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  • Des chantiers et des travaux

    Route 389

    Une 25 juin, 2024

    Des chantiers et des travaux

  • Une grève qui dérange

    Société des traversiers

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    Feux de forêt

    Des incendies perturbateurs

  • Une exposition itinérante

    Schefferville

    Une exposition itinérante

Numéro_12

Des chantiers et des travaux

Route 389

Une 25 juin, 2024

Des chantiers et des travaux

Une grève qui dérange

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Des incendies  perturbateurs

Feux de forêt

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Une exposition itinérante

Schefferville

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Route 389

Des chantiers et des travaux

par Éric Cyr

Légende : Sur la photo, travaux d’asphaltage au kilomètre 304 en direction nord au sud du Relais Gabriel. Photo de la couverture, les travaux qui se déroulent sur le tronçon 3 du projet A qui n’est pas accessible au public. Source photo : MTMD

Le ministère des Transports et de la Mobilité durable (MTMD) anticipe plus d’une dizaine de chantiers sur la route 389, qui fait partie du réseau routier national canadien, en 2024 et 2025. Selon Transports Québec, au terme des travaux prévus dans les deux prochaines années, les usagers de ce lien terrestre interprovincial pourront profiter de 41 kilomètres de chaussée neuve. Voici les principaux travaux qui devraient être effectués en 2024.

• Des travaux d’asphaltage sur gravier et de remplacement de ponceaux des kilomètres 304 à 314 qui ont commencé en 2023.

• Le remplacement de ponceaux des kilomètres 104 à 118 ainsi qu’au kilomètre 335.

• Du rechargement granulaire dont une partie est en cours.

• La réfection de la route de l’affluent ouest de la petite rivière Manicouagan et du chemin de la Sablière des kilomètres 428 à 436.

• Le remplacement du ponceau situé sous la route au kilomètre 559 dans le secteur du lac Daigle.

Nouveau tracé d’ici quatre ans

Par ailleurs, des travaux majeurs de reconstruction de la route 389 de Fire Lake à Fermont (projet A, tronçon 3), incluant du dynamitage, de la récupération de roc, de l’excavation de tourbières, du forage et l’installation de structures (ponceaux) sont actuellement au programme. L’an passé, des équipes ont posé des ponceaux, produit des matériaux granulaires, effectué du dynamitage et réalisé des déblais (ajout de terre pour niveler ou élever le sol) et des remblais (retrait de terre pour niveler ou baisser le sol). Les travaux de ce secteur ont été confiés à l’entreprise Dexter Québec, dont les travailleurs sont logés à Wabush au Labrador, pour un montant de 128,1 M $. Il faut ajouter à cette somme 9,5 M $ pour le contrôle de la qualité et l’ingénierie des matériaux et 27,3 M $ pour la surveillance des travaux qui ont été amorcés avec un an de retard en 2023 et ont repris le 28 mars dernier. Le nouveau tracé de 45 kilomètres, qui se situe des kilomètres 507 à 566, contournera totalement les deux sites miniers d’ArcelorMittal en évitant les 11 passages à niveau actuels grâce à la construction à un endroit stratégique d’une nouvelle intersection unique avec la voie ferrée. À terme, des interventions devraient avoir lieu sur un total de 70 kilomètres, dont 58 kilomètres de nouveau tronçon.

Les travaux des kilomètres 478 à 507 (tronçon 1, nouveau tracé de 13,5 kilomètres, et tronçon 2, réfection majeure de la route sur 10,5 kilomètres), qui sont réalisés par la communauté innue de Uashat mak Mani-utenam ont aussi repris en 2024 et consisteront en la construction de campements destinés aux travailleurs et en l’aménagement des chemins d’accès.

Depuis 2019

D’autres interventions importantes sur la chaussée s’échelonnant sur un total d’une centaine de kilomètres ont aussi eu lieu depuis 2019. Le nouveau tracé de Fire Lake jusqu’à Fermont aurait dû commencer à l’automne 2022 toutefois quatre appels d’offres ont été nécessaires puisqu’aucun soumissionnaire ne s’est manifesté lors des trois premiers. Le mode d’adjudication du dernier appel d’offres public a donc été modifié. Ce ralentissement de nature contractuelle a retardé les travaux à 2023.

• Reconfiguration complète de la route des kilomètres 0 à 22.

