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La nationale 389

Une 7 novembre, 2016

Cobayes de la route

Société des traversiers

Une grève qui dérange

par Éric Cyr

Source photo : Pixabay

Les officiers de navigation et les mécaniciens de cinq traverses de la Société des traversiers du Québec (STQ) incluant celles de Matane-Côte-Nord et de Tadoussac-Baie-Sainte-Catherine, ont déclenché une grève qui affecte particulièrement les citoyens nord-côtiers en période de vacances estivales et les camionneurs qui devront se résoudre à emprunter une route alternative qui rallonge inévitablement leur trajet routier.

Cette grève de 10 jours, dont les deux premiers jours d’interruption du service ont eu lieu les 21 et 22 juin 2024, est survenue après un vote des 150 syndiqués de la section locale 9599 du Syndicat des Métallos qui se sont prononcés dans une proportion de 93 %, le 12 juin, en faveur d’un mandat de tenir jusqu’à 10 jours de grève dans les cinq principales traverses de la STQ. Les huit autres dates n’ont pas encore été déterminées. « Nos membres gagnent environ 10 $ de l’heure de moins que les autres officiers ayant des brevets comparables. Les salaires ne sont pas compétitifs à la STQ comparativement à ce qui se fait ailleurs. La STQ paie deux à trois fois plus cher que ce qu’elle offre à ses propres officiers pour des employés d’agence. Si la STQ payait correctement, elle aurait assez de personnel et n’aurait pas besoin d’avoir recours à une agence », confie le président de l’unité 9599, le capitaine Simon Charbonneau. » Selon le Syndicat, les employés qui n’ont pas eu d’augmentation salariale depuis le 1er avril 2022 sont déterminés à faire avancer le dossier. « Nos membres sont exaspérés par la lenteur des négociations…Le Conseil du trésor doit donner les mandats nécessaires pour dénouer l’impasse », souligne le représentant syndical des Métallos, Luc Roberge.

Région en otage

La Chambre de commerce et d’industrie de Manicouagan (CCIM), la Chambre de commerce de Sept-ĂŽles Uashat concernant les impacts nĂ©gatifs engendrĂ©s par les moyens de pression exercĂ©s dans le cadre de ces nĂ©gociations qui risquent, selon ces organisations, d’affecter l’image de la rĂ©gion sur la scène nationale et de modifier le choix de la destination touristique de plusieurs pour les vacances estivales. « Il est inacceptable en 2024 de tenir une rĂ©gion en otage… Nous considĂ©rons que c’est la responsabilitĂ© de l’employeur et du syndicat de conclure une entente et que les deux sont responsables de la menace qui pèse sur la CĂ´te-Nord. La pression ne sera pas mise sur le gouvernement lors des arrĂŞts prĂ©vus par le syndicat, mais sur les entreprises, les touristes et l’économie de notre rĂ©gion », a dĂ©clarĂ© le directeur gĂ©nĂ©ral de la CCSIUM, John James Blanchette.

Le coprésident de la CCIM, Antonio Hortas, ajoute : « Nous voulons sensibiliser les partis à considérer le maintien du service comme une priorité absolue durant la saison la plus achalandée de l’année pour les traverses entre la Côte-Nord et le Bas-Saint-Laurent. Tous devront mesurer la gravité des séquelles potentiellement permanentes qu’un arrêt, même ponctuel, causerait à la Côte-Nord. »

Le directeur général de la CCIM, Jeff Dufour Tremblay, conclut : « Les négociations doivent être menées sans porter atteinte aux entreprises et aux touristes de la Côte-Nord. Si le syndicat souhaite avoir l’appui de la population et la STQ améliorer son image déjà entachée dans la région, ils doivent trouver un moyen de régler la situation dans les plus brefs délais. »

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Publié le 25 juin, 2024, dans la publication : Numéro_12 Volume_42

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Publié sur le site le 25 juin 2024

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Route nationale 389

Des camionneurs mécontents

par Éric Cyr

source photo : Escorte routière Baie-Comeau

De nombreux conducteurs professionnels qui empruntent régulièrement la route nationale 389 sont mécontents de son état et dénoncent les lacunes relatives à sa configuration hors-norme et le laxisme dans son entretien tout en s’inquiétant des risques accrus que cela entraîne pour la sécurité des usagers du seul lien routier de la région.

