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Conférence

Comment ralentir dans nos vies

par Éric Cyr

Légende : Sur la photo, la conférencière (cinquième à partir de la gauche) entourée de participants.

Le réseau d’éclaireurs a présenté, en collaboration avec la Maison d’aide et d’hébergement de Fermont (MAHF) et le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de la Côte-Nord, la conférence « Ralentir, prendre le temps ! » au café Entracte situé au 8, venelle 11 dans les venelles communautaires, le 5 novembre 2024.

L’événement qui faisait partie du mois thématique « Contrer les blues de l’automne » a regroupé une douzaine de participants. La démarche animée par l’agente de relations humaines, Marianne Creysson, visait la transmission d’outils destinés à améliorer la gestion du temps notamment grâce à des échanges interactifs et des exercices dirigés par la conférencière.

Les sujets abordés durant l’activité étaient multiples et traitaient notamment de l’harmonisation du temps, des changements à apporter à nos habitudes de vie et à notre train-train personnel incluant les tâches quotidiennes routinières ainsi que d’une meilleure perception de la notion de performance afin de réussir à diminuer le stress et à ralentir le rythme pour éviter un épuisement éventuel. D’autres notions ont également été présentées comme l’importance de bien définir les priorités et de ne pas les confondre avec les urgences, qui ne peuvent être repoussées.

Selon l’animatrice communautaire, l’idéal est de ne pas effectuer deux tâches de façon simultanée, mais plutôt de les réaliser par séquences pour éviter de brûler de l’énergie inutilement et de provoquer l’émergence d’un sentiment d’envahissement et de dépassement puisque le cerveau ne peut gérer qu’une seule chose à la fois. « La plupart du temps, on pense à autre chose que ce que l’on fait et cela nuit à notre concentration. Il s’agit d’appuyer sur la pédale de frein afin de se donner un répit dans l’exécution de nos occupations afin d’obtenir de meilleurs résultats. », confie celle qui prône plutôt une approche de pleine conscience centrée sur le moment.

« Il faut réussir à se ramener à ici et maintenant afin de savourer et de vivre l’instant présent ce qui permet généralement de nous apaiser en dissipant l’anxiété et à accorder de la valeur à ce que l’on est en train de faire en actualisant cette action ou cette besogne et en la rendant agréable le plus possible. »

Mme Creysson a aussi parlé du principe de désencombrement qui consiste à se départir d’objets qui occupent de l’espace et dont on ne fait plus usage en les recyclant par exemple, ce qui aide à se libérer d’un lien d’attachement matériel. Elle a aussi insisté sur la nécessité à l’occasion de faire le vide grâce à une déconnexion du monde virtuel en débranchant les appareils électroniques environnants comme la télévision, les ordinateurs et les téléphones portables pour lesquels les gens sont souvent victimes d’une forte dépendance. « Il s’agit de se trouver des passions destinées à créer de nouvelles habitudes plus saines et de se réguler en faisant des activités qui vont nous ressourcer. Un bon moyen d’y parvenir est d’agir en fonction de nos valeurs en faisant preuve d’autodétermination et de contrôle de soi en prenant soin de définir nos limites et en ne se laissant pas embrigader par les flatteries de la reconnaissance », conclut Mme Creysson.

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Publié le 19 novembre, 2024, dans la publication : Numéro_19 Volume_42

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Publié sur le site le 19 novembre 2024

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Imposition fédérale

La Côte-Nord pénalisée

par Éric Cyr

Le Bloc québécois (BQ) dénonce le manque de formation des employés fédéraux qui travaillent à l’Agence de revenu du Canada (ARC) en ce qui a trait aux déductions fiscales relatives aux régions éloignées comme la Côte-Nord, ce qui entraîne constamment et de façon récurrente des méandres administratifs inutiles pour un très grand nombre de contribuables qui produisent de toute bonne foi leurs déclarations d’impôts sur le revenu comme ceux de Fermont et de Schefferville.

La députée de Manicouagan, Marilène Gill, affirme que la Côte-Nord est désavantagée par l’ARC en raison de son éloignement, que le gouvernement fédéral ne comprend pas la réalité des Nord-Côtiers et que ceux-ci en subissent les désagréments. Selon l’élue de la formation indépendantiste, les agents de l’ARC ne sont pas formés pour répondre aux besoins et aux déductions fiscales particulières qui s’appliquent à la Côte-Nord, notamment en ce qui a trait à la déduction pour les voyages des résidents de régions éloignées.

« Lorsque les citoyens nord-côtiers réussissent à joindre l’ARC, après un temps d’attente trop souvent démesuré, les agents, bien qu’ils soient bien intentionnés, n’ont pas de connaissances spécifiques concernant les déductions fiscales auxquelles les Nord-Côtiers ont droit. Évidemment, des erreurs dans le traitement de leurs demandes s’en suivent et ce sont les contribuables qui écopent, n’ayant pas accès à des montants d’argent qui leur sont pourtant dus. Nous sommes pénalisés, encore une fois, en raison de la méconnaissance des réalités de notre milieu », explique la députée du Bloc québécois.

