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  • Numéro_21

  • Fermeture définitive du comptoir local

    Caisse Desjardins

    Une 17 décembre, 2024

    Fermeture définitive du comptoir local

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    Maison des jeunes

    Une retraite bien méritée

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    Historique et évolution

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Numéro_21

Fermeture définitive du comptoir local

Caisse Desjardins

Une 17 décembre, 2024

Fermeture définitive du comptoir local

Une retraite bien méritée

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Les 12 jours d’action contre la violence faite aux femmes

Historique et évolution

Les 12 jours d’action contre la violence faite aux femmes

Des travailleurs navetteurs ont eu chaud

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Caisse Desjardins

Fermeture définitive du comptoir local

par Éric Cyr

Le service au comptoir de la Caisse Desjardins des travailleuses et travailleurs unis de Fermont a fermé ses portes de façon définitive, le 11 novembre 2024, dans le cadre d’une restructuration visant la transformation de ce centre de service comme ce fut le cas pour plusieurs autres localités à travers le Québec qui ont perdu, depuis deux ans, plusieurs dizaines de guichets automatiques et de points de service qui étaient situés principalement dans des communautés rurales.

Cette décision, vivement décriée par les commerçants de l’endroit et les représentants du milieu, affecte grandement les commerces, les entreprises et les organismes de Fermont et a été prise de façon unilatérale sans envisager de potentielles solutions pour maintenir ouvert cet unique point de service de Desjardins dans un rayon de 560 kilomètres à la ronde. À la suite de ce remaniement, le guichet automatique de même qu’un système automatisé de casiers pour le dépôt et l’échange d’argent afin d’accommoder à distance les organisations qui sont rattachés à l’édifice situé au 100, rue de l’Hématite devraient demeurer en fonction grâce à une entente conclue avec des fournisseurs externes.

Des problématiques récurrentes et des interruptions de service fréquentes, en particulier durant la dernière période estivale, pouvaient laisser présager de cette disparition. Selon l’institution bancaire, la succursale de Fermont était fermée en moyenne 18 semaines par année en raison du manque de personnel. Cette année, toutefois, la caisse n’a été fermée que six semaines grâce à l’embauche d’employés en provenance de l’extérieur de la région. L’administration de l’établissement financier dit aussi avoir constaté une baisse du nombre de transactions au comptoir au fil des ans, alors que le service sur place n’était offert que deux heures par jour en moyenne cette année dans le cadre d’un horaire rigide qui ne convenait pas à plusieurs clients.

Le maire de Fermont, Martin Saint-Laurent, réprouve ce choix et confie que la Ville a proposé des solutions intéressantes aux dirigeants de la succursale afin de tenter de les convaincre de revenir sur leur décision, mais les suggestions sont demeurées lettre morte. L’administration municipale s’interroge maintenant sur les options qui s’offrent à la communauté et souhaite que les citoyens et commerçants fassent valoir leurs idées notamment auprès de la chambre de commerce. La directrice générale de la Chambre de commerce Fermont, Mélissa Gauthier, qui s’est fait le porte-voix des commerçants opposés à cette fermeture, dénonce également cet abandon de service qui nuira aux entreprises locales en compliquant grandement leurs tâches et en occasionnant des délais additionnels notamment pour la réception d’argent (billets de banque et monnaie) nécessaire à leurs ventes. Pour effectuer leurs transactions, celles-ci devront dorénavant impérativement faire la demande d’une carte de débit Desjardins.

À la suite de l’annonce officielle de la fermeture du service, en octobre dernier, des délégués de la communauté des affaires ainsi que l’ensemble des élus municipaux qui plaident pour l’adoption d’un statut particulier pour la succursale de Fermont en raison de son éloignement sont très irrités par la situation et sont persuadés que ce scénario déplorable aurait pu être évité si ce n’était du manque d’ouverture et la réticence des administrateurs de la Caisse Desjardins à instaurer des mesures alternatives et à tenter de trouver des solutions pour maintenir le service. Le directeur général de la municipalité, Claude Gagné, déplore cette décision qui ne tient pas compte de la réalité de Fermont, de son éloignement et de son isolement et est persuadé que les dés étaient jetés d’avance puisqu’aucune proposition de la Ville n’a fait l’objet de discussions sérieuses avec Desjardins.

