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  • La route 389 fermée durant 14 heures

    Météo, collision et circulation

    Une 18 février, 2019

    La route 389 fermée durant 14 heures

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    Côte-Nord

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    Transquébeclabrador

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La route 389 fermée durant 14 heures

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Transport : maillage et consensus

La route 510 se met à niveau

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Une 27 août, 2018

Supercherie libérale prise 3

Météo, collision et circulation

La route 389 fermée durant 14 heures

par Éric Cyr

Selon le ministère des Transports du Québec (MTQ), qui curieusement ne patrouillait pas cette journée-là, la circulation sur la route nationale 389 a été interrompue, le 9 février dernier, à la hauteur du km 552 entre Fermont et la mine du Mont-Wright en raison d’une triple collision survenue vers 19 h et occasionnée par les mauvaises conditions météorologiques.

Transports Québec explique qu’un premier automobiliste s’est d’abord immobilisé sur la route en raison du manque de visibilité occasionné par la poudrerie. Deux autres véhicules sont par la suite entrés en collision avec la camionnette stationnaire. Ayant été alertés de la situation, le Ministère ainsi que la Sûreté du Québec (SQ) se sont rendus rapidement sur place afin de sécuriser les lieux. Constatant les mauvaises conditions routières imputables à la tempête, le MTQ a procédé à la fermeture de la route 389 pour une durée totale de 14 heures. Le seul lien routier de la région a finalement été rouvert à la circulation vers 9 h le lendemain matin.

La SQ affirme avoir reçu un appel d’un déneigeur signalant la collision entre deux véhicules au km 550 à 19 h 29 et confirme que la visibilité problématique constitue un facteur majeur ayant entraîné un impact important qui a nécessité un transport en ambulance pour des blessures mineures et précise que la circulation n’a pas été entravée complètement.

Travailleurs escortés

Transports Québec explique qu’afin de permettre aux entreprises ArcelorMittal et Minerai de fer Québec de poursuivre leurs opérations, des convois routiers par autobus ont été organisés par ces minières afin de sécuriser le transport de leurs employés et des entrepreneurs travaillant sur les sites miniers. Des patrouilleurs étaient postés de part et d’autre de la portion fermée.

Les usagers de la route en provenance du Labrador étaient invités à rebrousser chemin et à se réfugier à Fermont alors que ceux en provenance du sud étaient escortés jusqu’à cette même municipalité. Les opérations de déneigement ont continué durant la durée de la fermeture de la route.

Opérations minières avant tout

Cette procédure gérée par la Sûreté du Québec fut développée par le corps policier, Transports Québec, ArcelorMittal et Minerai de fer Québec pour ne pas nuire aux activités minières. Celle-ci prévoit une circulation restreinte par convois d’autobus seulement afin de limiter la circulation, aucun autre véhicule n’étant autorisé à emprunter la route. Une partie de la population fréquentant les réseaux sociaux a partiellement été informée de ces mesures exceptionnelles, notamment par la page Facebook Info Fermont utilisée par l’équipe de gestion d’ArcelorMittal pour transmettre certaines directives à ses employés. La minière a aussi fait circuler un mémo afin de les renseigner.

Autres sources

La version d’un témoin crédible diverge légèrement. Une automobile roulant à une vitesse excessive non adaptée aux conditions routières aurait percuté l’arrière d’une camionnette qui le précédait. Un autre pick-up non impliqué dans la collision aurait auparavant fait une sortie de route sans gravité dans le même secteur.

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Publié le 18 février, 2019, dans la publication : Numéro 3 Volume 37

  • ArcelorMittal
  • Fermont' Sûreté du Québec
  • Mine du Mont-Wright
  • Minerai de fer Québec
  • Route 389
  • Transports Québec
  • Transquébeclabrador

Publié sur le site le 14 février 2019

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Côte-Nord

Transport : maillage et consensus

par Éric Cyr

Après avoir rencontré une imposante délégation nord-côtière qui s’était déplacée à Ottawa à la fin de l’année dernière, le ministre fédéral de l’Infrastructure et des Collectivités, François-Philippe Champagne, était de passage sur la Côte-Nord les 22, 23 et 24 janvier dernier à l’invitation des élus de cette vaste région. La députée de Manicouagan, Marilène Gill, qui avait facilité la démarche dans la capitale fédérale et qui demeure convaincue de l’importance de désenclaver la Côte-Nord, n’a pu se rendre à la rencontre en raison du caucus présessionnel du Bloc québécois.

