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  • Numéro 13

  • Possible scission chez IOC

    Rio Tinto

    Possible scission chez IOC

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    Club de golf Tamarack

    50 ans de beaux moments!

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    Transquébeclabrador

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    Transquébeclabrador

    Une 27 août, 2018

    Supercherie libérale prise 3

Numéro 13

Possible scission chez IOC

Rio Tinto

Possible scission chez IOC

50 ans de beaux  moments!

Club de golf Tamarack

50 ans de beaux moments!

Des infrastructures  vétustes revampées

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La route 510 se met à niveau

Transquébeclabrador

La route 510 se met à niveau

Supercherie libérale prise 3

Transquébeclabrador

Une 27 août, 2018

Supercherie libérale prise 3

Rio Tinto

Possible scission chez IOC

par Éric Cyr

Source photo : IOC

Le géant minier australien Rio Tinto songerait à se départir de ses intérêts dans la minière IOC et à profiter du prix avantageux du fer sur le marché pour inscrire la minière, dont il détient près de 59 % de la chaîne de production, en bourse selon des sources bancaires et industrielles citées par l’agence de presse Reuters.

Rio Tinto, dont le minerai de fer constitue le secteur d’activité le plus profitable et qui l’utilise dans la fabrication de l’acier, aurait approché la banque d’investissement européenne Crédit Suisse pour entamer une éventuelle vente aux enchères de sa participation majoritaire dans l’entreprise d’après des informations divulguées par Sky News.

Quel avenir pour la minière ?

Le deuxième producteur de minerai de fer au monde, qui avait acquis 58,7 % des parts d’IOC lors d’une offre publique d’achat (OPA) hostile de l’australienne North en 2000, serait en processus de liquidation de sa participation évaluée à 6 milliards de dollars selon le site internet mining.com qui indique que le groupe Crédit Suisse ferait partie des démarches de succession. La multinationale Rio Tinto aurait déjà été approchée par d’autres joueurs d’envergure comme ArcelorMittal et Teck Resources de potentiels acheteurs et envisagerait également comme scénario alternatif la vente d’actions publiques de la compagnie IOC à la bourse de Toronto (TSX) et a mandaté la banque Royale du Canada (RBC) pour obtenir des conseils dans ce sens. Des sources bancaires estiment que le prix demandé est important mais que la vente est envisageable considérant que les prix du minerai de fer ont atteint leur niveau le plus élevé depuis février dernier.

La dernière tentative de Rio Tinto de vendre ses parts dans la minière IOC remonte à 2012 et avait finalement été abandonnée. Si une telle transaction survenait, cela constituerait une occasion pour l’australienne de mettre la main sur des liquidités. Le député provincial du Labrador Ouest, Graham Letto, a confié à Radio-Canada/CBC que plusieurs propriétaires se sont déjà succédés et la transaction envisagée ne constituerait, si elle se concrétise, qu’un autre chapitre dans la vie de la minière.

La boucle ferroviaire

Certaines sources non officielles au Labrador indiquent qu’il pourrait y avoir un intérêt pour ArcelorMittal à se porter acquéreur d’IOC qui œuvre dans le même domaine, qui dispose de ressources en fer pour plusieurs années et qui possède le chemin de fer QNS&L qui pourrait éventuellement être relié au chemin de fer Cartier dont dispose ArcelorMittal afin de former une boucle reliant le nord au sud facilitant ainsi le transport en continu du minerai de fer.

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Publié le 27 août, 2018, dans la publication : Numéro 13 Volume 36

  • Actions publiques
  • ArcelorMittal
  • Banque Royale du canada-RBC
  • Bourse de Toronto-TSX
  • Chemin de fer QNS&L
  • Labrador
  • Minerai de fer
  • Minière IOC
  • Rio Tinto
  • Teck Ressources

Publié sur le site le 27 août 2018

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Club de golf Tamarack

50 ans de beaux moments!

par Éric Cyr

Le club de golf Tamarack de Labrador City fondé en 1968 a célébré un demi-siècle d’activité cet été. Malgré un climat nordique souvent très changeant qui peut parfois contribuer à raccourcir la saison et auquel il faut s’adapter, cette institution sportive dans la région offre un ravissant parcours de qualité comprenant 18 trous répartis sur une superficie de 6110 verges de longueur au grand plaisir des amateurs de golf.

