscine d’environ 15 mètres de longueur a été installée. Tirés par un véhicule sur chenilles Snowdog, les participants ont tenté de traverser l’étang, ce qui a donné lieu à de belles performances acrobatiques. Plusieurs spectateurs étaient là pour applaudir les exploits des athlètes téméraires. Plusieurs jeunes ont accepté de traverser l’étendue d’eau en risquant de se mouiller. La glissoire a cependant été l’attraction la plus populaire auprès des festivaliers avec l’ajout de nouveaux tubes à cinq et huit places. La Maison des jeunes Alpha veillait à assurer le divertissement du public. Le maquillage a attiré beaucoup d’adeptes, la file était longue, mais l’attente en valait la peine. L’après-midi fut empreint de multiples petits plaisirs. On sentait que les gens, enfin libérés du carcan des mesures sanitaires, étaient reconnaissants de ce retour à la vie normale. Ce rassemblement festif coïncidant avec l’arrivée prochaine du printemps, ils pouvaient dorénavant se retrouver amicalement sous les rayons chauds du soleil. En début de soirée, la fête s’est poursuivie à travers les rues de la ville avec un défilé sur une remorque décorée pour l’occasion mettant en vedette DJ Six’P (Maxime Gamache) qui était accompagné du maringouin Taïgouin. Les feux d’artifice ont par la suite attiré une foule nombreuse. De gros foyers extérieurs avaient été installés sur le site du carnaval afin que le public puisse se réchauffer. Le DJ invité a terminé la soirée par un spectacle de musique électronique sous le chapiteau où la danse était permise au grand plaisir des spectateurs qui ont pu s’en donner à cœur joie.

20 mars

En matinée, c’est sous une faible neige que le carnaval a clôturé ses activités par des courses d’accélération de motoneiges sur le lac Daviault qui a regroupé 27 motoneigistes inscrits dans plusieurs catégories.

Félicitations au comité organisateur pour ce redémarrage en présentiel réussi. Merci aux 42 bénévoles qui se sont investis à la réussite de cette nouvelle édition ainsi qu’aux employés municipaux qui ont prêté main-forte et aux nombreux commanditaires qui assurent la pérennité du Taïga Carnaval et surtout merci à la population qui, par son enthousiasme et sa grande participation, a démontré une fois de plus son attachement à la perpétuation de cette tradition annuelle tant attendue.

Partager

Publié le 28 mars, 2022, dans la publication : Numéro_6 Volume_40

  • Activité hivernale
  • Carnaval d'hiver
  • Fermont
  • Festival
  • Mascotte Taïgouin
  • Plein air
  • Rassemblement familial
  • Taïga Carnaval
  • Tradition annuelle

Publié sur le site le 28 mars 2022

  • Publication précédente
  • Prochaine publication
Journal le Trait d'Union du Nord
  • Contactez-nous
  • Devenez membre
  • Annoncer avec nous
  • Le journal
  • L’Équipe
  • Historique
  • Distinctions
  • M’inscrire à l’infolettre

Le journal est membre :

  • de l'Association des médias écrits communautaires du Québec (AMECQ) et
  • du Conseil de la culture et des communications de la Côte-Nord (CRCCCN).

La conception de ce site Web s'inscrit de dans le cadre de la mise en oeuvre du Plan culturel numérique du Québec (www.culturenumerique.mcc.gouv.qc.ca)

 

Le média écrit aimerait remercier tous ceux qui nous ont soutenus au cours des années et qui contribuent à la pérennité de ses activités :

  • Culture et Communications Québec
  • Association des médias écrits communautaires du Québec (AMECQ)
  • MRC de Caniapiscau
  • Ville de Fermont
  • ArcelorMittal Exploitation Minière Canada
© Journal le Trait d'Union du Nord, Tous droits réservés.
Conception mamarmite
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.OKPolitique de confidentialité