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  • Une enseignante britannique fait son nid

    De l’Europe vers Fermont

    Une enseignante britannique fait son nid

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    Covid-19

    Plus d’un millier de Fermontois ont été vaccinés

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    Santé et sécurité du travail

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  • Une décennie bien remplie !

    Taïga Carnaval

    Une 29 mars, 2021

    Une décennie bien remplie !

Numéro_06

Une enseignante britannique fait son nid

De l’Europe vers Fermont

Une enseignante britannique fait son nid

Plus d’un millier de Fermontois ont été vaccinés

Covid-19

Plus d’un millier de Fermontois ont été vaccinés

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De la poudre aux yeux

Une décennie bien remplie !

Taïga Carnaval

Une 29 mars, 2021

Une décennie bien remplie !

De l’Europe vers Fermont

Une enseignante britannique fait son nid

par Éric Cyr

Le Royaume-Uni évoque des images comme la monarchie, la rose Tudor, le rituel du thé anglais, le palais de Buckingham, le pont suspendu de Londres ou le Brexit, mais pour certains Fermontois c’est plutôt une jeune assistante en enseignement, qui a participé à un échange international dans le cadre duquel elle a abouti dans la ville minière nordique, qui vient à l’esprit.

Globe-trotter

Originaire de Sandbach à proximité de Manchester dans le nord-ouest de l’Angleterre, Rhianna Stenson a étudié les langues, les relations publiques et le journalisme à l’Université de Newcastle avant de prendre part à une permutation à l’étranger dans un pays francophone. La femme de 23 ans qui adore la nature, les activités en plein air et le ski alpin a choisi le Québec comme destination. « J’ai beaucoup voyagé notamment au Canada à Revelstoke en Colombie-Britannique et au lac Louise en Alberta, ainsi qu’aux États-Unis, en Australie et en Inde, et dans la chaîne de montagnes de l’Himalaya où j’ai participé à un projet de construction d’une école, une expérience gratifiante. J’ai aussi travaillé en France dans une station de ski à Morzine dans les Alpes près de la frontière suisse. J’adore découvrir d’autres cultures, c’est excitant », confie celle qui a enseigné localement l’anglais au primaire et au secondaire dans le cadre d’un stage l’an passé et qui récidive cette année à l’école des Découvertes dans le cadre du même programme.

« Je suis tombée amoureuse de Fermont et du Québec. J’ai visité Québec, Montréal, et fait le tour de la Gaspésie durant l’été. Je me suis fait beaucoup d’amis. Je m’ennuie parfois de ma famille, mais j’aime ma vie ici. Je vais à des chalets en motoneige, j’ai fait une promenade en traîneau à chiens », explique la jeune enseignante qui termine actuellement son baccalauréat en ligne et doit se lever très tôt à cause du décalage horaire afin de suivre ses cours à distance.

«God save the queen !»

Rhianna Stenson, qui songe éventuellement à faire une demande de citoyenneté canadienne, ne s’attendait pas qu’elle aimerait autant son expérience dans le Nord québécois. En fait, elle était un peu réticente quand elle a appris qu’elle serait envoyée à Fermont à proximité du Labrador. Elle aime bien l’hiver, mais après avoir effectué une recherche sur Google, elle trouvait l’endroit quelque peu éloigné et s’imaginait qu’on l’envoyait dans une sorte de Sibérie lointaine. Elle a constaté avec un certain recul que le froid n’est pas si mordant. Quelle ne fut pas sa surprise de recevoir un accueil chaleureux, d’y découvrir des gens sympathiques et un mode de vie calme et paisible en plus d’y rencontrer en prime son copain qui travaille dans le domaine minier. Afin de captiver l’attention des élèves et de stimuler leur intérêt, cette dernière utilise parfois une méthode pédagogique particulière inspirée d’une sorte de flegme britannique teinté d’humour. « J’ai fait une blague aux enfants en leur faisant croire que la reine d’Angleterre est ma grand-mère. Le lendemain, ils m’ont demandé si c’était vraiment le cas », conclut-elle en riant.