Le cinquantième anniversaire de cet organisme sans but lucratif (OSBL), qui occupe son emplacement actuel depuis 1972 et qui dispose d’un service de restauration ouvert au public sept jours sur sept et d’une boutique de location et de vente d’équipement, a été souligné de façon spéciale durant la période estivale notamment avec le tournoi des marchands, une tradition annuelle fort prisée des golfeurs et soutenue par les entreprises locales, les 11 et 12 août derniers. D’anciens adeptes de cette discipline n’habitant plus les parages se sont même déplacés pour l’occasion.

Entourés de sapins et d’épinettes, les athlètes masculins et féminins de tous niveaux, incluant les enfants de 7 à 15 ans dans le cadre d’un programme jeunesse, peuvent pratiquer leurs habiletés dans ce sport difficile qui peut être intimidant au début, mais que tout le monde peut apprendre. La saison, qui débute habituellement fin mai, début juin et qui se termine fin septembre, début octobre, se poursuit au gré des intempéries pour une cinquième décennie.

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Publié le 27 août, 2018, dans la publication : Numéro 13 Volume 36

  • Cinquantième anniversaire
  • Club de golf Tamarack
  • Institution sportive
  • Labrador City
  • Organisme sans but lucratif-OSBL

Publié sur le site le 27 août 2018

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Commission scolaire du Fer

Des infrastructures vétustes revampées

par Éric Cyr

La nécessaire réfection d’installations en désuétude que le ministère de l’Éducation du Québec a annoncée se concrétise à Fermont. Des travaux ont commencé dans le secteur de la résidence du personnel (logements des enseignants) dans le mur-écran et devraient se poursuivre durant quelques années dans le cadre de projets prioritaires afin de tenter de rattraper le retard accumulé au fil du temps et de corriger la situation.

Selon le nouveau directeur général de la Commission scolaire du Fer, Richard Poirier, des mesures concernant le maintien d’actifs immobiliers à Fermont, incluant l’entretien et la rénovation de bâtiments, qui avaient été longtemps repoussées et qui pèsent lourd dans la balance, ont été adoptées. Les correctifs les plus pressants ont été priorisés dans le cadre d’une enveloppe budgétaire qui tient compte de l’évaluation de l’important déficit d’entretien qui est estimé à 50 M $ et qui sera échelonnée sur plusieurs années afin d’assurer la pérennité du parc immobilier qui date des années 1970.

Cure de rajeunissement

M. Poirier explique : « Fermont a grandement besoin de travaux et de mises à niveau et fait actuellement partie des priorités de l’organisation. Durant les cinq prochaines années, c’est près de 15 M $ qui sera investi sur l’ensemble du parc immobilier fermontois notamment pour les deux écoles, les appartements et quelques maisons qui appartiennent à la commission scolaire. » La première phase du projet de restauration a été amorcée à la mi-août et se poursuit.

« On procède actuellement à la rénovation de la surface extérieure du bloc 1 situé au bout du mur-écran, une section qui compte trois façades, incluant une amélioration de l’isolation et du revêtement ainsi qu’un remplacement de la fenestration (fenêtres) afin d’augmenter l’efficacité énergétique. Le système de ventilation sera aussi remis à jour. »

Rajustement primordial

Selon ce dernier, des rénovations intérieures seront effectuées ultérieurement après la seconde phase de remise en état de l’enveloppe extérieure qui est prévue à l’été 2019. Le prédécesseur de M. Poirier, l’ancien DG, Lucien Maltais, qui a transmis le dossier à son successeur nouvellement en poste, expliquait avant son départ qu’il était au courant des nombreuses lacunes et du fait qu’il y avait beaucoup de rattrapage à faire dans le cadre d’une essentielle modernisation à apporter aux infrastructures à Fermont afin de préserver les biens immobiliers. Il précisait que cette somme ne comblera pas tous les besoins mais que le montant de 18,5 M $ consenti pour l’ensemble de la commission scolaire par le Ministère permettra d’effectuer des réparations majeures localement.

