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  • Numéro 06

  • La coupe Stanley dans la région

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Numéro 06

La coupe Stanley dans la région

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La grève est déclenchée

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Une panoplie d’activités pour tous les goûts

Taïga Carnaval 2018

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Une 5e édition réussie!

Défi Taïga 2018

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Une 5e édition réussie!

Hockey sur glace

La coupe Stanley dans la région

par Éric Cyr

Légende photo : Ryan Hurley, François Bouchard, Pascal Bérubé et le gardien de la coupe Howie Borrow.

La coupe Stanley, la véritable, celle qui est présentée aux joueurs professionnels de l’équipe ayant remporté les finales de la Ligue nationale de hockey (LNH), était de passage à Fermont pour la deuxième fois en une décennie, le 17 mars dernier, dans le cadre d’un camp d’habiletés de Hockey Canada pour les jeunes hockeyeurs fermontois.

Le gardien de la coupe, Howie Borrow, était accompagné du gérant pour le Québec du Centre régional de Hockey Canada, François Bouchard et de Ryan Hurley de Hockey Canada/Ontario qui se sont déplacés pour l’occasion. Les joueurs de l’équipe locale Le Blizzard de toutes les catégories ont eu la chance d’être photographiés sur la glace à l’aréna Daniel-Demers avec le légendaire trophée durant la journée. Plusieurs convives se sont par la suite rassemblés en soirée dans le cadre d’un souper-bénéfice au profit de l’Association du hockey mineur de Fermont (AHMF) qui a été organisé au Centre multifonctionnel Cliffs où un encan pour un gilet de hockey a aussi eu lieu.

Le public pouvait également venir admirer la coupe Stanley après le repas et de nombreuses personnes se sont fait prendre en photo par le photographe local Gino Dupuis avec le fameux symbole afin de conserver un souvenir impérissable de son passage.

Le président de l’AHMF, Simon Gauthier est très heureux du déroulement de cette activité qui a autant réjoui les adeptes que les partisans de hockey. La coupe Stanley, que l’on pourrait qualifier de rare élément rassembleur des différentes cultures au pays, a été transportée le lendemain à l’aréna de Labrador City, où de jeunes joueurs et des admirateurs de hockey l’attendaient avec impatience, avant de reprendre sa tournée sur la route qui l’a déjà menée dans plusieurs pays.

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Publié le 2 avril, 2018, dans la publication : Numéro 06 Volume 36

  • Association du hockey mineur de Fermont
  • Camp d'habiletés de hockey
  • Coupe Stanley
  • Fermont
  • Hockey Canada
  • Labrador City
  • Le Blizzard

Publié sur le site le 3 avril 2018

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Design de l’environnement

Projet universitaire à Fermont

par Éric Cyr

Une cohorte de dix étudiants au programme de maîtrise en design de l’environnement à l’École de design de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), accompagnés de leur professeur Patrick Evans, était de passage à Fermont, du 17 au 20 mars, dans le cadre d’un voyage organisé par N360, un laboratoire de recherche-création de cette institution d’enseignement axé sur le design d’environnements nordiques, avec l’appui du projet de recherche « Habiter le Nord québécois ».

Le cortège estudiantin a amorcé son périple nordique en direction de Kuujjuaq au Nunavik. Ils ont d’abord atterri à l’aéroport régional de Wabush au Labrador avant de se rendre à Fermont.

Cet atelier incluant un voyage de recherche et de création dans le Nord québécois est réparti dans plusieurs localités et Fermont constituait la première étape du parcours. Les étudiants y ont présenté une exposition de leurs maquettes à la loge des Moose lors des déjeuners du dimanche où ils ont pu échanger avec la population. Ils ont aussi fraternisé sur place avec des Innus de Uashat mak Mani-Utenam et Pessamit sur la Côte-Nord, qui se sont déplacés dans le cadre du Défi Taïga Carnaval, et qu’ils ont aidés à monter un shaputuan, une grande tente conique traditionnelle, sur le site de l’événement avant de prendre un thé du Labrador en leur compagnie. Le groupe, qui était par la suite attendu par la nation innue de Matimekush-Lac-John enclavée dans la municipalité de Schefferville, s’y est rendu par train en empruntant le Transport ferroviaire Tshiuetin.