Les chauffeurs de poids lourds exaspérés déplorent le manque de communication entre Transports Québec et les entreprises responsables de l’entretien le long de cette artère routière qui relie Baie-Comeau à la frontière du Labrador et souhaitent une meilleure coordination des interventions. Les démarches de sensibilisation à la dangerosité et aux particularités de cette route interprovinciale que les routiers ont faites à maintes reprises auprès de représentants du ministère des Transports et de la Mobilité durable (MTMD) ne semblent pas avoir eu d’écho.

« Plusieurs camionneurs expérimentés ont essayé à maintes reprises de faire changer la situation depuis des années, mais leurs efforts sont demeurés vains et ne donnent aucun résultat. C’est décourageant », dénonce le camionneur Patrick Enright alias Pat la patate. Ce dernier qui parle aussi au nom de ses collègues trouve inacceptable qu’une obstruction causée par un accident de la route s’étire durant une période prolongée. « Ce n’est pas normal qu’un mauvais entretien de la route cause des accidents et que lors d’un blocage de la route, le délai d’attente pour un remorquage puisse s’étirer durant presque une journée. À la fin avril, des camions sont restés au travers du chemin durant 18 heures en attendant une remorqueuse car il n’y en avait aucune de disponible ni à Baie-Comeau, ni à Fermont. En novembre dernier, une dizaine de camions et une quarantaine de voitures ont été immobilisés durant plus de huit heures », poursuit celui qui sillonne la 389 depuis 14 ans et qui est soucieux des risques inutiles encourus par les automobilistes lors de tels événements qui pourraient être évités grâce à une amélioration dans la gestion des événements et des interventions par le Ministère.

Selon le MTMD, qui précise que les usagers de la route ont la responsabilité de contacter un service de remorquage lorsque nécessaire, l’absence de couverture cellulaire sur presque l’entièreté du trajet de 570 kilomètres de cette route complique les communications, cependant des cabines téléphoniques connectées au réseau satellite sont disséminées le long de la 389. À cela, M. Enright réplique : « Difficile de contacter les services d’urgence ou une remorque quand les moyens de communication sont déficients incluant ceux du Ministère. »

Le propriétaire du service d’escorte routière, Escorte routière Baie-Comeau, Harold Michaud, abonde dans le même sens et insiste sur la côte problématique de Manic-5 qui est la cause de fréquentes obstructions. Il soulève aussi les lacunes de la réglementation en vigueur actuellement qui ne prend pas en considération les particularités uniques de la route 389 et qui ne répond pas aux exigences de sécurité à plusieurs endroits, ce qui aggrave le risque d’accident. « Je ne suis pas surpris que Transports Québec ait de la difficulté à coordonner ses ressources. J’ai fait parvenir une lettre au bureau de sécurité de Transports Québec, le 31 mai 2021. Je n’ai obtenu aucune réponse à ce jour. »

 

Parole donnée, parole tenue

Après avoir été informés de la problématique de la route nationale 389, qui ne respecte pas les normes minimales de sécurité, à la suite d’un récent déplacement à Fermont, deux députés du Parti québécois, Pascal Bérubé, de Matane-Matapédia, et Joël Arseneau, des Îles-de-la-Madeleine, ont promis, lors d’un point de presse sur place, qu’ils allaient sensibiliser la ministre des Transports Geneviève Guilbault à la dangerosité du seul lien routier de la région lors de leur retour à Québec.

Quelques jours plus tard, le 2 mai 2024, le Parti québécois, par la voix du député Joël Arseneau, a déposé la motion suivante sans préavis à l’Assemblée nationale du Québec : « Que l’Assemblée nationale demande au gouvernement de publier un échéancier pour la réalisation des travaux de pavage du tronçon de la route 389 entre Fire Lake et Fermont. »

La CAQ s’en fiche

La Coalition avenir Québec (CAQ) n’a pas jugé cette requête pertinente et a malheureusement écarté cette demande en battant la motion. La ministre responsable de la Côte-Nord et député de Duplessis, Kateri Champagne-Jourdain, et le député de René-Lévesque, Yves Montigny, ont eux aussi rejeté cette motion.

Le Parti québécois a exprimé qu’il croit à l’importance et à la nécessité de ces travaux afin d’assurer la sécurité des gens qui empruntent cet axe routier interprovincial. Selon le député madelinot Joël Arseneau : « La CAQ refuse d’établir un simple échéancier pour réaliser des travaux d’asphaltage sur un tronçon particulièrement dangereux de la route 389 entre Baie-Comeau et Fermont. » Son collègue péquiste, le député Bérubé, a pour sa part dénoncé ce refus sur les réseaux sociaux. 

