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    Côte-Nord

    Transports défaillants et inadaptés?

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    Désenclavement de la Côte-Nord

    Une 21 janvier, 2019

    Front commun historique à Ottawa

Numéro 1

Transports défaillants et inadaptés?

Côte-Nord

Transports défaillants et inadaptés?

La Côte-Nord de plus en plus enclavée

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Front commun historique à Ottawa

Désenclavement de la Côte-Nord

Une 21 janvier, 2019

Front commun historique à Ottawa

Côte-Nord

Transports défaillants et inadaptés?

par Éric Cyr

En plus des conditions météo difficiles, la Côte-Nord doit composer avec un réseau de transport, terrestre, aérien et maritime, inefficace à bien des égards, et qui soulève l’indignation de plusieurs citoyens qui se sentent abandonnés par les différents gouvernements qui se sont succédé tant au provincial qu’au fédéral.

Consternation et indignation

Il n’y a pas de pont sur la rivière Saguenay. La route 138 est inachevée et la Basse-Côte-Nord, dépendante des aléas des intempéries, doit être ravitaillée à partir d’un navire. La route 389, un axe interprovincial qui fait partie du réseau routier national depuis 2005, ne répond toujours pas aux normes minimales de sécurité fixées par Transports Québec. Le prix des billets d’avion, dissuasif et exorbitant, est plus élevé que celui de plusieurs destinations internationales éloignées. La goutte d’eau qui fait déborder le vase est la récente acquisition par Québec d’un traversier problématique et inefficace de conception italienne le F.A. Gauthier pour remplacer le Camille Marcoux et qui semble incapable d’assurer sa mission entre les deux rives du fleuve Saint-Laurent à cause notamment de bris à répétition.

Lacunes et omissions

Ces lacunes, qui contribuent à accentuer l’isolement des Nord-Côtiers, nuisent à de nombreux aspects de la vie sociale et économique en créant des embûches à la libre circulation des résidents et des marchandises. Elles freinent l’économie en coupant sporadiquement ce grenier de ressources, un poumon économique du Québec, de l’approvisionnement nécessaire à son plein épanouissement.

Responsabilités gouvernementales

Il est de la responsabilité des gouvernements d’assurer une équitable répartition des richesses. Selon plusieurs habitants du vaste territoire, la Côte-Nord ne reçoit pas sa juste part du gâteau et est traitée modestement par rapport à d’autres régions. Pour bien comprendre cette frustration, il faut considérer l’apport économique indéniable majeur de la Côte-Nord et du Labrador depuis plus d’un demi-siècle pour le Québec et le Canada. Ceux-ci peuvent compter sur ce grenier de ressources afin d’y puiser des matières premières importantes, notamment, grâce à de très nombreuses mines et de multiples barrages hydroélectriques d’importance à la fine pointe de l’ingénierie moderne et qui contribuent à garnir les coffres de l’État québécois et canadien.

Ces gouvernements n’ont malheureusement toujours pas retourné l’ascenseur de façon significative en matière de transports.

Du pareil au même ou de l’espoir?

Les gouvernements successifs de Charest et de Couillard, qui ont vanté sur toutes les tribunes les mérites du Plan Nord, semblent avoir oublié un élément essentiel : le transport constitue la pierre angulaire de toute forme de développement. Le gouvernement fédéral n’a pas non plus manifesté de grand intérêt pour la Côte-Nord et le Labrador et donc aucune modification significative n’a été apportée pour remédier à la situation problématique des transports. Les conditions et réalités n’ont donc pas changé et demeurent les mêmes que celles en vigueur durant le règne libéral au Québec. Une occasion en or pour le nouveau premier ministre François Legault, qui dit vouloir gouverner pour l’ensemble des Québécois, de s’illustrer de façon concrète en prenant un engagement réel, celui de désenclaver une bonne fois pour toutes la Côte-Nord. Le nouveau ministre québécois des Transports, François Bonnardel, devrait se déplacer à Sept-Îles, le 23 janvier pour de possibles annonces.