Publié le 29 mars, 2021, dans la publication : Numéro_06 Volume 39

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Publié sur le site le 29 mars 2021

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Covid-19

Plus d’un millier de Fermontois ont été vaccinés

par Éric Cyr

Source photo : Pixabay

En date du 29 mars 2021, c’est plus de 1000 Fermontois de 18 ans et plus qui ont reçu la première injection du vaccin Moderna contre la Covid-19 dans le cadre de trois cliniques de vaccination organisées localement sur une période de neuf jours par le Centre de santé de Fermont, ce qui constitue près de la moitié de la population de la localité nordique.

Selon la coordinatrice de territoire pour le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de la Côte-Nord à Fermont, Danie Chamberland, une clinique de vaccination qui visait les travailleurs de la santé durant laquelle 80 doses du vaccin ont été administrées s’est déroulée en janvier dernier. Par la suite, un peu plus de 800 citoyens ont pu profiter de la première période de vaccination pour le public qui se déroulait au Centre multifonctionnel Cliffs du 11 au 15 février ainsi que le 18 février et par la suite environ 200 résidents se sont aussi fait injecter une première dose du vaccin lors d’une seconde période de vaccination qui s’est tenue à la salle 1 du centre de santé local, les 19 et 22 mars. Une liste d’attente avait même alors été créée afin de pouvoir rejoindre rapidement ceux qui souhaitaient obtenir un premier vaccin.

Rappel

En ce qui concerne la deuxième dose de vaccin contre la Covid-19, c’est le CISSS de la Côte-Nord qui contactera les personnes qui ont reçu une première dose avant le 10 mars 2021 pour planifier leur rendez-vous afin de recevoir leur seconde dose. La deuxième dose du vaccin sera administrée à environ 16 semaines (4 mois) d’intervalle après l’administration de la première dose, conformément aux consignes du ministère de la Santé et des Services sociaux.

Ceux qui ont reçu une première dose du vaccin pourront donc obtenir un rappel lorsqu’une date sera annoncée.

Ceux qui n’ont pas encore été vaccinés et qui voudraient recevoir une première dose devront attendre qu’une autre clinique soit élaborée. Le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de la Côte-Nord avisera la population lorsque de nouvelles cliniques de vaccination contre la COVID-19 seront organisées. Lors des prochaines cliniques, un rendez-vous pour recevoir une deuxième dose sera donné sur place aux personnes qui se présenteront pour recevoir leur première dose de vaccin. Alors qu’ailleurs sur la Côte-Nord, les personnes de 65 ans et plus (nées en 1956 ou avant) peuvent actuellement s’inscrire aux prochaines cliniques de vaccination, pour Caniapiscau qui fait partie de la catégorie des communautés éloignées ou isolées (rang 4), l’ordonnancement ne compte pas et donc chaque citoyen de plus de 18 ans peut s’inscrire pour recevoir un vaccin. Une centaine de résidents de Schefferville ont aussi été vaccinés en plus de plusieurs autochtones des communautés innue de Matikekush-Lac John et naskapie de Kawawachikamach.

Lorsque des cliniques sont planifiées, il est possible de s’inscrire sur le site Web quebec.ca/vaccincovid et par téléphone en composant le 1 877 644-4545. Quand des places sont disponibles, la centrale de rendez-vous est ouverte du lundi au vendredi de 8 h à 20 h ainsi que les samedis et dimanches de 8 h 30 à 16 h 30. Le CISSS de la Côte-Nord octroie uniquement des rendez-vous pour une première dose du vaccin contre la Covid-19 en ce moment.

Publié le 29 mars, 2021, dans la publication : Numéro_06 Volume 39

  • Caniapiscau
  • Centre de santé de Fermont
  • CISSS de la Côte-Nord
  • Clinique de vaccination
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  • Population nordique

Publié sur le site le 29 mars 2021

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Santé et sécurité du travail

Les reculades, ça ne passe pas !

par Éric Cyr

Source photo : Pixabay

Selon le Syndicat des Métallos, le projet de loi no. 59 sur la réforme de la santé et sécurité du travail au Québec comporte plusieurs régressions en prévention et en indemnisation qu’il faut impérativement dénoncer afin de corriger la situation qui risque de devenir une réalité si le gouvernement Legault s’entête à ne pas entendre raison et à poursuivre dans cette voie pavée de replis.