Le ministre du cabinet Trudeau a d’abord assisté à un dîner-conférence organisé par la Chambre de commerce de Sept-Îles avant de se rendre à Baie-Comeau le lendemain. Le sujet des transports, et en particulier la nécessité pour la région du prolongement de la route 138, a mobilisé sans surprise l’attention durant sa brève visite.

Unité exemplaire

Il était impatiemment attendu à Sept-Îles par une impressionnante brochette de personnalités influentes, composée de nombreux élus et d’intervenants du milieu socio-économique, qui l’a sensibilisé au sujet des défaillances logistiques du transport sur la Côte-Nord et qui a discuté des grands enjeux relatifs à ce domaine, en tête d’affiche depuis des décennies. Ils ont évoqué leurs préoccupations légitimes concernant le manque d’efficacité des modes de transport et le prolongement très attendu de la route 138 jusqu’à Blanc-Sablon. Ce sont essentiellement les aspects de la fluidité ainsi que la libre circulation des personnes et des marchandises, et ce, jusqu’au Labrador, dont il est question. Rappelons que pour nos voisins, le seul accès terrestre passe par les deux liens routiers de la Côte-Nord au Québec incluant la route 389.

Au diapason et à l’unisson

Image forte, de nombreux élus s’agglutinaient autour de la table d’honneur afin d’accueillir le représentant du gouvernement canadien. Alignés pour l’événement, on retrouvait le président de l’Association des MRC de la Côte-Nord et maire de Sept-Îles Réjean Porlier, le préfet de la MRC de Minganie Luc Noël, le préfet de Manicouagan Marcel Furlong, la préfète de la MRC de la Haute-Côte-Nord Micheline Anctil, le préfet de la MRC de Golfe-du-Saint-Laurent et maire de Gros-Mécatina Randy Jones, le maire de Baie-Comeau Yves Montigny, le maire de Port-Cartier Alain Thibault, le maire de Havre-Saint-Pierre Pierre Cormier, le maire de l’Île d’Anticosti John Pineault, le maire de Ragueneau Joseph Imbeault, le maire de Pointe-Lebel Normand Morin, le maire de Godbout Jean-Yves Bouffard, le maire de Baie-Johan-Beetz Martin Côté, le préfet de la MRC de Caniapiscau et maire de Fermont Martin St-Laurent, l’administrateur de la Ville de Schefferville Ghislain Lévesque, le maire d’Happy-Valley-Goose Bay Wally Andersen et le maire de Wabush Ron Barron, tous deux du Labrador, et plusieurs chefs de communautés autochtones, le chef de Uashat mak Mani-Utenam Mike McKenzie, le chef de Unamen Shipu Brian Mark, le chef de Pakua Shipu Denis Mestenapéo, le chef d’Ekuanitshit Jean-Charles Piétacho et le chef de Nutashkuan Rodrigue Wapistan. Solidaire de la démarche, la députée de Duplessis Lorraine Richard du Parti québécois a mandaté son attachée politique afin de la remplacer, car elle devait assister à une réunion de caucus.

Des gens d’influence

Plusieurs dignitaires notables faisaient partie des invités, notamment des représentants du cabinet du ministre québécois de l’Énergie et des Ressources naturelles et de la direction générale de la Côte-Nord de Transports Québec, des représentants des Affaires autochtones du Canada, la présidente de la Société du Plan Nord Élizabeth Blais, le président du Port de Sept-Îles Pierre Côté, le directeur général de Tourisme Côte-Nord Mario Leblanc, le directeur général de Transport ferroviaire Tshiuetin Orlando Cordova, des représentants de l’industrie incluant le chef des opérations de la minière Rio Tinto IOC Maurice McClure et le directeur général de Port et Chemin de fer QNS&L Benoit Méthot, le directeur du développement stratégique d’Aluminerie Alouette Richard Lapierre, le directeur des ressources humaines du CISSS Côte-Nord Marc Brouillette, le président de Développement économique Sept-Îles Langis St-Gelais et la présidente de la Chambre de commerce de Sept-Îles Karine Lebreux.

Consensus indéniable

Dans le cadre de cette seconde rencontre en moins de deux mois entre des élus nord-côtiers et le ministre Champagne, ce dernier a reconnu l’intérêt de réellement relier le pays d’un océan à l’autre. Celui-ci s’est senti interpellé par l’unité et la détermination des décideurs politiques multiethniques issus des deux côtés de la frontière Québec-Labrador. Le visiteur fédéral a affirmé avoir rarement vu un consensus si fort autour d’un projet dans l’ensemble d’une région et qui mobilise tant les leaders politiques et autochtones de deux provinces.

Clarté indiscutable

La cohésion du message dont la pertinence résonne de façon unanime et sans fausses notes ne pouvait faire autrement que l’impressionner.