Vie nordique d’hier à aujourd’hui

Lors de leurs déplacements, les étudiants se sont initiés aux défis et aux réalités nordiques. La formation est structurée autour de deux projets, le premier consistant à concevoir et à réaliser une exposition itinérante de design issu des régions circumpolaires. « Cette exposition encourage des comparaisons entre des solutions concrètes traditionnelles et contemporaines développées par différentes cultures nordiques québécoise, inuite, groenlandaise, scandinave, japonaise, chinoise, russe et autres dans le but de définir des paramètres du design nordique. Nous visons une réflexion large sur les liens entre design et nordicité », confie M. Evans. Le deuxième projet vise à livrer 20 exemplaires du jeu Sanannguagait au réseau des centres de la petite enfance (CPE) du Nunavik. Ce jeu de construction basé sur les syllabiques inuites a été développé au Laboratoire N360 de l’UQAM dans le cadre d’une pratique collaborative.

« Lors de notre séjour, les étudiants collaboreront avec l’Administration régionale Kativik (ARK) et les enseignants de 14 villages du Nunavik pour préparer du matériel de soutien et des activités ludiques et pédagogiques portant sur le jeu afin de susciter des discussions sur l’environnement bâti dans les écoles de cette région nordique. »

Pour en savoir plus : www.n360.uqam.ca et www.habiterlenordquebecois.org

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Publié le 2 avril, 2018, dans la publication : Numéro 06 Volume 36

  • Cultures nordiques
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  • Fermont
  • Habiter le Nord québecois
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Publié sur le site le 3 avril 2018

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Rio Tinto IOC

La grève est déclenchée

par Éric Cyr

Légende photo : La gréviste Nadine Goulet de Labrador City, la fille de celui qui détient le record de longévité à la minière IOC soit plus d’un demi-siècle, feu Jean-Marie Goulet, affiche une pancarte où il est inscrit : des négociations équitables ne se font pas à sens unique.

Les travailleurs de la minière Rio Tinto IOC au Labrador ont déclenché la grève le 27 mars dernier à minuit. Un vote de grève à 91,1 % pour les syndiqués de la plus importante section locale des Métallos/Steelworkers de Rio Tinto IOC, la section 5795 à Labrador City dont les membres semblent déterminés à en constater les commentaires sur la page Facebook du syndicat USW 5795 : « En route vers la barrière, frères et sœurs. » Les employés d’entrepôt de la section locale 6731 de Labrador City ont aussi voté pour la grève à 93 %.

 

Immédiatement après le vote, les grévistes étaient déjà très nombreux sur le piquet de grève à l’entrée de la mine au Labrador Ouest avec leurs pancartes. Au moment de mettre sous presse, les syndiqués de Sept-Îles au Québec devaient aussi voter sur les offres, mais ils n’ont pas le droit de grève (ou de lockout) avant la mi-avril, car le chemin de fer et le port relèvent de la juridiction fédérale et ils doivent d’abord s’entendre sur les services essentiels. Ils devraient logiquement emboîter le pas et rejoindre le mouvement fortement majoritaire si rien ne change.

Contexte

Le contrat de travail des employés de la minière Rio Tinto IOC est échu depuis le 28 février dernier. Les négociations pour le renouvellement de la convention collective ont à nouveau achoppé alors que les pourparlers ont été rompus pour la troisième fois entre le Syndicat des Métallos et l’entreprise, le 24 mars dernier après seulement 24 heures de discussions. La grève qui avait été évitée jusqu’à présent revient donc à l’ordre du jour pour les plus de 1700 travailleurs syndiqués de la compagnie minière à Sept-Îles sur la Côte-Nord et à Labrador City au Labrador qui avaient voté dans une majorité écrasante à plus de 99 % pour un mandat de grève à utiliser au moment opportun.

Conflit de travail annoncé

La grève qui avait été repoussée de justesse après que la compagnie ait soumis une nouvelle proposition le 21 mars dernier, annulant le plébiscite qui devait avoir lieu à ce sujet, va donc finalement se produire puisque l’offre « finale » déposée par IOC ne satisfait pas le Syndicat qui a rejeté les offres patronales. Le président de la section locale 5795 à Labrador City, Ron Thomas a écrit à ses membres sur la page Facebook USW 5795 : « Votre comité de négociations a reçu une offre finale de la compagnie que nous ne pouvons accepter. »

Facebook avant les travailleurs

La minière a dévoilé sur les réseaux sociaux une partie du contenu de sa dernière proposition qui devait être transmise aux travailleurs lors d’assemblées à Sept-Îles et à Labrador City, notamment en ce qui a trait à une éventuelle bonification de sa contribution déterminée au régime de retraite, avant qu’elle ne leur soit acheminée par le Syndicat suscitant la grogne de plusieurs syndiqués. Cette information partielle et tendancieuse se retrouve (en anglais seulement, double manque de respect) sur la page Facebook Iron Ore Company of Canada/Compagnie minière IOC, ce qui a choqué le porte-parole sept-îlien des Métallos, Dany Maltais qui a fermement dénoncé cette façon de faire peu cavalière qui ne respecte ni le processus normal ni les travailleurs. Ce dernier affirme que le Syndicat considère que cette publication ne reflète pas l’offre déposée par l’employeur, mais est plutôt destinée à mettre en valeur quelques éléments isolés qui font l’affaire de l’entreprise qui tente de redorer son blason.