• Asphaltage des kilomètres 27 à 49.

• Nouvelle configuration de la route des kilomètres 240 à 254.

• Réfection de la route de l’ancienne ville de Gagnon jusqu’au chemin de l’aéroport des kilomètres 394 à 401.

• Réfection de la route des kilomètres 444 à 480.

La mise en service de l’ensemble du projet A entre les kilomètres 478 et 566, qui permettra aux usagers du réseau routier d’économiser un total de 19 kilomètres, est prévue en 2028. Pour connaître l’évolution des projets du programme d’amélioration de la route 389, vous pouvez vous abonner à l’infolettre Accès 389 : quebec.ca/transports/projets-routiers/cote-nord/route-389-programme-amelioration-route

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Publié le 25 juin, 2024, dans la publication : Numéro_12 Volume_42

  • Chantiers routiers
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  • Lien terrestre interprovincial
  • Ministère des Transports et de la Mobilité durable
  • Nouveau tracé
  • Réseau routier national canadien
  • Route 389
  • Transports Québec
  • Travaux d’asphaltage

Publié sur le site le 25 juin 2024

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Société des traversiers

Une grève qui dérange

par Éric Cyr

Source photo : Pixabay

Les officiers de navigation et les mécaniciens de cinq traverses de la Société des traversiers du Québec (STQ) incluant celles de Matane-Côte-Nord et de Tadoussac-Baie-Sainte-Catherine, ont déclenché une grève qui affecte particulièrement les citoyens nord-côtiers en période de vacances estivales et les camionneurs qui devront se résoudre à emprunter une route alternative qui rallonge inévitablement leur trajet routier.

Cette grève de 10 jours, dont les deux premiers jours d’interruption du service ont eu lieu les 21 et 22 juin 2024, est survenue après un vote des 150 syndiqués de la section locale 9599 du Syndicat des Métallos qui se sont prononcés dans une proportion de 93 %, le 12 juin, en faveur d’un mandat de tenir jusqu’à 10 jours de grève dans les cinq principales traverses de la STQ. Les huit autres dates n’ont pas encore été déterminées. « Nos membres gagnent environ 10 $ de l’heure de moins que les autres officiers ayant des brevets comparables. Les salaires ne sont pas compétitifs à la STQ comparativement à ce qui se fait ailleurs. La STQ paie deux à trois fois plus cher que ce qu’elle offre à ses propres officiers pour des employés d’agence. Si la STQ payait correctement, elle aurait assez de personnel et n’aurait pas besoin d’avoir recours à une agence », confie le président de l’unité 9599, le capitaine Simon Charbonneau. » Selon le Syndicat, les employés qui n’ont pas eu d’augmentation salariale depuis le 1er avril 2022 sont déterminés à faire avancer le dossier. « Nos membres sont exaspérés par la lenteur des négociations…Le Conseil du trésor doit donner les mandats nécessaires pour dénouer l’impasse », souligne le représentant syndical des Métallos, Luc Roberge.

Région en otage

La Chambre de commerce et d’industrie de Manicouagan (CCIM), la Chambre de commerce de Sept-Îles Uashat concernant les impacts négatifs engendrés par les moyens de pression exercés dans le cadre de ces négociations qui risquent, selon ces organisations, d’affecter l’image de la région sur la scène nationale et de modifier le choix de la destination touristique de plusieurs pour les vacances estivales. « Il est inacceptable en 2024 de tenir une région en otage… Nous considérons que c’est la responsabilité de l’employeur et du syndicat de conclure une entente et que les deux sont responsables de la menace qui pèse sur la Côte-Nord. La pression ne sera pas mise sur le gouvernement lors des arrêts prévus par le syndicat, mais sur les entreprises, les touristes et l’économie de notre région », a déclaré le directeur général de la CCSIUM, John James Blanchette.