Par ailleurs, tel que le permet la Loi, la Ville de Fermont a exercé son droit de préemption sur les immeubles de Desjardins qui souhaite se départir de ses deux bâtiments locaux tout en demeurant locataire de son aire de services automatisés. Essentiellement, la Ville, qui veut éviter que ces immeubles ne changent de vocation et soient transformés pour loger des travailleurs navetteurs (fly-in/fly-out), pourrait ainsi acquérir en priorité ces édifices. Les deux bâtiments de Desjardins qui ont été mis en vente ont des évaluations foncières qui s’élèvent à près de 755 000 $.

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Publié le 17 décembre, 2024, dans la publication : Numéro_21 Volume_42

  • Caisse Desjardins
  • Communautés rurales
  • Coupure
  • Fermeture
  • Fermont
  • Guichets automatiques
  • Martin St-Laurent
  • Restructuration
  • Services au comptoir
  • Transformation

Publié sur le site le 17 décembre 2024

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Maison des jeunes

Une retraite bien méritée

par Éric Cyr

Légende : Sur la photo, l’ancienne responsable de la Maison des jeunes Alpha, Suzanne Synnott, à droite, en compagnie de celle qui lui a succédé, Marie-Ève Arsenault, à gauche.

Un hommage a été rendu à l’ancienne responsable de la Maison des jeunes (MDJ) Alpha qui a récemment pris sa retraite, Suzanne Synnott, à la salle Aurora, où des ex-collègues de travail de la Ville de Fermont et des jeunes qui fréquentent cet établissement qui leur est consacré s’étaient rassemblés pour saluer son riche parcours professionnel, le 28 novembre 2024.

Des allocutions ont été prononcées pour l’occasion et une projection de photos illustrant sa longue carrière a été présentée dans le cadre d’une formule « 5 à 7 » agrémentée de bouchées et d’un coquetel.

Comment décrire Suzanne Synnott ?
Un exercice difficile en perspective de définir ce personnage haut en couleur né à Sept-Îles. Cet être dynamique et enjoué est un peu la fusion de racines de souche irlandaise et gaspésienne transplantées dans le Nord québécois. Celle qui a quitté son bord de mer en Gaspésie pour suivre son petit ami de l’époque est arrivée à Fermont à l’âge de 18 ans en 1978 où elle cumule différents emplois d’abord comme cuisinière et serveuse à la friterie du Nord, située à la loge des Moose, puis au restaurant de l’aréna avant de devenir auxiliaire familiale, après avoir suivi un cours en techniques de garde, et préposée à la bibliothèque publique. À la suite de ces expériences de travail et après avoir pris soin d’une douzaine de poules au poulailler de la ferme locale, devenu ensuite un refuge pour les chiens de traîneau (Chienville), elle s’oriente finalement en 1988 vers sa véritable vocation à la Maison des jeunes où elle obtient sa permanence en 1992.

De Fermont elle a fait son nid et y a élevé son fils Benoit Samuel. Aujourd’hui fière grand-mère de deux petits-enfants, elle y réside toujours entourée de nombreux amis qui tiennent en estime sa débrouillardise, sa grande franchise et son franc-parler légendaires. Ces qualités lui ont bien servi dans ses interventions et son rôle auprès de la jeunesse qu’elle a défendue avec vigueur ainsi que dans ses fonctions de déléguée syndicale et de représentante au Regroupement des maisons de jeunes du Québec, ce qui a contribué à son essor régional. Plusieurs conserveront des souvenirs impérissables de son passage à la MDJ où elle s’est dévouée pour assurer l’épanouissement des jeunes et leur vitalité dans le milieu.

Bien implantée dans son environnement, la co-fondatrice du Club de VTT du Grand Nord, au sein duquel elle s’est beaucoup investie, adore la nature dont elle entend bien profiter notamment à son chalet où elle passe souvent du temps et aime bien se ressourcer. Ce n’est qu’une autre étape de la vie de celle qui caresse de nombreux projets et qui assure que, même si elle est une ancienne membre du Cercle des fermières, elle n’a pas l’intention de tricoter pour le reste de ses jours. Très fière des jeunes fermontois, elle se dit prête à céder le flambeau à la relève.