Rio Tinto qui est copropriétaire de l’aluminerie ABI de Bécancour doit déjà gérer un lockout qui y sévit depuis le 11 janvier dernier et qui affecte 1030 syndiqués métallos.

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Publié le 2 avril, 2018, dans la publication : Numéro 06 Volume 36

  • Conflit de travail
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Publié sur le site le 3 avril 2018

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Taïga Carnaval 2018

Une panoplie d’activités pour tous les goûts

par Éric Cyr

Source photo : Kathleen Dubé

La 8e édition du Taïga Carnaval s’est déroulée du 21 au 25 mars dernier dans des conditions climatiques plutôt clémentes au grand bonheur des festivaliers. En préouverture de carnaval, la population a eu droit à une représentation théâtrale de la célèbre Guerre des tuques organisée en activité parascolaire par l’enseignante Nadia Brouillard. Des élèves de la maternelle au secondaire ont pris la parole sur scène devant la salle de l’auditorium presque comble.

Le carnaval s’est reposé une journée pour reprendre ses activités le vendredi matin avec la classe neige des écoles et la journée neige des services de garde. Les jeunes ont pu profiter des glissades, du labyrinthe et dîner sous le chapiteau avec la mascotte de l’événement, Taïgouin. Un mini-rallye des glaces était également organisé par la MAHF. En après-midi, Placements Monfer présentait le snowjam. Plusieurs jeunes et moins jeunes ont dévalé une pente remplie d’obstacles et ont impressionné la foule et les juges. En début de soirée, le Club de motoneige Les Lagopèdes et la Sûreté du Québec organisaient la traditionnelle randonnée de motoneige aux flambeaux qui fût suivie de la cérémonie d’ouverture et du spectacle pyromusical. Les feux d’artifice ont encore une fois émerveillé petits et grands. La soirée s’est terminée sous le chapiteau avec la magnifique DJ Abeille qui a mixé pendant un peu plus de deux heures.

Le lendemain matin, mère nature s’est montrée difficile et quelques courageux ont bravé la tempête pour participer au tournoi de Yukigassen, sport japonais de balles de neige. En après-midi, le soleil s’est pointé le bout du nez et les familles ont pu profiter des glissades sur tube organisées par le club Optimiste et les adultes ont à leur tour pratiqué le Yukigassen. En fin d’après-midi, la course de souffleuses de plus en plus populaire a attiré une foule immense attroupée autour du terrain de tennis. Le gagnant de cette année remportait la nouvelle coupe JD fabriquée par l’artiste Yan Poirier et nommée en l’honneur d’un grand bénévole de la course de souffleuses qui nous a quittés en 2017. La soirée bras de fer sous le chapiteau organisée par Yoan Samuel et son équipe a attiré beaucoup de participants cette année. Finalement, les gens ont pu se déplacer au centre multifonctionnel Cliffs pour le spectacle du groupe Undercover qui a ravi plus de 200 personnes.

Le dimanche matin, les participants ont pu prendre part à la deuxième édition du triathlon des neiges qui fut une réussite encore cette année. En après-midi, le club Les Lagopèdes s’occupait de l’organisation des classiques courses de motoneiges. Petits et grands admiraient les bolides avec enthousiasme. Le comité organisateur, composé de Bernard Dupont, Marie Philippe Couture, Julie David, Karl Gagné-Côté et Alain Frappier, est fier et heureux de l’engouement des citoyens encore cette année. C’est un rendez-vous pour la neuvième édition du Taïga Carnaval l’an prochain.