« La déduction pour les voyages des habitants de régions éloignées est un exemple flagrant. Le gouvernement fédéral offre une déduction d’impôts pour venir en aide aux citoyens qui doivent quitter leur village par avion pour obtenir des soins médicaux, par exemple. Or, au lieu de calculer la déduction sur la totalité du prix du billet d’avion, l’ARC a instauré le concept de « ville désignée la plus proche ». Ce faisant, lorsque cela correspond à la possibilité la moins chère, l’ARC calcule la déduction en fonction d’un hypothétique déplacement vers cette localité, qui ne correspond à aucune réalité concrète, ou même géographique. Par exemple, la ville désignée pour une personne qui partirait de l’aéroport de Blanc-Sablon en Basse-Côte-Nord est St-John, à Terre-Neuve-et-Labrador, ce qui est absolument aberrant. Le concept de ville désignée la plus proche ne sert donc qu’à faire économiser de l’argent à Ottawa aux dépens des contribuables sans tenir compte des frontières géographiques même celles du Québec », mentionne la politicienne bloquiste.

« Le gouvernement fédéral place les Nord-Côtiers dans un dédale administratif alors que leur demande est pourtant simple : être compris et avoir droit à ce qui leur revient. Le calcul de déduction pour les voyages des habitants de régions éloignées devrait donc être fait selon le véritable trajet effectué et non en se basant sur des données fictives qui ne représentent que du vent pour nous. Vous pouvez compter sur moi pour exprimer notre voix et faire entendre raison au gouvernement fédéral », conclut Mme Gill.

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Publié le 19 novembre, 2024, dans la publication : Numéro_19 Volume_42

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Funérailles de la reine Élisabeth II

Suite royale anonyme aux frais des contribuables…

par Éric Cyr

La Fédération canadienne des contribuables (FCC) a lancé, le 15 février dernier, une action en justice auprès du commissaire à l’information pour obliger le gouvernement fédéral à révéler qui a séjourné dans une suite d’hôtel de luxe à 6000 $ la nuit lors des funérailles nationales de la reine Élisabeth II à Londres en Angleterre.

Caviar et caviardage…

La FCC a au préalable déposé une demande d’accès à l’information pour obtenir des documents précisant l’identité des occupants de la chambre d’hôtel, mais Ottawa a envoyé une réponse caviardée où certains éléments avaient été expurgés et qui camoufle le nom de la personne ayant séjourné dans la luxueuse suite en invoquant des raisons de sécurité et une clause de la Loi sur l’accès à l’information qui interdit la divulgation de renseignements personnels. Un avocat représentant la FCC a par la suite déposé une plainte officielle auprès du Commissariat à l’information, l’organisme chargé d’enquêter sur les plaintes et de régler les différends liés au système fédéral d’accès à l’information, afin de contraindre le gouvernement à rendre publics les documents non caviardés.

Choquant…

Le directeur fédéral de la FCC, Franco Terrazzano, s’indigne de ce manque de limpidité : « Par principe, le gouvernement a une obligation de transparence envers les contribuables qui ont payé les factures et nous devons savoir qui a gaspillé leur argent en louant cette chambre d’hôtel à 6000 $ la nuit.

Le directeur québécois de la FCC, Nicolas Gagnon, abonde dans le même sens : « Le premier ministre Justin Trudeau doit être transparent. Lorsqu’un gouvernement cache ses dépenses à la population, c’est la confiance envers les institutions qui est ébranlée. Trudeau doit agir en conséquence et rendre des comptes. »

Rien de trop beau pour « l’élite » dirigeante

Le Canada a envoyé une importante délégation au Royaume-Uni en septembre 2022 pour assister aux funérailles de feu Sa Majesté Élisabeth II. Le cortège qui, selon le Toronto Sun, a dépensé près de 400 000 $ uniquement pour des frais d’hôtel, incluant la fastueuse « River Suite » à 6000 $ la nuit, à l’hôtel Corinthia, comprenait entre autres le premier ministre Trudeau et sa famille, la gouverneure générale du Canada, Mary Simon, quatre anciens premiers ministres, deux anciens gouverneurs généraux et trois chefs des Premières Nations. L’hôtel Corinthia est décrit comme l’un des meilleurs hôtels de luxe du centre de Londres. Il offre une vue imprenable sur la Tamise, une salle de bain en marbre et un service de majordome. Plusieurs autres luxueux hôtels londoniens proposent pourtant de douillettes alcôves à des prix inférieurs.

Le gouvernement Trudeau a catégoriquement refusé d’identifier la personne qui a séjourné dans cette somptueuse alvéole. Un porte-parole de la gouverneure générale Mary Simon, alors dans l’eau chaude à cause des coûts extrêmement élevés de son voyage au Moyen-Orient en mars 2022, a confirmé que cette dernière n’avait pas occupé cette chambre cossue.

Le Toronto Sun a aussi dévoilé que des fonctionnaires d’Affaires mondiales Canada ont rédigé plusieurs réponses aux demandes des médias sur la question, mais que le personnel politique du bureau de la ministre des Affaires étrangères, Mélanie Joly, leur a ordonné de ne pas répondre.

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Publié le 27 février, 2023, dans la publication : Numéro_04 Volume_41

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Publié sur le site le 27 février 2023

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