Un suivi est effectué par des architectes et ingénieurs qui se déplacent périodiquement afin de vérifier si les travaux sont conformes aux devis et si les aménagements sont conçus dans le respect des normes relatives aux organismes publics.

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Publié le 27 août, 2018, dans la publication : Numéro 13 Volume 36

  • Commission scolaire du fer
  • Fermont
  • Ministère de l'Éducation du Québec
  • Mur-écran
  • Parc immobilier fermontois
  • Réparations majeures
  • Résidence du personnel enseignants
  • Richard Poirier-directeur général CSF
  • Travaux de rénovation

Publié sur le site le 27 août 2018

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Transquébeclabrador

La route 510 se met à niveau

par Éric Cyr

La portion labradorienne de la Transquébeclabrador, appelée autoroute 500, qui relie la route nationale 389 (frontière du Québec) à Happy Valley-Goose Bay au Labrador sur une distance asphaltée de 543 kilomètres, est déjà complétée et sa prolongation, la route 510, qui rejoint la route 138 encore inachevée au Québec, sera grandement améliorée sur sa presque totalité grâce à des travaux d’élargissement et d’asphaltage qui devraient être finalisés d’ici trois ans.

Fiesta libérale

Le projet d’asphaltage de la Translabrador (autoroute 500) amorcé en 2009, à la même période que les premières annonces de réfection de la route 389 toujours en branle au Québec, est terminé depuis plus de deux ans et celui de son extension, la route 510, devrait aussi l’être presque entièrement en 2021 grâce à un financement additionnel de 64,5 millions de dollars confirmé, le 25 juin dernier, à Happy Valley-Goose Bay par le ministre des Transports et des Travaux publics de Terre-Neuve-et-Labrador, le libéral Steve Crocker. Le premier ministre de cette province, Dwight Ball, était également sur place en compagnie de la députée libérale fédérale du Labrador, Yvonne Jones, et des quatre députés libéraux provinciaux du Labrador, Graham Letto, Randy Edmunds, Perry Trimper et Lisa Dempster.

Le coût estimé de l’entreprise sera réparti entre Terre-Neuve-et-Labrador (32,6 M $) et le gouvernement fédéral (31,8 M $). Les travaux sur la route 510 qui s’étaleront sur 126 km de Cartwright Junction à Happy Valley-Goose Bay seront entamés dès l’été prochain. Le premier ministre Ball précise que depuis 2016, un total de 370 km a été asphalté sur l’autoroute 500 au coût de 170 M $. Selon ce dernier, une fois l’opération parachevée sur la 510, il ne restera que de 70 à 80 km de route à être réalisés dans le secteur de l’Anse au Clair.

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Publié le 27 août, 2018, dans la publication : Numéro 13 Volume 36

  • Goose Bay
  • Gouvernement fédéral
  • Happy-Valley
  • Ministère des Transports et des Travaux publics de Terre-Neuve-et-Labrador
  • Projet asphaltage
  • Route 500
  • Terre-Neuve-et-Labrador
  • Translabrador
  • Transquébeclabrador

Publié sur le site le 27 août 2018

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Transquébeclabrador

Supercherie libérale prise 3

par Éric Cyr

Le gouvernement libéral québécois semble vendre vessie pour lanterne au sujet des investissements anticipés de 468 millions de dollars pour la route nationale 389 puisque c’est le troisième engagement à ce sujet en moins d’une décennie. D’abord annoncé pour la première fois en 2009 par l’ancien premier ministre Jean Charest dans le cadre du Plan Nord, le discours fut relayé en 2017 par son successeur le premier ministre sortant Philippe Couillard avant la plus récente prédiction.

L’art d’étirer la sauce

Le ministère des Transports du Québec a assuré qu’un budget de 468 M $ était alloué pour la réfection de cette route interprovinciale dès 2015 afin de rétablir le tracé de 570 kilomètres sur une période de dix ans. Pourtant dans une sorte de subterfuge incongru et à la suite de la plus récente annonce d’investissements pour des travaux d’amélioration entre Baie-Comeau et Fermont, le montant demeure inchangé malgré la contribution du gouvernement fédéral qui allongera 183 M $ sortant ainsi de sa léthargie en couvrant 40 % de la facture. De plus les travaux devraient encore se poursuivre durant une autre décennie.