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Publié le 14 mai, 2024, dans la publication : Numéro_09 Volume_42

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Publié sur le site le 15 mai 2024

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Route nationale 389

Des routiers professionnels s’expriment

par Éric Cyr

Légende photo : De gauche à droite sur la photo, les camionneurs Patrick Enright, Carol Marchand et Patrice Lapointe lors de leur passage à Labrador City.

Des conducteurs professionnels qui parcourent régulièrement la route nationale 389, la portion québécoise de la TransQuébec-Labrador, qui se déploie sur 570 kilomètres de Baie-Comeau à la frontière du Labrador, dénoncent son état lamentable. Ces camionneurs qui en ont long à dire sur le sujet ne comprennent pas pourquoi cet axe routier, un lien terrestre interprovincial qui fait partie du réseau routier national depuis 2005, ne respecte toujours pas les normes minimales de sécurité fixées par le ministère des Transports du Québec (MTQ).

La démarche des transporteurs routiers vise à sensibiliser les entrepreneurs responsables de l’entretien de la 389 qui sont pour leur part régis par Transports Québec qui est responsable d’assurer un suivi des contrats octroyés dans un souci de sécurité pour les usagers de la route. 

Patrick Enright, dont le pseudonyme est Pat la patate, s’étonne qu’après avoir été greffée au réseau national il y a près de deux décennies, la 389 est encore dans un état si déplorable. « On observe une recrudescence des sorties de route. Il y a de plus en plus d’accidents et l’on constate un laisser-aller au niveau du déneigement et du nivelage. On ne demande pas une autoroute à quatre voies, mais simplement un entretien adéquat puisque celui-ci laisse souvent à désirer dans plusieurs portions de route, en particulier plus au sud, et c’est ce que nous déplorons », confie le routier qui explique que cette prise de parole vise à améliorer la sécurité sur cet itinéraire qu’il juge dangereux et qui est de plus en plus achalandé.

« On ne peut faire confiance à la 389 qui n’offre aucune marge de manœuvre à plusieurs endroits, ce que je trouve anormal en 2022. Nous sommes des chauffeurs de métier, mais il faut considérer qu’il y a aussi des familles qui empruntent cette route et des conducteurs moins expérimentés. C’est aussi pour eux qu’on dénonce la situation. »

Le camionneur Patrice Lapointe, alias Pat’Patrouille, qui sillonne la 389 depuis 2005 abonde dans le même sens et réclame un minimum d’entretien en attendant la réfection complète de la route. « L’aspect sécuritaire est encore déficient. Je me souviens d’avoir été au chevet d’un blessé qui se vidait de son sang et qui a dû patienter durant cinq heures avant l’arrivée des ambulanciers, car il n’y avait aucune ambulance à Manic-5 et qui est malheureusement décédé durant son transport vers un centre hospitalier. » Ancien camionneur forestier qui conduisait un tracteur routier attelé à une semi-remorque à train double de type B, M. Lapointe discute souvent avec d’anciens confrères et sait de quoi il parle quand il confie que les chemins de bois pour les camions de billots et ceux d’Hydro-Québec sont mieux carrossables que la 389 qui est pourtant un axe interprovincial qui possède le statut de route nationale. « On ne demande pas la lune, juste l’ajout de gravier au printemps. C’est simple, l’entretien laisse à désirer. On assiste même à un recul depuis les deux dernières années et surtout dans la portion plus au sud sur la centaine de kilomètres entre le déversoir de Manic-5 et le Relais Gabriel. Et que dire de la portion sinueuse entre les kilomètres 240 et 256 ? Ça brasse tellement qu’on doit s’arrêter pour ramasser des produits et des morceaux perdus que l’on tasse sur le bord de la chaussée afin de prévenir des accidents. »

Le vieux routier Carol Marchand, dont le surnom est le Joker, connait très bien la 389 qu’il parcoure depuis de nombreuses années. Il est au diapason de ses collègues et dénonce lui aussi sa condition problématique. « On ne se sent pas écoutés par Transports Québec et l’on a l’impression de faire rire de nous autres. Toutes les raisons sont bonnes pour ne pas entretenir convenablement la route et ne pas niveler le chemin : il fait trop chaud, il fait trop froid, il neige, la visibilité n’est pas bonne, c’est trop venteux, il manque de personnel. C’est triste de constater ce phénomène récurrent. »

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Publié le 25 avril, 2022, dans la publication : Numéro_8 Volume_40

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Publié sur le site le 25 avril 2022

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La nationale 389

Cobayes de la route

par Éric Cyr

Certains camionneurs ont l’impression d’être des cobayes de la route interprovinciale 389 qui sert de terrain d’expérience pour le ministère des Transports du Québec (MTQ) qui y applique toutes sortes de produits censés améliorer les conditions routières et faciliter la conduite, mais dans les faits, les résultats sont plutôt douteux et ont souvent l’effet inverse.

