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  • Numéro_04

  • Journaliste globetrotteur en visite dans la région

    Monde médiatique

    Une 27 février, 2023

    Journaliste globetrotteur en visite dans la région

  • Réouverture de la mine de fer à Schefferville

    Tata Steel

    Réouverture de la mine de fer à Schefferville

  • Réconciliation  entre Rio Tinto IOC  et les Naskapis

    Entente « Aganow »

    Réconciliation entre Rio Tinto IOC et les Naskapis

  • Suite royale anonyme aux frais des  contribuables…

    Funérailles de la reine Élisabeth II

    Suite royale anonyme aux frais des contribuables…

Numéro_04

Journaliste globetrotteur en visite dans la région

Monde médiatique

Une 27 février, 2023

Journaliste globetrotteur en visite dans la région

Réouverture de la mine de fer à Schefferville

Tata Steel

Réouverture de la mine de fer à Schefferville

Réconciliation  entre Rio Tinto IOC  et les Naskapis

Entente « Aganow »

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Suite royale anonyme aux frais des  contribuables…

Funérailles de la reine Élisabeth II

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Monde médiatique

Journaliste globetrotteur en visite dans la région

par Éric Cyr

Légende photo : Sur la photo, Carole Vuylsteke, Anne Pélouas et Michel Lécuyer dans le chalet en bois rond des adeptes de traîneau à chiens au lac Cladonie. Source photo : Myriam Desjardins-Malenfant

De retour du Japon, la journaliste indépendante Anne Pélouas était de passage à Fermont durant la semaine du 13 février dernier afin de réaliser des articles à la pige sur des sujets typiquement locaux. Originaire de France, elle est arrivée au Québec en 1988 et habite à Montréal depuis.

Très polyvalente, celle-ci se définit modestement comme « toutologue », qui signifie selon son interprétation « compétente en tout, spécialiste de rien ». Elle écrit régulièrement des articles à la pige dans diverses rubriques pour de nombreuses publications québécoises et françaises.

Parcours étoffé

Difficile de résumer le cheminement diversifié de cette passionnée dont l’un des premiers articles pour un journal local de la banlieue parisienne fut la couverture du décès du réalisateur de cinéma français Jacques Tati, avant d’œuvrer dans les années 1980 en journalisme politique à Paris et d’être collaboratrice pour le journal satirique Le Canard Enchaîné. « J’ai eu le déclic pour cette profession à l’âge de 12 ans quand ma mère m’a emmené visiter le quotidien régional Ouest-France en Bretagne. »  Ayant comme sujets actuels de prédilection l’art de vivre, la gastronomie, le plein air et le tourisme/voyage, Anne Pélouas a fait des études de droit et de sciences politiques dans l’Hexagone, notamment un diplôme d’études approfondies, post-maîtrise, en droit international et européen. Elle n’en est pas à ses premières armes dans le domaine de l’information au Québec où elle fut pendant vingt ans correspondante du journal Le Monde, couvrant l’actualité canadienne comme elle le fit auparavant, depuis la métropole québécoise, pour l’Agence centrale de presse et Les Échos pour ne nommer que ceux-ci. À ses débuts au Québec, Mme Pélouas a notamment travaillé pour le quotidien Le Devoir puis une dizaine d’années pour l’Agence France-Presse au bureau du siège social canadien de Montréal. Elle publie depuis plusieurs années des articles dans des médias québécois comme Rando-Québec, Avenues.ca, Air Inuit Magazine, Vie en montagne et Géo Plein Air en plus de collaborer à l’écriture de plusieurs guides de voyage Ulysse et d’articles pour les médias français Terre sauvage et Le Figaro.

« Je choisis les thèmes qui m’intéressent particulièrement. Adepte de raquettes, j’ai développé une passion pour le Nord et Fermont était depuis longtemps sur ma liste de voyages à faire », confie Anne Pélouas qui a entre autres publié l’essai Les Inuits résistants! Et, plus récemment, le guide de voyage Ulysse Fabuleux sud-ouest de la France. Selon elle, il y a aussi une part de hasard dans les sujets qui retiennent son attention.