Le coprésident de la CCIM, Antonio Hortas, ajoute : « Nous voulons sensibiliser les partis à considérer le maintien du service comme une priorité absolue durant la saison la plus achalandée de l’année pour les traverses entre la Côte-Nord et le Bas-Saint-Laurent. Tous devront mesurer la gravité des séquelles potentiellement permanentes qu’un arrêt, même ponctuel, causerait à la Côte-Nord. »

Le directeur général de la CCIM, Jeff Dufour Tremblay, conclut : « Les négociations doivent être menées sans porter atteinte aux entreprises et aux touristes de la Côte-Nord. Si le syndicat souhaite avoir l’appui de la population et la STQ améliorer son image déjà entachée dans la région, ils doivent trouver un moyen de régler la situation dans les plus brefs délais. »

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Publié le 25 juin, 2024, dans la publication : Numéro_12 Volume_42

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Publié sur le site le 25 juin 2024

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Feux de forêt

Des incendies perturbateurs

par Éric Cyr

Source photo : Sopfeu

De multiples feux de forêt qui se sont déclenchés au début juin sur le territoire de la MRC de Caniapiscau ont tenu les pompiers forestiers en haleine durant plusieurs jours alors que la Société de protection des forêts contre le feu (Sopfeu) a déployé des effectifs à des endroits stratégiques afin de lutter efficacement contre les flammes et de tenter de freiner leur propagation en maîtrisant les foyers d’incendie.

L’équipe québécoise de gestion des feux majeurs a déterminé une zone de protection intensive à l’intérieur de laquelle trois incendies faisaient rage de façon simultanée et sur lesquels il fallait mettre l’accent et a établi une unité d’opérations au campement Love, près de la rivière Hart Jaune, dans le secteur du kilomètre 350 de la route 389, le 6 juin dernier. L’objectif était de mieux coordonner sur le terrain les interventions aériennes et terrestres de suppression des incendies de forêt à proximité de la 389, de l’ancienne ville de Gagnon jusqu’à la mine de fer de Fire Lake, et près du réservoir Manicouagan. En plus de cette équipe administrative, le complexe a aussi pu compter sur l’appui de cinq unités de pompiers forestiers et combattants auxiliaires totalisant une centaine de personnes et sur le soutien de six hélicoptères et des missions d’arrosage par avions-citernes.

Trois feux jugés prioritaires ont fait l’objet de combats intensifs pour maintenir l’accessibilité à la 389 soit celui de 920,5 hectares (ha) qui était hors de contrôle au lac du Portage situé à moins d’un kilomètre au nord du kilomètre 437, celui de rivière Beaupré de 96,6 ha à 7 kilomètres à l’ouest à la hauteur du kilomètre 380 qui a été maîtrisé et celui de Gagnon de 7,4 ha à quatre kilomètres au sud-est de celui de la rivière Beaupré qui a finalement été contenu. Deux autres feux de 14,8 et 16,6 ha situés en zone nordique au nord du feu du lac du Portage ont aussi été maîtrisés afin de protéger la route et des infrastructures d’Hydro-Québec.

Liens terrestres fermés

Des incendies ont paralysé les voies de transports terrestres à quelques reprises notamment avec la fermeture du seul lien routier de la région, la TransQuébec-Labrador (route 389 et TransLabrador/route 500), et en entravant la circulation en direction nord du train de passagers et de marchandises de Transport ferroviaire Tshiuetin, le seul lien terrestre assurant la liaison de Sept-Îles à Schefferville, qui n’a pu se rendre à destination, le 11 juin, et qui a suspendu ses activités durant une semaine. Plusieurs incendies brûlaient aussi au Labrador dont deux au nord du Labrador Ouest, dont celui de 300 hectares, qui a commencé le 8 juin, à 50 kilomètres au sud de Schefferville, 160 kilomètres au nord de Labrador City et à quatre kilomètres de la voie ferrée et du barrage et de la centrale hydroélectrique de Menihek de Newfoundland and Labrador Hydro, qui a forcé la locomotive à s’arrêter à la gare de Mai du côté québécois et à rebrousser chemin vers Sept-Îles. Comme le feu était au Labrador, ce sont les pompiers forestiers de Terre-Neuve-et-Labrador qui ont combattu ce brasier à proximité du barrage avec notamment deux avions bombardiers d’eau. L’autre feu d’un hectare était situé en zone nordique au lac Milner West à une centaine de kilomètres un nord de Labrador City. Le 13 juin, deux autres incendies majeurs se sont par la suite déclarés dans le secteur de Churchill Falls, dont un à l’ouest du pont Brinco, nécessitant la fermeture de la route 500, avant d’être maîtrisés.

La vaste majorité des feux ont été causés par la foudre. Pour consulter la carte des feux en sol québécois : sopfeu.qc.ca. Sur la photo, des pompiers forestiers survolent un feu de forêt au-dessus de la route 389 Nord.