Le camionneur « Ti-oui Noël » écrit sur la page Facebook Charrieux de la 389 : « Le matériel qui est étendu sur la route 389 quand c’est sec c’est comme du ciment, mais quand c’est mouillé c’est glissant comme de la glace. » Un autre chauffeur de poids lourds, Yvan Bellemare commente : « Le petit sinueux entre Manic-5 et le Relais Gabriel devient comme du savon quand il pleut. »  Selon le conducteur professionnel Yves Briand surnommé « L’arbre de Noël » qui pratique ce métier depuis bientôt 45 ans, le problème émane du MTQ qui néglige ses obligations envers les usagers et coupe les coins ronds. « J’ai déjà vu ça des routes de gravier, j’ai fait la baie James où ils mettaient de la pierre dynamitée, de la petite roche noire en hiver. Ce serait idéal pour la 389. » Il explique que c’est l’état de la route qui fait défaut.

Ce dernier fait écho aux propos tenus par son confrère Alain Bourque alias « mononcle Alain » qui pratique ce métier depuis 40 ans et qui dénonce le laxisme de Transports Québec dans ce dossier « Les chauffeurs sont toujours sur le qui-vive et redoutent cette route imprévisible. »

Même son de cloche de la part de Claude Doyon qui exerce cette profession depuis 42 ans et qui est resté coincé à deux reprises dans des côtes mal entretenues le 29 octobre dernier. « Il n’y a plus de gravier et il manque d’opérateurs, on ne voit pas de machines dans le chemin et le fond est en glace. S’ils sont incapables d’entretenir la route qu’ils la ferment et ils l’ouvriront quand elle sera sécuritaire. Ce n’est pas normal de ne pas pouvoir monter les côtes et de partir à reculons en tentant de le faire. » « L’arbre de Noël » pense qu’un retour au transport de marchandises par la voie ferrée devrait être envisagé compte tenu du piteux état de la route.

L’expérience et les expériences

Les conducteurs professionnels considèrent que les deux portions de route sinueuses soit celle de 15 kilomètres (entre le km 240 et le km 255) et de 67 kilomètres (entre Fire Lake et le Mont-Wright) sont extrêmement dangereuses. De plus, le macadam entre les kilomètres 256 et 264 a été enlevé cet été et cette portion de route n’est actuellement pas entretenue. « C’est une véritable tuerie. Il y a des secteurs de la route où tu as l’impression de flotter sur du limon » confie « L’arbre de Noël » qui explique que des camionneurs plus fortunés mettent des pneus larges, ce qui permet de mieux absorber les chocs afin de préserver leurs radiateurs.

« L’arbre de Noël » poursuit : « Au lieu de procéder à la réfection de la route, le MTQ fait des expériences avec toutes sortes de matières douteuses. Nos vies sont en jeu et ils effectuent des tests et nous on est des cobayes. Ils ont appliqué quatre sortes de produits, c’est de la poussière, ce n’est pas du gravier. Le sable ne fait pas fondre la glace sur leur nouveau produit dans les deux tracés sinueux. Ils devraient ajouter du sel à certains endroits et à certaines températures, ou du moins, en mélanger avec le sable. Pourquoi ne pas définir des zones où on pourrait appliquer du sel ? Ça n’a pas de sens de rouler là-dessus même pour les charrues (chasse-neige). Les opérateurs de machineries lourdes trouvent ça difficile et brisent leurs équipements. J’ai même vu des camionneurs qui devaient rouler à reculons (en marche arrière) pour monter la côte de Manic-5, ça n’a aucun sens. À certains endroits quand on roule, on dirait que tout veut sauter dans les airs. On brise nos camions, ce qui occasionne des frais de réparation exorbitants et les coûts d’assurance augmentent de façon considérable. Certaines compagnies d’assurance ne veulent même plus assurer les transporteurs qui empruntent cette route médiocre. »

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Publié le 7 novembre, 2016, dans la publication : Numéro 19 Volume 34

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Publié sur le site le 7 novembre 2016

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