Après avoir rencontré de façon fortuite le premier pilote d’avion inuit, Johnny May, lors d’un déplacement à Kuujjuaq au Nunavik, elle en a profité pour l’interviewer. Elle raconte qu’elle a eu la chance de visiter le Yukon et l’île d’Ellesmere au Nunavut dans l’archipel arctique en plus d’avoir navigué dans le passage du Nord-Ouest sur un navire de la garde côtière canadienne.

Revenons à Fermont…

Emballée par l’accueil chaleureux et les ravissants paysages hivernaux, Anne Pélouas a pu découvrir la faune et la flore locales avec des amoureux de la nature grâce au service « Loue un Fermontois » proposé par l’entreprise Aventure 52e parallèle. Elle a bien aimé les discussions avec des guides qui connaissent très bien le milieu. Elle a entre autres pu faire du ski de fond avec Pascale Castilloux, escalader le mont Daviault avec Marilou Morin-Lévesque, se rendre sur la montagne du lac Tupper avec Gabriel Collard, dans les monts Severson avec Myriam Leblanc, sur les montagnes blanches avec Myriam Desjardins-Malenfant en plus d’effectuer une balade à motoneige avec cette dernière au chalet en bois rond du légendaire meneur de chiens de traîneau (musher) Michel Lécuyer et de sa conjointe Carole Vuylsteke. Une excursion a aussi été organisée au Labrador voisin avec la doyenne de la petite communauté francophone Lise Boucher. « Ça donne l’occasion de rencontrer des gens locaux tout en faisant une activité. C’est un concept qui favorise les rapprochements et qui permet de mieux comprendre les réalités du terrain. » La conjoncture lui aura aussi permis de croiser sur son chemin deux personnages emblématiques de l’endroit, le retraité, chasseur et pêcheur, Richard « Grand chef » Bernatchez, et le pittoresque commerçant, « Ti-Guy » Simard, avec qui elle a pu déguster un repas composé de gibier de la région. Elle prévoit de publier au moins deux articles sur la raquette dans le secteur de Fermont et sur les défis de l’approvisionnement en denrées alimentaires en région dite éloignée.

La venue d’Anne Pélouas à Fermont a été possible grâce à la collaboration de Tourisme Côte-Nord, de la MRC de Caniapiscau, d’Aventure 52e parallèle et de l’Alliance de l’industrie touristique du Québec.

Vous pouvez consulter le profil Facebook Anne Pélouas.

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Publié le 27 février, 2023, dans la publication : Numéro_04 Volume_41

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Publié sur le site le 27 février 2023

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Tata Steel

Réouverture de la mine de fer à Schefferville

par Éric Cyr

Source photo : Expertise PG

La compagnie Tata Steel Minerals Canada (TSMC), qui avait interrompu ses activités minières à Schefferville le 30 novembre dernier en évoquant un contexte économique défavorable et des coûts d’exploitation élevés, a repris ses opérations, le 22 février 2023. La relance de la production est possible grâce à l’augmentation du prix du fer sur les marchés mondiaux.

Redémarrage

Une analyse approfondie de la situation, combinée à un regain dans la demande du fer, a convaincu les membres de la direction de l’entreprise Tata Steel de la viabilité d’un redémarrage. Ces derniers jugent que le scénario a évolué de façon propice et qu’une reprise des activités est opportune. Les dirigeants ont donc pris la décision d’investir de manière substantielle afin d’entreprendre des changements opérationnels et une transformation majeure destinée à améliorer les performances et à soutenir les actions futures notamment par une amélioration des procédés d’extraction et de traitement.

Restructuration

Des travaux de restructuration importants seront effectués par la firme d’ingénierie-conseil et de maintenance industrielle Construction & Expertise PG qui se chargera, de concert avec son partenaire issu des Premières Nations Construction & Expertise Maikan, du fonctionnement et de la maintenance du concentrateur dans le cadre d’un contrat d’une durée de huit mois. « Cette entente permettra à notre entreprise d’embaucher plus d’une centaine d’employés afin d’assurer les fonctions d’exploitation et de maintenance. Ce service constitue une belle alternative pour les grandes compagnies en lien avec la pénurie de main-d’œuvre. Par ailleurs, nous pourrons l’offrir à d’autres minières et alumineries », mentionne le vice-président de Construction & Expertise PG, Sébastien Tessier.

