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  • Numéro 14

  • Innus vs Hydro-Québec un  combat en eau trouble

    Réservoir Manicouagan

    Innus vs Hydro-Québec un combat en eau trouble

  • Financement et ententes avec un autre joueur mondial

    Mine du lac Bloom

    Financement et ententes avec un autre joueur mondial

  • Nouveau propriétaire pour la mine Scully

    Tacora Resources

    Nouveau propriétaire pour la mine Scully

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    Danse gumboots

    Des mines d’Afrique du Sud jusqu’à Fermont

  • La solution a un visage

    Décrochage scolaire

    Une 11 septembre, 2017

    La solution a un visage

Numéro 14

Innus vs Hydro-Québec un  combat en eau trouble

Réservoir Manicouagan

Innus vs Hydro-Québec un combat en eau trouble

Financement et ententes avec un autre joueur mondial

Mine du lac Bloom

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Nouveau propriétaire pour la mine Scully

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Des mines d’Afrique du Sud jusqu’à Fermont

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Des mines d’Afrique du Sud jusqu’à Fermont

La solution a un visage

Décrochage scolaire

Une 11 septembre, 2017

La solution a un visage

Réservoir Manicouagan

Innus vs Hydro-Québec un combat en eau trouble

par Éric Cyr

Source photo : Getty Images

Après avoir appris l’existence d’un projet déjà enclenché de rehaussement du réservoir Manicouagan, le Conseil des Innus de Pessamit a déposé une injonction à l’encontre d’Hydro-Québec à ce sujet. Pessamit a remporté une première manche dans sa lutte visant à faire cesser le processus amorcé de remplissage commencé à l’automne 2016 et poursuit son combat visant à rétablir le niveau d’eau en deçà de la limite supérieure du marnage observé depuis 1984 et de le maintenir à l’intérieur de ces limites.

Le Conseil de bande affirme qu’Hydro-Québec ne détient aucune autorisation lui permettant de contaminer les eaux du réservoir de Manic-5 et qu’elle ne possède pas le droit de les polluer. « Hydro-Québec a mis en oeuvre le processus de remplissage sans même nous avertir », affirme le chef des Innus de Pessamit, René Simon. « En agissant de la sorte, la société d’État va provoquer la libération dans l’eau de méthylmercure, une substance nocive connue pour se concentrer à chaque échelon de la chaîne alimentaire, au sommet de laquelle se retrouvent les Pessamiu Ilnut ainsi que la population des environs. Plus encore, l’inondation d’un milieu régénéré depuis quatre décennies provoquera la mort de plusieurs milliers d’hectares de forêts qui bordent le réservoir ainsi que de nombreuses espèces fauniques en plus de détruire les frayères de diverses espèces de poissons et des chalets. » L’inondation des berges nuira aussi aux gros gibiers qui s’alimentent dans ce secteur.

« L’argument d’Hydro-Québec voulant qu’elle a, depuis les années 1960, les droits requis pour rehausser le niveau du réservoir n’est plus valable puisque depuis cette époque, plusieurs lois québécoises et canadiennes interdisent à quiconque d’introduire des substances polluantes dans l’environnement causant un risque pour la santé humaine, et d’y menacer des espèces animales. Selon nous, il est illégal pour Hydro-Québec de s’abroger unilatéralement le droit de polluer. »

Au-dessus de la Cour suprême

Si l’on consulte le Plan stratégique 2016-2020 d’Hydro-Québec, il y apparaît clairement qu’un accroissement de sa puissance de 1140 mW est prévu, afin notamment, d’atteindre ses objectifs d’exportation d’électricité. Le rehaussement du réservoir Manicouagan fait partie de cette planification. L’objectif de Pessamit est d’obtenir, d’ici le printemps 2018, une injonction permanente garantissant le maintien du niveau d’eau à ce qu’il était au début des années 1980, soit environ 350 mètres au lieu du 359,66 mètres que souhaite atteindre la société d’État d’ici 2019. « Le simple fait d’avoir interrompu ce processus de remplissage constitue une bonne nouvelle non seulement pour les Pessamiu Ilnut, mais aussi pour les propriétaires de chalets et bâtiments situés dans le secteur, pour les nombreux utilisateurs du territoire et surtout pour l’environnement », a conclu le chef Simon. Pêches et Océans Canada a aussi ouvert une enquête en vertu de la Loi sur les pêches dans ce dossier.