Rétrogression

Alors que les Métallos espéraient voir les mécanismes de prévention en vigueur actuellement pour moins de 12 % des travailleurs être étendus à l’ensemble des milieux de travail, le projet de loi no. 59 tel que proposé par le ministre québécois du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, Jean Boulet, fait le contraire en soumettant plutôt des replis importants dans les mécanismes actuels de prévention, des rabaissements dans l’indemnisation des travailleurs accidentés ou malades et une dérive vers une prévention de façade.

Déclin anticipé

« La réforme amènerait dans le secteur industriel un glissement vers une prévention de papier. On affaiblit la capacité syndicale de contraindre les employeurs à faire de la vraie prévention, on diminue l’impact réel de la prévention sur le terrain et on introduit plusieurs reculs dans l’indemnisation des travailleurs accidentés ou malades », dénonce le directeur québécois du Syndicat des Métallos, Dominic Lemieux. Les Métallos concèdent que le ministre Boulet recule, certes, sur certains aspects problématiques comme le retrait préventif des travailleuses enceintes ou le fait que les médecins donneront leur avis avant le retour au travail, mais soulignent qu’en prévention et en indemnisation les rétrogradations sont nombreuses.

Prévention

Les pouvoirs des comités de santé et sécurité ne sont pas restaurés, notamment quant au choix du médecin et à l’adoption du programme de prévention. Ces deux décisions relèveront désormais de l’employeur. Il n’y a rien non plus sur la liste des contaminants.

La dilution de la prévention sur plusieurs établissements sans l’accord du syndicat demeure. L’employeur pourrait décider de faire un seul comité de santé et sécurité et de n’avoir qu’un seul représentant à la prévention pour plusieurs milieux de travail, à moins que les travailleurs et syndicats s’entendent pour en avoir dans chaque milieu de travail et que l’employeur accepte. Avec les amendements, il n’y aurait plus d’exigences minimales pour la prévention dans la loi (heure du représentant à la prévention, fréquence des réunions du comité de santé et sécurité). Sans plancher, tout devra être négocié (ou soumis à une décision de la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) à défaut d’entente, ce qui accentue la judiciarisation). Cela augure mal pour rehausser réellement la prévention, tout particulièrement dans les milieux non syndiqués et là où la prévention n’est pas inscrite dans la convention collective.

Indemnisation

En indemnisation, les coupes dans le soutien aux travailleurs et travailleuses demeurent.
La reconnaissance de maladies professionnelles comme la surdité et certains types de cancers sera plus compliquée.
Le nombre de traitements et leur nature restent limités.
La fin du soutien aux travailleurs âgés de plus de 55 ans est maintenue.
Les assignations temporaires (ou travaux légers) deviendront des occasions de main-d’œuvre bon marché (cheap labor) à 90 % du salaire assurable.

Les Métallos indiquent qu’il est possible pour un citoyen de manifester son opposition en écrivant une lettre ou en envoyant un courriel à son député.

Publié le 29 mars, 2021, dans la publication : Numéro_06 Volume 39

  • Dominic Lemieux
  • Gouvernement Legault
  • Indemnisation
  • Loi sur la santé et la sécurité du travail
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Publié sur le site le 29 mars 2021

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Santé et sécurité du travail

De la poudre aux yeux

par Éric Cyr

Source photo : Pixabay

Le ministre du Travail, Jean Boulet, a déposé, le 16 mars dernier, des amendements concernant la réforme de la loi sur la santé et la sécurité du travail. Ces modifications frileuses ont été décriées d’un commun accord par les quatre grandes centrales syndicales québécoises : la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) avec qui les Métallos, le plus important syndicat du secteur privé au Québec, est affilié, la Confédération des syndicats nationaux (CSN), la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) et la Centrale des syndicats démocratiques (CSD), qui dénoncent à l’unanimité des reculs inacceptables dans le domaine.