Des réparations d’équipements sont prévues notamment sur certaines installations de l’usine, construite sous un dôme afin de l’abriter des conditions climatiques hivernales rigoureuses, qui éprouve souvent des difficultés de fonctionnement.

L’administrateur de la Ville de Schefferville, Jean Dionne, se réjouit pour sa part de cette remise sur les rails qui contribuera à la vitalité de l’endroit.

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Publié le 27 février, 2023, dans la publication : Numéro_04 Volume_41

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Publié sur le site le 27 février 2023

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Entente « Aganow »

Réconciliation entre Rio Tinto IOC et les Naskapis

par Éric Cyr

Source photo : IOC

La nation naskapie de Kawawachikamach, située près de Schefferville, et la compagnie minière IOC ont signé, le 31 janvier 2023, une entente visant à établir des relations mutuellement avantageuses, fondées sur le dialogue, la collaboration et la confiance entre l’entreprise et la communauté pour des dizaines d’années à venir. Cet accord a symboliquement été nommé « Aganow », ce qui signifie « minerai de fer » en naskapi.

Le partenariat socioéconomique dont la signature a eu lieu à Kawawachikamach en présence du Conseil de la nation naskapie, d’aînés de la communauté et d’une délégation de représentants d’IOC a pour but de créer des occasions en faveur d’une participation active du peuple naskapi dans les activités d’IOC, notamment par la formation et le développement, l’emploi, la collaboration à des projets environnementaux et l’approvisionnement. Cette démarche permettra aussi de protéger et d’encourager la pratique des activités traditionnelles ainsi que de générer des retombées financières à long terme pour la nation naskapie.

La cheffe de la nation naskapie, Teresa Chemaganish, confie : « L’histoire récente de notre communauté est étroitement liée à celle d’IOC. Nos grands-parents ont quitté Fort Chimo (aujourd’hui Kuujjuaq) en bateau et à pied dans les années 1950 pour s’installer à Schefferville (à l’époque) la nouvelle ville minière d’IOC, et ils ont dû s’adapter à un mode de vie complètement différent. Les temps ont énormément changé depuis lors, et notre nation, qui dispose désormais d’un traité moderne, est autonome et tournée vers l’avenir depuis les années 1980. » Selon cette dernière, ce pacte aidera les Naskapis à répondre à de nombreux projets prioritaires comme la protection et la promotion de leur langue et de leur culture, la fourniture de logements adéquats, la création de possibilités d’emplois intéressantes et satisfaisantes, la protection de l’environnement ainsi que l’amélioration de la qualité de vie en général.

« Nos aînés ont souffert de préjugés et de discrimination, le plus souvent en silence. L’entente Aganow n’est pas une finalité, mais plutôt un nouveau chapitre dans le processus de réconciliation et nous espérons qu’elle aidera ceux qui ont souffert à guérir et à avancer. »

Selon le président et chef de la direction de la minière IOC, Mike McCann, cet arrangement bilatéral bénéficiera aux deux parties. « Aganow témoigne du ferme engagement d’IOC à développer des relations mutuellement profitables avec ses partenaires autochtones. Au cours des dix dernières années, nous avons réalisé d’importants progrès en signant des ententes avec l’ensemble des cinq communautés des Premières Nations présentes dans les régions où nous exerçons nos activités. Nous sommes reconnaissants des liens de collaboration que nous entretenons avec la nation naskapie et nous sommes impatients de continuer à travailler de concert afin d’intégrer notre objectif de réconciliation dans nos actions quotidiennes. »

Cette convention est l’aboutissement d’environ deux ans de négociations. IOC a exprimé ses regrets quant à son manque de compréhension, par le passé, de la réalité historique, de la culture et des moyens de subsistance du peuple naskapi. Durant les dernières années, IOC a eu l’occasion de collaborer sur plusieurs projets avec la nation naskapie, notamment en faisant profiter de son expertise à Transport ferroviaire Tshiuetin, dont la nation naskapie est actionnaire, en amenant la fibre optique dans la communauté ainsi qu’en soutenant une étude de préfaisabilité portant sur un projet d’élevage de caribous.