Merci de tes nombreuses années au service de la jeunesse et de la communauté. Nous te souhaitons une bonne et heureuse continuité.

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Publié le 17 décembre, 2024, dans la publication : Numéro_21 Volume_42

  • ALPHA
  • Fermont
  • Hommage
  • Maison des jeunes
  • Marie-Ève Arsenault
  • Parcours professionnel
  • Rassemblement
  • Relève
  • Retraite
  • Suzanne Synnott

Publié sur le site le 17 décembre 2024

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Historique et évolution

Les 12 jours d’action contre la violence faite aux femmes

par Éric Cyr

Légende : Sur la photo, des participants lors du départ de la marche contre les féminicides incluant une délégation de la Maison des jeunes Alpha solidaire de cette cause.

« Les 12 jours d’action contre la violence faite aux femmes » se veut une campagne planétaire visant à mobiliser et à sensibiliser le public contre toutes les formes de violence sexiste. Cet événement annuel, qui a lieu entre le 25 novembre (Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes) et le 6 décembre (Journée nationale de commémoration et d’action contre la violence faite aux femmes au Québec et au Canada), est l’un des piliers du mouvement mondial pour les droits des femmes.

Origines

Cette initiative a été lancée en 1991 par le Centre pour le leadership mondial des femmes (Center for Women’s Global Leadership), une organisation basée aux États-Unis. Elle s’inscrit dans un contexte où la reconnaissance universelle des violences faites aux femmes comme violation des droits de la personne restait limitée. Les organisateurs souhaitaient établir un lien explicite entre les luttes pour les droits des femmes et les droits de la personne. Le choix des dates est symbolique. Le 25 novembre, proclamé en 1981 par des militantes latino-américaines pour honorer les sœurs Mirabal assassinées en République dominicaine, marque le début de la campagne. Le 6 décembre fait référence au massacre de l’École polytechnique de Montréal en 1989, où 14 femmes ont été tuées par un homme revendiquant une haine explicite envers les féministes.

Objectifs

La campagne a pour objectif de sensibiliser les citoyens, les gouvernements et les organisations à l’ampleur des violences basées sur le genre. Elle vise à promouvoir des mesures concrètes pour éradiquer ces brutalités, qu’il s’agisse de lois plus strictes ou de services de soutien accessible. Au fil des ans, des thèmes particuliers ont été abordés, comme la violence conjugale, le harcèlement sexuel, les violences en ligne et celles en période de conflit. Ces sujets permettent d’approfondir la compréhension des différentes formes de violence et de mettre en lumière les inégalités sous-jacentes qui en découlent.

Évolution

Depuis ses débuts, cette croisade a connu une expansion et une résonance importantes. Elle est aujourd’hui observée dans plus de 187 pays et rassemble des millions de participants, allant des militants de terrain aux responsables politiques. Chaque année, des événements commémoratifs, des vigiles et des initiatives éducatives sont organisés pour rappeler les défis persistants et afin de rendre hommage aux victimes de violence. Le rôle des médias sociaux a également transformé la portée de cette démarche, permettant aux organisations et aux individus de partager des histoires, des ressources et des statistiques, tout en dénonçant les comportements abusifs.

Impact

Bien que cette manifestation ait contribué à une meilleure sensibilisation à l’échelle internationale, des défis demeurent. Les violences faites aux femmes restent omniprésentes, touchant une femme sur trois dans le monde au cours de sa vie, selon l’Organisation des Nations Unies (ONU). Des résistances socioculturelles, des politiques inefficaces et un manque de ressources freinent souvent les progrès. On note cependant des avancées notables. Par exemple, de nombreux pays ont renforcé leur législation contre les violences domestiques et instauré des mesures de sensibilisation permanentes. Des mouvements comme #MeToo et Ni una menos se sont également inscrits dans cet élan mondial de lutte contre la violence sexiste. Cette action est cruciale dans la lutte pour l’égalité et la justice et incarne un appel à l’action collective, à la solidarité et à la transformation des mentalités. En poursuivant cet engagement, les sociétés peuvent espérer construire un monde où les femmes vivent sans peur ni oppression.