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Publié le 21 janvier, 2019, dans la publication : Numéro 1 Volume 37

  • Apport économique
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  • Libre circulation marchandises
  • Lien maritime
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  • Québec
  • Réseau routier national
  • Transports
  • Transports Québec

Publié sur le site le 21 janvier 2019

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Transports

La Côte-Nord de plus en plus enclavée

par Éric Cyr

Source : STQ

Alors que différents intervenants nord-côtiers tentent de faire valoir depuis de nombreuses années l’importance de désenclaver la Côte-Nord, force est de constater, hélas, que l’effet inverse se produit. Le traversier F.A. Gauthier censé remplacer de façon efficace le Camille Marcoux semble incapable d’accomplir convenablement sa mission de navigation maritime, ce qui a coupé à plusieurs reprises la fluidité des échanges entre les deux rives du fleuve Saint-Laurent et obligé un parcours terrestre détourné de plusieurs centaines de kilomètres.

La Commedia des ratés

Déjà pénalisée par rapport aux autres régions du Québec, la Côte-Nord, qui ne peut compter sur un réseau routier complété et sécuritaire, doit maintenant se battre pour obtenir un traversier efficace desservant Baie-Comeau et Godbout et permettant de rejoindre Matane. Les élus de la Côte-Nord et de l’Est-du-Québec sont unanimes et exigent un navire de remplacement apte à prendre la relève à tout moment à l’une ou l’autre des 13 dessertes de la Société des traversiers du Québec (STQ) qui effectuent annuellement 115 000 traversées avec, à leur bord, plus de 5,2 millions de citoyens et plus de 2,1 millions de véhicules et, en particulier, celle où navigue le F.A. Gauthier qui a déjà été mis en cale sèche à des périodes de grand achalandage.

Inadmissible

Plusieurs élus indignés ont dénoncé avec véhémence la situation, dont la députée de Duplessis, Lorraine Richard, du Parti québécois, qui a commenté l’arrêt du traversier Matane/Côte-Nord en pleine période des Fêtes, arrêt qui s’est étiré sur plus de 22 jours. « Encore des problèmes avec le F.A. Gauthier! C’est totalement inacceptable! C’est le seul lien entre les deux rives et la STQ a tout simplement mal planifié son entretien. Nous connaissons un lot de problèmes avec ce navire depuis sa conception. Et voilà encore un de plus! Bien que les avions nolisés soient une alternative pour certains, elle ne répond pas aux besoins de tous! Aucun bateau n’a été affrété pour prendre le relais et il n’y avait aucun plan B pour les automobilistes qui ont dû prolonger leur trajet dans des conditions routières parfois difficiles en hiver. Cette situation me préoccupe au plus haut point et j’aurai des discussions avec le ministre québécois des Transports, François Bonnardel, pour faire le point sur la situation. »

Son collègue nord-côtier, le député péquiste de René-Lévesque, Martin Ouellet, a qualifié le F.A. Gauthier de citron italien. Il s’attend à un examen de conscience et un sérieux coup de barre où des têtes de la STQ pourraient rouler. Il exige des compensations pour les entreprises pénalisées qui ont dû faire circuler leurs marchandises sur 850 km additionnels. Il juge tout aussi inconcevable l’absence d’un bateau de remplacement. « On avait pourtant le Camille Marcoux et on l’a vendu pour le métal à 2,7 M $. Est-ce que ça pressait tant que ça de démanteler son prédécesseur? »

Selon le chef par intérim du Parti québécois et député de Matane, Pascal Bérubé : « C’est notre seul lien fluvial, on ne parle pas d’un troisième lien ou même d’un deuxième, c’est notre seul! Alors à partir du moment où l’on n’est pas capable de traverser, il n’y a pas vraiment de solution de remplacement. Actuellement, pour les gens de la Gaspésie et du Bas-Saint-Laurent, en voiture, il y a un détour d’une dizaine d’heures par le pont Pierre-Laporte à Québec pour se rendre sur la Côte-Nord. La desserte aérienne est temporaire, mais en voiture, on doit faire le détour complet, ce qui équivaut à des pertes de temps, d’argent et des frustrations de toutes sortes! »