Il a semblé à l’écoute des revendications et notamment celle qui fait consensus et qu’il place en priorité : le prolongement et l’aboutissement de la route 138 en Basse-Côte-Nord. M. Champagne souhaite l’avancement de ce dossier qu’il a qualifié de projet ambitieux et d’envergure. Ce qui était auparavant considéré comme un rêve, en tenant compte des 400 kilomètres nécessaires pour la connexion interprovinciale, fait aujourd’hui parler de lui, ce que le ministre considère être un pas important. Il a d’ailleurs dit espérer être en mesure d’annoncer d’éventuels investissements pour le lancement des travaux dès cet été.

Détermination exemplaire

Illustrant bien la sérieuse problématique dont est victime la région en matière de transports, le maire de Labrador City, Wayne Button, n’a pu assister à la rencontre, car son vol était cloué au sol, contrairement aux maires de Wabush et de Fermont partis la veille. Le préfet Randy Jones a, pour sa part, réussi à s’envoler in extremis afin de se rendre à la rencontre malgré les conditions météo difficiles, mais son retour lui a pris quatre jours, car il a dû rentrer par bateau et le bateau a été retardé à cause des intempéries.

Volonté mitigée

Malgré la volonté du ministre québécois des Transports, François Bonnardel, qui souhaite voir aboutir le projet d’ici une décennie et qui a déposé une demande de contribution fédérale de 94 millions de dollars pour réaliser des tronçons totalisant environ 85 kilomètres qui relieraient Kegaska à La Romaine et Tête-à-la-Baleine à Kegaska, son homologue fédéral ne s’est toujours pas engagé de façon formelle et attend les orientations provinciales de Québec et de Terre-Neuve-et-Labrador avant de s’engager. Ottawa peut investir à hauteur de 60 % pour des projets en infrastructures.

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Publié le 4 février, 2019, dans la publication : Numéro 2 Volume 37

  • Basse-Côte-Nord
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Publié sur le site le 4 février 2019

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Transquébeclabrador

La route 510 se met à niveau

par Éric Cyr

La portion labradorienne de la Transquébeclabrador, appelée autoroute 500, qui relie la route nationale 389 (frontière du Québec) à Happy Valley-Goose Bay au Labrador sur une distance asphaltée de 543 kilomètres, est déjà complétée et sa prolongation, la route 510, qui rejoint la route 138 encore inachevée au Québec, sera grandement améliorée sur sa presque totalité grâce à des travaux d’élargissement et d’asphaltage qui devraient être finalisés d’ici trois ans.

Fiesta libérale

Le projet d’asphaltage de la Translabrador (autoroute 500) amorcé en 2009, à la même période que les premières annonces de réfection de la route 389 toujours en branle au Québec, est terminé depuis plus de deux ans et celui de son extension, la route 510, devrait aussi l’être presque entièrement en 2021 grâce à un financement additionnel de 64,5 millions de dollars confirmé, le 25 juin dernier, à Happy Valley-Goose Bay par le ministre des Transports et des Travaux publics de Terre-Neuve-et-Labrador, le libéral Steve Crocker. Le premier ministre de cette province, Dwight Ball, était également sur place en compagnie de la députée libérale fédérale du Labrador, Yvonne Jones, et des quatre députés libéraux provinciaux du Labrador, Graham Letto, Randy Edmunds, Perry Trimper et Lisa Dempster.

Le coût estimé de l’entreprise sera réparti entre Terre-Neuve-et-Labrador (32,6 M $) et le gouvernement fédéral (31,8 M $). Les travaux sur la route 510 qui s’étaleront sur 126 km de Cartwright Junction à Happy Valley-Goose Bay seront entamés dès l’été prochain. Le premier ministre Ball précise que depuis 2016, un total de 370 km a été asphalté sur l’autoroute 500 au coût de 170 M $. Selon ce dernier, une fois l’opération parachevée sur la 510, il ne restera que de 70 à 80 km de route à être réalisés dans le secteur de l’Anse au Clair.

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Publié le 27 août, 2018, dans la publication : Numéro 13 Volume 36

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Publié sur le site le 27 août 2018

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Transquébeclabrador

Supercherie libérale prise 3

par Éric Cyr

Le gouvernement libéral québécois semble vendre vessie pour lanterne au sujet des investissements anticipés de 468 millions de dollars pour la route nationale 389 puisque c’est le troisième engagement à ce sujet en moins d’une décennie. D’abord annoncé pour la première fois en 2009 par l’ancien premier ministre Jean Charest dans le cadre du Plan Nord, le discours fut relayé en 2017 par son successeur le premier ministre sortant Philippe Couillard avant la plus récente prédiction.