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Publié le 11 septembre, 2017, dans la publication : Numéro 14 Volume 35

  • Barrage Daniel-Johnson
  • Exportation électricité
  • Hydro-Québec
  • Hydroélectricité
  • Innus
  • Inondation
  • Manic-5
  • Pessamit
  • Réservoir Manicouagan

Publié sur le site le 25 septembre 2017

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Mine du lac Bloom

Financement et ententes avec un autre joueur mondial

par Éric Cyr

La compagnie Champion a annoncé, le 28 août dernier, qu’elle a obtenu un engagement de financement conditionnel de 25 millions de dollars américains (environ 31 M $ canadiens) avec l’entreprise mondiale anglo-suisse de négoce, courtage et d’extraction de matières premières Glencore International AG, un chef de file intégré dans la production et la commercialisation de produits de base, pour la vente non effectuée par l’entremise d’un courtier par voie d’un placement privé d’une débenture (titre d’emprunt émis uniquement garanti par la réputation de l’emprunteur) non garantie subordonnée assortie d’une clause de convention obligatoire.

L’engagement de financement est conclu dans le cadre de la relance de l’exploitation de la mine de fer du lac Bloom de la filiale de Champion, Minerai de fer Québec (MFQ), située à proximité de Fermont. Il est aussi prévu dans cette entente que MFQ et Glencore concluront un accord d’approvisionnement « off-take » dont les modalités sont fixes pour une durée de dix ans. Un contrat d,approvisionnement similaire a déjà été conclu avec la société japonaise Sojitz. Champion annonce donc qu’elle réduit la taille prévue de son placement public déjà annoncé de reçus de souscription d’environ 50 M $ à un maximum de 20 M $ canadiens.

« Nous sommes très heureux d’avoir obtenu les services de mise en marché et le soutien financier de Glencore, une contribution importante à nos efforts pour réunir les capitaux dont nous avons besoin. Cet engagement financier marque une autre étape importante pour la mine du lac Bloom qui nous garantit un réel accès à long terme aux marchés alors que la demande est forte pour le minerai de fer de qualité supérieure de cette mine », a déclaré le président du conseil et chef de la direction de Champion et de MFQ, Michael O’Keeffe.

À propos de Glencore

Glencore est l’une des plus importantes sociétés multinationales de ressources naturelles diversifiées dans le monde et un grand producteur et distributeur de plus de 90 produits de base. Le groupe exploite environ 150 sites miniers et métallurgiques, des actifs de production pétrolière et des installations agricoles. Les activités industrielles et commerciales de Glencore s’appuient sur un réseau mondial qui est actif dans plus de 50 pays.

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Publié le 11 septembre, 2017, dans la publication : Numéro 14 Volume 35

  • Champion
  • Fer
  • Fermont
  • Glencore
  • Industrie minière
  • Mine du lac Bloom
  • Minerai de fer Québec
  • Sojitz

Publié sur le site le 13 septembre 2017

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Tacora Resources

Nouveau propriétaire pour la mine Scully

par Éric Cyr

L’entreprise américaine Tacora Resources a reçu les autorisations gouvernementales nécessaires pour l’achat de la mine Scully située à Wabush. La Cour supérieure du Québec a donné son aval à cette transaction qui s’élève à plus de 2 millions de dollars dont une garantie de 750 000 $ a déjà été versée. Cela devrait redonner un second souffle à cette petite municipalité monoindustrielle du Labrador qui voguait depuis trois ans dans l’incertitude depuis que Cliffs ressources naturelles avait fermé le site minier en 2014, tout comme celui de la mine du lac Bloom en sol québécois qui avait subi le même sort en raison de la hausse des coûts de production.

Le gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador se réjouit de cette annonce qui constitue une étape importante en vue de la réouverture de la mine selon la ministre des Ressources naturelles de cette province, Siobhan Coady, qui entend poursuivre les efforts nécessaires à sa concrétisation. La remise en service de ces infrastructures contribuera à insuffler une plus grande vitalité à la région, mais aussi à la Côte-Nord dont l’économie est intimement liée à celle du Nord québécois et du Labrador. Bien que l’usine de bouletage de Pointe-Noire près de Sept-Îles ne fasse pas partie de cette entente, ses tentacules s’étendent tout de même sur la Côte-Nord puisque la nouvelle entité prévoit produire au départ du concentré de minerai de fer qui devrait être, selon toute logique, transporté par le chemin de fer QNS&L avant d’être expédié sur les marchés internationaux via le nouveau quai multiusager du port de Sept-Îles.