Front commun municipal

Des maires de la Côte-Nord et du Bas-Saint-Laurent ont expédié une lettre à ce sujet au ministre de la CAQ, François Bonnardel. Yves Montigny (Baie-Comeau), Alain Thibault (Port-Cartier), Jean-Yves Bouffard (Godbout), Réjean Porlier (Sept-Îles) et Jérôme Landry (Matane) écrivent : « Les problèmes du traversier NCSM F.A. Gauthier, à quelques jours de la période des Fêtes, sont fort déplorables pour les familles et constituent des pertes économiques importantes pour nos villes et régions. Conscients des efforts de la STQ de trouver une solution technique à ces problèmes, nous soussignés souhaitons vous proposer solidairement et conjointement une solution plus durable. Il nous apparaît de plus en plus nécessaire, voire incontournable, que votre ministère et votre gouvernement évaluent l’achat d’un navire supplémentaire afin de pouvoir remplacer tout bateau en difficulté de la STQ en tout temps et 12 mois par année, ce qui garantirait aux usagers un droit au service essentiel, à l’abri de problèmes mécaniques ou techniques… À titre de maires, nous souhaitons que le gouvernement mette en place cette solution rapidement afin de pouvoir garantir un service sans interruption à une grande partie du Québec. »

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Publié le 21 janvier, 2019, dans la publication : Numéro 1 Volume 37

  • Camille Marcoux
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  • Fleuve Sanit-Laurent
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Publié sur le site le 21 janvier 2019

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Rapprochement interculturel

Gastronomie innue à l’honneur

par Éric Cyr

Légende : Le cuisinier Alfred McKenzie et sa complice Annette Vollant présentent leurs créations culinaires inspirées des traditions innues.

Le cuisinier innu Alfred McKenzie était de passage au complexe de Minerai de fer Québec (MFQ) à Fermont, à la fin décembre, répondant à l’invitation de cette dernière, qui emploie un certain nombre d’Innus, dans le cadre d’une exploration de saveurs du terroir de ce peuple autochtone de la taïga et de la toundra. Il était accompagné de sa femme, Annette Vollant, également cuisinière qui l’assistait dans la préparation et la présentation des hors-d’oeuvre.

Voyage gustatif

L’artiste culinaire a offert aux convives, dirigeants, travailleurs et entrepreneurs de cette société plusieurs dégustations de produits alimentaires traditionnels et raffinés. L’activité visant le rapprochement culturel s’est échelonnée sur une période de quatre jours pour permettre à un maximum de participants de profiter de cette expérience gustative. Afin de vivre pleinement cette aventure, un contenu visuel et musical d’artistes innus contribuait à agrémenter l’atmosphère.

Stimuler les papilles

Le passionné cuisine depuis plus d’une trentaine d’années et son approche s’inspire des traditions transmises par ses aïeux et de produits culinaires qui remontent à l’époque où son peuple nomade assurait sa subsistance en s’adonnant à la chasse et à la pêche sur un vaste territoire. Son exploration s’oriente du canard et de l’outarde (bernache) au caribou et au castor jusqu’aux petits fruits des champs ou cueillis dans les bois. Alfred McKenzie fait fumer de la viande de gibier et du poisson à l’aide de branches d’épinette. « J’évite d’utiliser des épices afin de ne pas masquer l’agencement et les saveurs des aliments. J’essaie de conserver le goût d’origine et de perpétuer les recettes de mes ancêtres. » Gourmets et gourmands ont pu faire bonne chère et se sont délectés du menu composé de différents mets préparés par celui qui considère que le garde-manger traditionnel amérindien, c’est la forêt et les lacs.

Leur fille étudie actuellement l’art culinaire en Belgique.

Les Innus étaient jadis nommés Papinachois par les missionnaires jésuites et Montagnais par les explorateurs européens.

 

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Publié le 21 janvier, 2019, dans la publication : Numéro 1 Volume 37

  • Amérindiens
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Publié sur le site le 21 janvier 2019

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Désenclavement de la Côte-Nord

Front commun historique à Ottawa

par Éric Cyr

Source photo : BQ. Légende : Des représentants de la Côte-Nord font valoir leurs revendications sur la colline parlementaire à Ottawa.

À l’instigation du maire de Sept-Îles et sous l’impulsion de la députée de Manicouagan, Marilène Gill, du Bloc québécois, une imposante délégation, composée d’une majorité d’élus incluant des représentants autochtones et des intervenants socio-économiques nord-côtiers, s’est rendue à Ottawa, à la fin novembre, afin de faire valoir sans équivoque l’importance de désenclaver la Côte-Nord et d’obtenir l’appui inconditionnel du gouvernement fédéral en réclamant un financement dans ce dossier qui n’est pas que l’affaire de Québec.