MAHF
Les 12 jours d’action contre la violence faite aux femmes

La Maison d’aide et d’hébergement de Fermont (MAHF) a offert, comme elle en a l’habitude, une programmation gratuite variée dans le cadre de la campagne annuelle 12 jours contre la violence faite aux femmes qui comprenait plusieurs événements de sensibilisation pour les citoyens, du 26 novembre au 6 décembre 2024.

Les activités proposées incluaient le vernissage d’une exposition d’artistes locales qui se sont inspirées de ce sujet qui était agrémenté de bouchées et d’un coquetel à la salle Aurora, le 26 novembre, le traditionnel « dîner en blanc » dans les locaux de la MAHF au 4, rue Holway, le 27 novembre, la projection du film Jamais plus (It Ends With Us), une adaptation cinématographique du roman éponyme de Colleen Hoover qui traite du courage d’une femme qui réussit à surmonter ses traumatismes d’enfance et à sortir du cercle vicieux de la violence conjugale, à l’auditorium Alain-Frappier, le 29 novembre. Une marche commémorative à la mémoire des victimes de féminicides dont le point de départ était le stationnement de l’aréna Daniel-Demers a également été organisée, le 1er décembre, suivie d’un déjeuner à la loge des Moose pour les participants. Un dîner accompagné d’un jeu-questionnaire (quizz) sur la thématique de la violence faite aux femmes et une distribution de prix, a été offert aux élèves de la polyvalente Horizon-Blanc, le 4 décembre. De plus, un kiosque d’information a été installé dans le centre commercial du mur-écran, le 6 décembre. Les organisatrices de la MAHF sont très satisfaites de l’intérêt suscité au sein de la population par cette démarche de sensibilisation et du taux de participation aux diverses activités.

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Publié le 17 décembre, 2024, dans la publication : Numéro_21 Volume_42

  • 12 jours d’action
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Publié sur le site le 17 décembre 2024

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Transport aérien

Des travailleurs navetteurs ont eu chaud

par Éric Cyr

Source photo : Frédéric Côté

Des travailleurs navetteurs (fly-in/fly-out) de Minerai de fer Québec (MFQ) ont eu la peur de leur vie lorsqu’un avion de l’entreprise aérienne Nolinor, un Boeing 737-400 qui les transportait, a subi un problème technique, le 27 novembre 2024, empêchant le déploiement de l’un des trains d’atterrissage principaux de l’appareil qui s’est finalement posé en catastrophe, mais sans encombre, sur la piste d’un autre aéroport avec un seul atterrisseur grâce au sang-froid des pilotes.

Le vol nolisé en partance de Québec à destination de l’aérogare de Saguenay-Bagotville, où il devait récupérer d’autres employés de la minière, a dû rebrousser chemin après avoir amorcé sa descente à l’approche de l’aérodrome de l’endroit lorsqu’un train d’atterrissage de l’aéronef ne s’est pas ouvert. L’aérodyne a par la suite effectué une boucle au-dessus du Saguenay avant de bifurquer vers l’aéroport international Montréal-Mirabel où les aviateurs ont réalisé un atterrissage forcé avec un train d’atterrissage en moins. Selon la compagnie d’aviation, qui n’a pas précisé la cause de cet incident, les passagers qui étaient à bord, qui devaient se rendre à Fermont en passant par l’aéroport régional de Wabush au Labrador, sont tous sains et saufs tout comme les membres d’équipage. Il n’y a eu aucun blessé grâce notamment à une intervention rapide des services d’urgence aéroportuaire. Le Bureau de la sécurité des transports du Canada (BST) a ouvert une enquête à ce sujet.

Heureusement que ce scénario ne s’est pas produit au-dessus de Wabush où les services d’urgence-incendie ont été démantelés par le ministère des Transports du Canada en août 2020. Au moins deux autres incidents du genre impliquant des trains d’atterrissage d’avions du transporteur aérien PAL refusant de s’ouvrir ont été répertoriés sur des vols en partance ou en direction de l’aéroport local depuis le retrait des effectifs d’urgence par le gouvernement fédéral il y a quatre ans et demi. Selon la députée de la circonscription fédérale du Labrador, la libérale Yvonne Jones, Transports Canada a consenti à rétablir ce service en 2025.

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Publié le 17 décembre, 2024, dans la publication : Numéro_21 Volume_42

  • Aérogare de Saguenay-Bagotville
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Publié sur le site le 17 décembre 2024

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