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Publié le 2 avril, 2018, dans la publication : Numéro 06 Volume 36

  • Course de souffleuses
  • Fermont
  • Glissades sur tube
  • La guerre des tuques
  • Randonnée de motoneige aux flambeaux
  • Taïga Carnaval
  • Triathlon des neiges
  • Yukigassen

Publié sur le site le 3 avril 2018

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Défi Taïga 2018

Une 5e édition réussie!

par Éric Cyr

Source photo : François Trahan

La cinquième édition du Défi Taïga 200 qui s’est tenue au nord du 52e parallèle, les 23 et 24 mars dernier, a attiré une foule nombreuse qui s’est massée aux abords du départ de la plus longue course de chiens de traîneau de l’est du Canada sur le site du Taïga Carnaval à Fermont. Quatorze meneurs de chiens (mushers) se sont alignés au début du parcours avant de s’élancer sous les vivats du public enthousiaste incluant de nombreux enfants de l’école des Découvertes, dont les classes étaient jumelées avec un coureur, venus encourager leurs idoles.

Cet événement d’envergure qui a vu le jour en 2014 a déjà acquis une réputation internationale et attire annuellement des coureurs des quatre coins d’Amérique. Cette année, en plus des compétiteurs fermontois, québécois et acadiens, un musher de la Nouvelle-Angleterre aux États-Unis a aussi pris part à l’épreuve sportive qui constitue une des dernières de la saison dans le monde du mushing nord-américain. La qualité de la neige et la situation géographique au cœur de la forêt boréale sont propices à une telle activité hivernale. Dans le cadre de cette compétition particulière, les mushers et leurs attelages doivent franchir une distance totale de 218 km en boucle divisée en deux étapes de 109 km incluant un repos de 6 heures à la mi-parcours avant de revenir à la case départ à Fermont pour y franchir le fil d’arrivée.

Bénévolat, pierre angulaire du succès

De nombreux bénévoles locaux se sont impliqués à la bonne marche du Défi Taïga, notamment le cofondateur Serge Côté et Solange Vachon, mais aussi des participants venus d’ailleurs, des bénévoles d’aventure composés essentiellement des six membres de l’équipe vétérinaire, deux de plus que l’an passé, des bourlingueurs infatigables et amoureux des animaux, qui ont parcouru plus de 1200 km en minibus incluant leur périple sur la chaotique route nationale 389. La sommité mondiale en médecine vétérinaire des chiens de traîneau, le docteur Jerry Vanek, était sur place au sein du groupe après avoir été invité par les mushers fermontois Michel Lécuyer et Carole Vuylsteke lors de leur participation aux Championnats mondiaux de chiens de traîneau à Haliburton en Ontario l’an passé. Des étudiants innus de la Commission scolaire du Saguenay en collaboration avec le Centre régional d’éducation aux adultes et la communauté de Uashat ont aussi participé activement à l’installation des infrastructures sous la supervision de l’ambassadeur de la culture innue et fier gardien des us et coutumes traditionnels et ancestraux de son peuple, Fred McKenzie, et ont épaté par leur savoir-faire, leur disponibilité et leur motivation.

Les Québécois dominent

Le vainqueur du Défi Taïga 2018 est André Longchamps de Pont-Rouge avec un chronomètre de 15 heures, 34 minutes et 46 secondes, suivi de Denis Tremblay de Saint-Michel-des-Saints qui a terminé deuxième avec un temps de 15:51:30. La troisième place a été ravie par Martin Massicotte de Saint-Tite qui s’est classé en 16:01:59 talonné au 4e rang par Éric Chagnon de Parent qui a complété le trajet en une durée de 16:44:29. Le premier Fermontois à rentrer au bercail est Yan Shaw en 5e position avec un chrono de 17:45:19 après avoir livré une belle bataille et pourchassé de près par Étienne Bernier de Saint-Anselme qui est arrivé sixième en 17:46:26. Gilles Harnois de Saint-Alexis-des-Monts s’est hissé en 7e place en 20:58:30 devançant la première femme, la Fermontoise d’origine belge, Carole Vuylsteke, qui a bien tiré son épingle du jeu parmi la meute masculine en terminant dignement huitième. Malgré un entraînement et une préparation minutieuse et des efforts quotidiens soutenus pour assurer le bien-être de leurs chiens tout au long de l’année, la moitié de ceux qui ont pris le départ ont été contraints d’abandonner principalement à cause de la neige, le vent et les congères (lames de neige) qui ont rendu le parcours ardu tant pour les pilotes d’attelage que pour leurs fidèles compagnons canins.

Fait à noter, la présence de la chaîne de télévision RDI, affiliée au diffuseur public national ICI Radio-Canada, pour la première fois depuis la création du Défi Taïga Carnaval.

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Publié le 2 avril, 2018, dans la publication : Numéro 06

  • Course de chiens de traîneau
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  • Dr Jerry Vanek
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Publié sur le site le 3 avril 2018

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