Unité dans la diversité

L’objectif principal de cette alliance stratégique et de ce déplacement d’une quinzaine d’acteurs d’influence du milieu dans la capitale fédérale était de sensibiliser le gouvernement du Canada aux enjeux du transport et à la nécessité d’agir dans ce dossier qui traîne en longueur de promesse en promesse depuis de nombreuses années et de dissiper toute ambiguïté à ce sujet, qui a préséance et qui fait l’unanimité au sein des décideurs politiques et des intervenants de la région. La députée bloquiste, qui participait à la rencontre, était accompagnée notamment du président de la table des préfets de la Côte-Nord et maire de Sept-Îles, Réjean Porlier, du préfet de la MRC de Manicouagan, Marcel Furlong, du préfet de la MRC de Minganie, Luc Noël, du préfet de la MRC de Golfe-du-Saint-Laurent et maire de Gros-Mécatina, Randy Jones, du maire de Baie-Comeau, Yves Montigny, du grand chef de l’Assemblée des Premières Nations du Québec et du Labrador, Ghislain Picard, du chef de Uashat mak Mani-Utenam, Mike McKenzie et du représentant de la communauté de Pakua Shipu, Guy Bellefleur.

Message fort à l’unisson

Le groupe a rencontré le ministre des Transports, l’ancien astronaute Marc Garneau, le ministre de l’Infrastructure et des Collectivités, François-Philippe Champagne et le secrétaire parlementaire de la ministre des Relations Couronne-Autochtones et Affaires du Nord, Marc Miller, ainsi que des représentants du bureau du premier ministre Justin Trudeau, afin de discuter de cette priorité absolue qui met à l’avant-scène le prolongement de la route 138 en Basse-Côte-Nord jusqu’à Blanc-Sablon, attendu depuis plus d’un demi-siècle, afin de relier les localités isolées qui n’ont pas encore accès à un lien terrestre. Ils ont aussi abordé d’autres aspects relatifs à la question et également importants comme le pont sur la rivière Saguenay, la mise à niveau de la route 389 et les infrastructures portuaires.

Une seule voix pour paver la voie

Cette initiative ne s’est pas arrêtée là puisque les membres de la cohorte nord-côtière ont sollicité une rencontre avec le nouveau gouvernement de la CAQ afin de s’assurer que cette priorité soit reconnue par Québec. Ces démarches semblent avoir porté fruit puisque le gouvernement Trudeau a démontré un intérêt relativement à une participation financière pour la continuité et l’achèvement de la 138 et a entamé des discussions avec l’entourage du premier ministre québécois François Legault. Le ministre fédéral des Transports devait se déplacer ce mois-ci sur la Côte-Nord afin de rencontrer les élus et discuter des priorités. Son homologue québécois, le caquiste François Bonnardel, était également de passage dans la région, à la mi-décembre, et pourrait être de retour à Sept-Îles, le 23 janvier, ce qui est de bon augure.

L’union fait la force

Marilène Gill, qui a qualifié ce rassemblement d’historique, considère que les résidents de la Basse-Côte-Nord sont littéralement pris en otage. « On veut illustrer que la Côte-Nord existe et qu’elle veut obtenir tous les moyens pour assurer son développement. Pour la première fois, des ambassadeurs autochtones et allochtones étaient côte à côte pour faire valoir leurs revendications légitimes », a confié la députée du Bloc québécois. Le grand chef Ghislain Picard a souligné la solidarité entre les Innus et les municipalités. L’instigateur de la démarche, Réjean Porlier, a confié être exaspéré d’entendre parler de troisième lien et de deuxième pont pour les grandes agglomérations urbaines alors que la Côte-Nord n’a même pas un réseau routier complété et sécuritaire. Le préfet Randy Jones souhaite qu’Ottawa donne à la Côte-Nord ce qu’il estime lui être justement dû. Le préfet de la MRC de Caniapiscau et maire de Fermont, Martin St-Laurent, n’a pas pu assister à la rencontre, tout en étant solidaire de ses pairs.

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Publié le 21 janvier, 2019, dans la publication : Numéro 1 Volume 37

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