L’art d’étirer la sauce

Le ministère des Transports du Québec a assuré qu’un budget de 468 M $ était alloué pour la réfection de cette route interprovinciale dès 2015 afin de rétablir le tracé de 570 kilomètres sur une période de dix ans. Pourtant dans une sorte de subterfuge incongru et à la suite de la plus récente annonce d’investissements pour des travaux d’amélioration entre Baie-Comeau et Fermont, le montant demeure inchangé malgré la contribution du gouvernement fédéral qui allongera 183 M $ sortant ainsi de sa léthargie en couvrant 40 % de la facture. De plus les travaux devraient encore se poursuivre durant une autre décennie.

Dossier épineux et tergiversations

C’est la ministre fédérale du Revenu national, Diane Lebouthillier, qui a confirmé lors de son passage à Baie-Comeau, le 27 juillet dernier, la première contribution d’Ottawa pour la route 389 qu’elle a qualifié d’axe stratégique important pour le transport des personnes et des marchandises. Selon la ministre québécoise déléguée aux Transports, Véronyque Tremblay, la route 389 est une infrastructure importante pour le gouvernement du Québec et le dossier est jugé prioritaire (SIC) par l’État qui a soumis sa candidature pour le Nouveau Fonds Chantiers Canada d’où provient la contribution d’Ottawa. Le seul lien routier du nord-est québécois était pourtant déjà admissible au préalable au programme précédent appelé Fonds Chantiers Canada dont Québec n’a pas daigné tirer parti à l’époque au contraire du Labrador qui en a grassement profité pour achever le prolongement de la 389 au Labrador, la route 500 (autoroute Translabrador), pour l’amélioration et l’asphaltage de ce lien routier du Labrador Ouest jusqu’à Happy Valley-Goose Bay.

« Si la 389 constituait une priorité
du Plan Nord elle serait achevée »

La route, les sapins et les valises

Selon le député du Parti québécois de René-Lévesque sur la Côte-Nord, Martin Ouellet, qui a réagi sur son profil Facebook, cette « nouvelle » déclaration coïncide étrangement avec la campagne électorale : « Rien de nouveau, que du réchauffé déjà annoncé en 2017 et même en 2009 par Jean Charest. Ne nous prenez pas pour des valises, la part du fédéral dans ce dossier est juste normale dans le cadre de cette route interprovinciale. » La députée péquiste de Duplessis, Lorraine Richard, abonde dans le même sens : « C’est une manœuvre purement électoraliste. Il est difficile de suivre ce dossier plutôt nébuleux quand les intervenants ne savent pas où ils en sont rendus. Le montant accordé par le fédéral aurait dû servir à accélérer l’échéancier des travaux sur cette route ou à tout le moins améliorer la sécurité en effectuant des corrections temporaires dans des secteurs identifiés en attendant l’aboutissement de ceux-ci qui s’éternisent. » La députée de Manicouagan du Bloc québécois, Marilène Gill, y voit aussi un dédoublement de promesses électorales puisque la somme de 183 M $ consentie par le gouvernement Trudeau ne sera disponible qu’après l’élection fédérale de 2019. « Ça ressemble à un cadeau de la ruche libérale fédérale à son essaim provincial et qui s’apparente à deux promesses électorales dans une. C’est de la poudre aux yeux, de belles paroles mais toujours rien de concret. Si la 389 constituait réellement une priorité du Plan Nord, ça fait belle lurette que sa réfection serait complétée. »

Écran de fumée, mensonges et trahison

Ça ne prend pas un comptable ou un mathématicien pour effectuer ce simple calcul 468 M $ réservé pour la 389 par le gouvernement du Québec il y a quelques années + 183 M $ accordé par Ottawa = 651 M $. Donc dans les faits Québec ne respecte pas son engagement initial puisqu’il ne fournira que 190 M $ consentis par la Société du Plan Nord et 95 M $ provenant de Transports Québec pour un total de 285 M $. C’est donc le 183 M $ d’Ottawa qui comblera la différence pour atteindre 468 M $. Selon la ministre québécoise déléguée aux Transports, Véronyque Tremblay, cela permettra de dégager une marge de manœuvre pour d’autres projets. Oui mais où et quand?

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Publié le 27 août, 2018, dans la publication : Numéro 13 Volume 36

  • Gouvernement fédéral
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  • Ministère des Transports du Québec
  • Plan Nord
  • Promesse électorale
  • Route nationale 389
  • Transquébeclabrador
  • Travaux de réfection

Publié sur le site le 27 août 2018

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