Les dirigeants syndicaux accueillent avec beaucoup de déception les amendements proposés dans le cadre de l’étude détaillée du projet de loi no. 59 qui selon eux ne règlent rien et ouvrent la porte aux abus. L’alliance syndicale explique : « Plusieurs lacunes ont été relevées dès le dépôt du projet de loi non seulement par nos organisations, mais également par plusieurs représentants de la société civile, médecins en santé publique, juristes et universitaires. Malheureusement, les modifications soumises par le ministre demeurent insuffisantes afin d’assurer adéquatement la santé et la sécurité des travailleuses et des travailleurs. »

« À propos des mesures de réparation à la suite d’une lésion ou d’un accident, les Québécois et les Québécoises vont encore être moins bien protégés avec le projet de loi no. 59. En ajoutant de multiples limitations d’accès à la loi sur les accidents de travail et les maladies professionnelles (LATMP), le ministre complexifie et réduit considérablement l’accès aux droits de protection et de réadaptation. C’est inacceptable ! Plus ça va, plus on s’éloigne de l’objectif initial de cette loi. Faut-il rappeler au ministre qu’elle a pour but de protéger les travailleurs et travailleuses ? » dénonce le président de la FTQ, Daniel Boyer.

« En ce qui concerne la prévention, le nombre minimal de rencontres du comité SST (santé et sécurité au travail) est famélique. On ne sait même plus le nombre de représentants qui doivent y siéger. Plus rien sur le minimum d’heures de libération pour le représentant en prévention. Le ministre nous propose plutôt d’attendre que l’employeur et les travailleurs s’entendent, sinon la commission tranche et les parties peuvent contester les décisions devant les tribunaux. On n’avait pas assez de la judiciarisation des lésions professionnelles, maintenant c’est la judiciarisation de la prévention qui s’ajoute ! Cette façon de faire ne sert personne et aura pour effet de négocier la prévention dans nos relations de travail. La prévention, c’est non négociable ! » ajoute le président de la CSN, Jacques Létourneau.

« Ça fait 40 ans que nous attendons cette réforme, le ministre n’a pas le droit de rater la cible. Alors qu’on veut des mécanismes de prévention fonctionnels, les amendements apportés risquent de judiciariser et d’engorger davantage les tribunaux. Le ministre s’était engagé à inclure les risques psychosociaux dans sa réforme, mais aucun ajout en ce sens n’est prévu malgré toute l’importance qu’occupe cette problématique dans nos milieux de travail aujourd’hui. Les hommes et les femmes doivent pouvoir revenir auprès de leur famille en toute sécurité après une journée de travail. Le ministre a encore l’occasion d’apporter des correctifs et l’étude détaillée lui donne cette possibilité. Nous l’invitons à agir », déclare la présidente de la CSQ, Sonia Ethier.

« Nous l’avons dit dès le début, un sérieux coup de barre doit être donné, et malheureusement, rien ou presque dans ce que nous propose le ministre ne nous laisse entrevoir une amélioration du régime de santé et de sécurité du travail. Ce que nous observons en matière de prévention et de réparation soulève de grandes inquiétudes. Ce projet de loi va passer à l’histoire pour les mauvaises raisons s’il n’est pas sérieusement amendé », conclut le président de la CSD, Luc Vachon.

Publié le 29 mars, 2021, dans la publication : Numéro_06 Volume 39

  • Amendements
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Publié sur le site le 29 mars 2021

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Taïga Carnaval

Une décennie bien remplie !

par Éric Cyr

Source photo : Jocelyn Blanchette

La pandémie n’aura pas freiné les organisateurs de la dixième édition du Taïga Carnaval de Fermont qui ont fait le pari de la tenue de cet événement annuel d’envergure, du 16 au 21 mars 2021, malgré les nombreuses incertitudes et les nécessaires adaptations liées aux mesures sanitaires changeantes de la Santé publique. Il faut dire que plusieurs concepts innovateurs ont été présentés durant cette manifestation culturelle et sportive annuelle au cours des années, dont une première mondiale, la fameuse course de souffleuses qui a fait le tour des réseaux sociaux.