Dossier épineux et tergiversations

C’est la ministre fédérale du Revenu national, Diane Lebouthillier, qui a confirmé lors de son passage à Baie-Comeau, le 27 juillet dernier, la première contribution d’Ottawa pour la route 389 qu’elle a qualifié d’axe stratégique important pour le transport des personnes et des marchandises. Selon la ministre québécoise déléguée aux Transports, Véronyque Tremblay, la route 389 est une infrastructure importante pour le gouvernement du Québec et le dossier est jugé prioritaire (SIC) par l’État qui a soumis sa candidature pour le Nouveau Fonds Chantiers Canada d’où provient la contribution d’Ottawa. Le seul lien routier du nord-est québécois était pourtant déjà admissible au préalable au programme précédent appelé Fonds Chantiers Canada dont Québec n’a pas daigné tirer parti à l’époque au contraire du Labrador qui en a grassement profité pour achever le prolongement de la 389 au Labrador, la route 500 (autoroute Translabrador), pour l’amélioration et l’asphaltage de ce lien routier du Labrador Ouest jusqu’à Happy Valley-Goose Bay.

« Si la 389 constituait une priorité
du Plan Nord elle serait achevée »

La route, les sapins et les valises

Selon le député du Parti québécois de René-Lévesque sur la Côte-Nord, Martin Ouellet, qui a réagi sur son profil Facebook, cette « nouvelle » déclaration coïncide étrangement avec la campagne électorale : « Rien de nouveau, que du réchauffé déjà annoncé en 2017 et même en 2009 par Jean Charest. Ne nous prenez pas pour des valises, la part du fédéral dans ce dossier est juste normale dans le cadre de cette route interprovinciale. » La députée péquiste de Duplessis, Lorraine Richard, abonde dans le même sens : « C’est une manœuvre purement électoraliste. Il est difficile de suivre ce dossier plutôt nébuleux quand les intervenants ne savent pas où ils en sont rendus. Le montant accordé par le fédéral aurait dû servir à accélérer l’échéancier des travaux sur cette route ou à tout le moins améliorer la sécurité en effectuant des corrections temporaires dans des secteurs identifiés en attendant l’aboutissement de ceux-ci qui s’éternisent. » La députée de Manicouagan du Bloc québécois, Marilène Gill, y voit aussi un dédoublement de promesses électorales puisque la somme de 183 M $ consentie par le gouvernement Trudeau ne sera disponible qu’après l’élection fédérale de 2019. « Ça ressemble à un cadeau de la ruche libérale fédérale à son essaim provincial et qui s’apparente à deux promesses électorales dans une. C’est de la poudre aux yeux, de belles paroles mais toujours rien de concret. Si la 389 constituait réellement une priorité du Plan Nord, ça fait belle lurette que sa réfection serait complétée. »

Écran de fumée, mensonges et trahison

Ça ne prend pas un comptable ou un mathématicien pour effectuer ce simple calcul 468 M $ réservé pour la 389 par le gouvernement du Québec il y a quelques années + 183 M $ accordé par Ottawa = 651 M $. Donc dans les faits Québec ne respecte pas son engagement initial puisqu’il ne fournira que 190 M $ consentis par la Société du Plan Nord et 95 M $ provenant de Transports Québec pour un total de 285 M $. C’est donc le 183 M $ d’Ottawa qui comblera la différence pour atteindre 468 M $. Selon la ministre québécoise déléguée aux Transports, Véronyque Tremblay, cela permettra de dégager une marge de manœuvre pour d’autres projets. Oui mais où et quand?

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Publié le 27 août, 2018, dans la publication : Numéro 13 Volume 36

  • Gouvernement fédéral
  • Gouvernement libéral Québécois
  • Ministère des Transports du Québec
  • Plan Nord
  • Promesse électorale
  • Route nationale 389
  • Transquébeclabrador
  • Travaux de réfection

Publié sur le site le 27 août 2018

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