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Publié le 25 juin, 2024, dans la publication : Numéro_12 Volume_42

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Publié sur le site le 25 juin 2024

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Schefferville

Une exposition itinérante

par Éric Cyr

Une exposition ambulante relatant quelques pages d’histoire de Schefferville, de Matimekush-Lac John et de Kawawachikamach, proposée par l’écrivaine et ancienne résidente du lieu, Jocelyne Lemay, « Une montée vers le Nord », s’est arrêtée à Fermont au local vitré en face de l’escalier central au deuxième étage du centre commercial du mur-écran, du 3 au 6 juin 2024.

L’exposition historique, qui relate une partie du passé de l’une des trois villes-champignons de la MRC de Caniapiscau qui ont poussé à la suite de la découverte de gisements de fer avec une incursion dans celui des deux communautés autochtones voisines, a été présentée au Musée régional de la Côte-Nord à Sept-Îles, d’octobre 2021 à mars 2022, puis au centre d’achats Les Galeries montagnaises également à Sept-Îles avant de se déplacer par la suite à Schefferville et d’être exhibée à Labrador City, le 1er juin, à la demande de la minière Rio Tinto IOC avant d’être déployée à Fermont. Elle devrait être de retour à Sept-Îles en septembre selon un souhait d’IOC.

Dans le cadre de cette exposition qui regorge de multiples objets : drapeaux, épinglettes, cartes postales, photos, livres historiques (La grande aventure du fer et L’héritage de Caïn). Mme Lemay invitait le public dans un voyage au cœur de l’histoire qui traverse le temps sur une période de plus d’un siècle. Elle a quitté sa ville natale par la voie ferrée, qu’elle a rebaptisée la route d’acier, en novembre 1988, juste avant le début de la démolition de la ville qui était prévue au printemps 1989 et qui a duré quelques années à la suite des conséquences de la fermeture de la mine de fer d’IOC en novembre 1982, avant de s’établir à Sept-Îles.

L’auteure qui a publié en 2015 le livre Terre rouge, considéré comme un document de référence historique, qui traite entre autres de la vie à Schefferville incluant l’époque de la ruée vers le fer, les grands moments de son histoire et sa quasi-disparition est une passionnée de cet endroit méconnu du Québec. « Cette exposition est une démarche de longue haleine qui découle directement de la parution de mon livre qui aborde le même sujet. À l’origine, cet ouvrage écrit qui relate une période de grands développements de la mer jusqu’au 55e parallèle en plus de divers événements marquants de l’endroit principalement depuis sa fondation. » L’exposition présente le chantier de Burnt Creek devenu Knob Lake puis rebaptisé Schefferville, mais aussi de la présence des communautés innue et naskapie en plus de la prospection qui a permis la découverte de gisements de minerai de fer. Le père Louis-François Babel et ses guides des Premières Nations ont été les premiers à signaler du « gravier rouge » sur le territoire en 1866. Ce n’est qu’à partir de 1937 que les 400 millions de tonnes furent découverts.

« La démarche s’est étirée sur de nombreuses années puisque j’ai commencé à amasser des souvenirs et des photos à l’âge de douze ans. Quand j’ai constaté que je ne pouvais inclure dans l’impression toutes les photos que j’aurais aimées et que je devais faire des choix, l’idée d’une exposition en complément à la publication a germé dans mon esprit et j’ai finalement concrétisé cette aspiration. En fait, ce sont les boîtes de souvenirs de mon grand-père et de mon père qui m’ont amenée à vouloir relater l’histoire du milieu où j’ai vu le jour et où j’ai grandi. »

Mme Lemay se veut un peu la gardienne du riche passé de Schefferville où à une certaine époque, des gens de 22 différentes ethnies se sont côtoyés. « Saviez-vous que durant près de trois ans, 6900 hommes ont travaillé en œuvrant sur sept chantiers dont celui de la construction du chemin de fer qui mène à Schefferville, que la reine Élisabeth II s’est rendue à Schefferville en 1959 et que cette localité nordique a déjà accueilli les Jeux de l’Arctique ? »
confie la Scheffervilloise de cœur qui travaille pour que cette exposition soit accueillie au Musée Shaputuan à Uashat (Sept-Îles).

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Publié le 25 juin, 2024, dans la publication : Numéro_12 Volume_42

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