Un carnaval qui fait bouger

Ce fut toute une gageure pour les organisateurs d’offrir à la population des activités variées respectant les mesures de distanciation physique permettant aux familles de s’amuser sans inciter aux rassemblements. Les festivités ont commencé par deux spectacles soit celui des humoristes Sinen Kara et Neev des soirées Juste pour rire, le 16 mars, suivi de la performance solo de Mario Jean, le 18 mars, qui nous a présenté à la demande populaire une reprise de son dernier spectacle « Aller de l’avant ». Les 18 et 19 mars, les élèves des écoles fermontoises se sont amusés au sein de leur bulle classe à la grande glissade extérieure.

Un vent d’air frais

L’ambassadeur du Taïga Carnaval, la mascotte Taïgoin, que le public a pu apercevoir durant plusieurs événements n’a rien perdu de sa jovialité et de sa popularité. Parmi les nouvelles activités proposées cette année, la guerre de forts, un défi s’échelonnant sur 24 heures qui a été relevé par une douzaine d’enfants, qui consistait à construire un fort et à garder son drapeau à l’abri des voleurs pirates. Le rallye hivernal familial a attiré 53 participants, principalement des jeunes, qui ont gagné des tubes à glisser dans le cadre d’un tirage au sort. La chasse aux cadeaux à motoneige a aussi été très populaire et les prix se sont envolés très vite.

Attelages des neiges

Les randonnées en traîneau à chiens, dont le départ se tenait à proximité de l’anneau de glace extérieur, les 20 et 21 mars, ont vite été remplies. Trois équipes de meneurs de chiens (mushers) ont fait plaisir à de nombreux bambins ravis de vivre cette expérience unique en nature. Félicitations à l’équipe de responsables des Mushers du Grand Nord, composée de Michel et Carole Lécuyer, de Yan et Florence Shaw et de la « Française » nouvellement mariée Vanessa Guesdon, qui a mené rondement ces promenades à propulsion canine. Un clin d’œil à Fred Mckenzie, qui a monté une tente traditionnelle innue, cuit du pain banique, et offert de la tisane aux parents.

Croquer quoi ?

Plusieurs autres activités ont aussi été proposées, notamment du cardio en plein air, du ski de fond sur les sentiers du club Les traceurs, un petit déjeuner en collaboration avec la Coop Metro, le « flash mob », une chorégraphie à exécuter avec les membres de votre bulle familiale dans le confort de votre foyer, que les gens pouvaient partager en ligne et une curiosité, le crokicurl, un sport d’hiver inventé au pays qui est un jeu extérieur hybride à grande échelle du curling et du jeu de société Crokinole.

La fête dans les rues

Une soirée musicale a été animée par DJ Dnoy qui, juché sur un char allégorique, a déambulé dans les rues de la ville faisant entendre sa musique entraînante qui était diffusée en simultané sur les ondes de la radio CFMF 103,1, et, en format vidéo sur la page Internet du Taïga Carnaval. Celui-ci invitait les familles à sortir dehors et à applaudir durant le passage du cortège musical escorté par des voitures de police. Plusieurs citoyens avaient fait des feux de foyer dans leur cour afin de se réchauffer en attendant le défilé sonore. Bravo aux concepteurs de la cabine installée sur une remorque de ce convoi singulier.

Pyrotechnie festive

Le clou du carnaval a certainement été le spectacle pyrotechnique où les gens pouvaient assister à des feux d’artifice lancés du mont Daviault, une première à Fermont. C’est avec émerveillement que chacun a pu entendre les pétarades et admirer les sillages lumineux dans le ciel nocturne de chez soi, installé sur sa terrasse, dans sa cour ou sur le toit de sa maison.

Merci au comité organisateur de l’événement, à la Ville de Fermont et aux employés municipaux, à la MRC de Caniapiscau et aux nombreux partenaires dont le club de motoneige Les Lagopèdes, aux commanditaires ainsi qu’aux bénévoles infatigables qui ont grandement contribué à la réussite de ce dixième épisode carnavalesque.

Publié le 29 mars, 2021, dans la publication : Numéro_06 Volume 39

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Publié sur le site le 29 mars 2021

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