IOC a mené des activités d’exploration et d’exploitation minières dans le secteur de Schefferville de 1954 à 1982. Les installations d’IOC chevauchaient la frontière entre le Québec et le Labrador. On compte aujourd’hui 975 Naskapis dans la collectivité de Kawawachikamach et dans les environs.

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Publié le 27 février, 2023, dans la publication : Numéro_04 Volume_41

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Publié sur le site le 27 février 2023

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Funérailles de la reine Élisabeth II

Suite royale anonyme aux frais des contribuables…

par Éric Cyr

La Fédération canadienne des contribuables (FCC) a lancé, le 15 février dernier, une action en justice auprès du commissaire à l’information pour obliger le gouvernement fédéral à révéler qui a séjourné dans une suite d’hôtel de luxe à 6000 $ la nuit lors des funérailles nationales de la reine Élisabeth II à Londres en Angleterre.

Caviar et caviardage…

La FCC a au préalable déposé une demande d’accès à l’information pour obtenir des documents précisant l’identité des occupants de la chambre d’hôtel, mais Ottawa a envoyé une réponse caviardée où certains éléments avaient été expurgés et qui camoufle le nom de la personne ayant séjourné dans la luxueuse suite en invoquant des raisons de sécurité et une clause de la Loi sur l’accès à l’information qui interdit la divulgation de renseignements personnels. Un avocat représentant la FCC a par la suite déposé une plainte officielle auprès du Commissariat à l’information, l’organisme chargé d’enquêter sur les plaintes et de régler les différends liés au système fédéral d’accès à l’information, afin de contraindre le gouvernement à rendre publics les documents non caviardés.

Choquant…

Le directeur fédéral de la FCC, Franco Terrazzano, s’indigne de ce manque de limpidité : « Par principe, le gouvernement a une obligation de transparence envers les contribuables qui ont payé les factures et nous devons savoir qui a gaspillé leur argent en louant cette chambre d’hôtel à 6000 $ la nuit.

Le directeur québécois de la FCC, Nicolas Gagnon, abonde dans le même sens : « Le premier ministre Justin Trudeau doit être transparent. Lorsqu’un gouvernement cache ses dépenses à la population, c’est la confiance envers les institutions qui est ébranlée. Trudeau doit agir en conséquence et rendre des comptes. »

Rien de trop beau pour « l’élite » dirigeante

Le Canada a envoyé une importante délégation au Royaume-Uni en septembre 2022 pour assister aux funérailles de feu Sa Majesté Élisabeth II. Le cortège qui, selon le Toronto Sun, a dépensé près de 400 000 $ uniquement pour des frais d’hôtel, incluant la fastueuse « River Suite » à 6000 $ la nuit, à l’hôtel Corinthia, comprenait entre autres le premier ministre Trudeau et sa famille, la gouverneure générale du Canada, Mary Simon, quatre anciens premiers ministres, deux anciens gouverneurs généraux et trois chefs des Premières Nations. L’hôtel Corinthia est décrit comme l’un des meilleurs hôtels de luxe du centre de Londres. Il offre une vue imprenable sur la Tamise, une salle de bain en marbre et un service de majordome. Plusieurs autres luxueux hôtels londoniens proposent pourtant de douillettes alcôves à des prix inférieurs.

Le gouvernement Trudeau a catégoriquement refusé d’identifier la personne qui a séjourné dans cette somptueuse alvéole. Un porte-parole de la gouverneure générale Mary Simon, alors dans l’eau chaude à cause des coûts extrêmement élevés de son voyage au Moyen-Orient en mars 2022, a confirmé que cette dernière n’avait pas occupé cette chambre cossue.

Le Toronto Sun a aussi dévoilé que des fonctionnaires d’Affaires mondiales Canada ont rédigé plusieurs réponses aux demandes des médias sur la question, mais que le personnel politique du bureau de la ministre des Affaires étrangères, Mélanie Joly, leur a ordonné de ne pas répondre.

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Publié le 27 février, 2023, dans la publication : Numéro_04 Volume_41

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Publié sur le site le 27 février 2023

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