Le phénix renaît de ses cendres

En vertu de la proposition d’achat approuvée par la Cour, la compagnie qui s’est portée acquéreur des installations devra respecter les obligations environnementales dont la défunte Cliffs était responsable avant la transaction selon la loi sur les mines (Mining Act). Tacora envisage d’accumuler le financement nécessaire au redémarrage des installations avant de réaliser une étude de faisabilité dès cette année. Le député provincial libéral du Labrador Ouest, Graham Letto, qui s’est activement impliqué afin de faire progresser le dossier accueille favorablement cette annonce dont la conclusion s’avérera certainement bénéfique à la collectivité qu’il représente. Il s’attend de plus à ce que Tacora présente sous peu un plan d’affaires incluant un échéancier de l’évolution des travaux. Un porte-parole du syndicat des Métallos/Steelworkers de l’Atlantique au Labrador, Euclide Haché, explique que des consultations publiques se sont tenues à Wabush les 14 et 15 août derniers afin de présenter les visées de l’entreprise minière aux représentants syndicaux de la section locale 6285 et aux anciens travailleurs avec qui une convention collective de cinq ans a récemment été signée en juin 2017. « Cette aventure minière audacieuse représente un nouvel essor pour les travailleurs du secteur qui pourront éviter l’exil en profitant de la création d’emplois locaux. Ça signifie de l’ouvrage bien rémunéré qui pourrait s’échelonner sur plusieurs années » confie le syndicaliste acadien qui anticipe un redémarrage des opérations dès l’an prochain.

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Publié le 11 septembre, 2017, dans la publication : Numéro 14 Volume 35

  • Cliffs
  • Fer
  • Industrie minière
  • Labrador
  • mine scully
  • Mines Wabush
  • Tacora Ressources
  • Wabush

Publié sur le site le 13 septembre 2017

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Danse gumboots

Des mines d’Afrique du Sud jusqu’à Fermont

par Éric Cyr

Le formateur de danse gumboots, Just Aïssi, était de passage à l’auditorium de la polyvalente Horizon-Blanc dans le cadre d’une activité de la rentrée scolaire, le 29 août dernier. Le chorégraphe et percussionniste, qui a d’abord été musicien, fait la promotion et expose les plus belles influences de la scène afro à travers le pays grâce à une approche de mentorat et de pédagogie incluant différentes facettes culturelles. Celui-ci a offert une introduction à cette danse rythmée et dynamique nécessitant l’usage de bottes en caoutchouc aux élèves de tous les niveaux de l’école Des Découvertes, de la polyvalente Horizon-Blanc et de la commission scolaire anglophone Eastern Shores.

La voracité minière, le berceau de cette danse

Just Aïssi a expliqué aux élèves attentifs les origines de cette danse africaine percussive accompagnée de chants se pratiquant, selon la tradition, à l’aide de bottarleaux (des bottes de caoutchouc ou gumboots en anglais). Celle-ci tire son origine d’Afrique du Sud au début du XXe siècle à l’époque du régime ségrégationniste systématique des populations de couleur, l’apartheid (qui a récemment été démantelé à la suite de l’élection présidentielle de Nelson Mandela). À l’époque, des compagnies minières exploitent des gisements dans ce pays africain et profitent d’une main-d’œuvre bon marché issue des communautés noires avoisinantes. Le fond des mines est gorgé d’eau et les mineurs noirs travaillent pour la vaste majorité pieds nus et mouillés occasionnant de multiples problèmes de santé. Au lieu d’installer des systèmes de drainage et des pompes pour vider l’eau, ce qui aurait été coûteux, ces entreprises mercantiles, plus soucieuses de leur capital financier que de leurs employés, choisissent plutôt de distribuer des bottes de caoutchouc économiques aux travailleurs pour empêcher les blessures et les maladies. Les conditions de travail déplorables dans les mines étaient très pénibles et c’est dans ce contexte difficile que cette danse fut d’abord un mode de communication non verbal, puisqu’il était interdit aux mineurs de parler entre eux, un code composé essentiellement de claquements entre les différents éléments situés à portée avant de prendre un aspect de contestation revendicatif de la culture populaire grâce aux jeunes qui se sont approprié ce mode d’expression avant de le métamorphoser et de le répandre dans la capitale des affaires Johannesburg et dans d’autres pays du continent africain. « C’est un héritage à partager qui illustre la constance et la joie de ces mineurs face à l’adversité qu’ils surmontaient grâce au rythme. »

Les élèves semblaient à la fois curieux et enthousiastes de pouvoir expérimenter une initiation à cette danse de plus en plus pratiquée au Québec.

Bien que les origines exactes du gumboots demeurent floues et peuvent être inspirées de la culture traditionnelle de certaines tribus africaines, la première prestation aurait eu lieu dans l’enceinte d’une mine et les danseurs d’origine swazie et zouloue auraient été des mineurs. Les compagnies minières coloniales demandaient parfois aux danseurs de présenter des spectacles aux visiteurs et la danse permettait alors aux travailleurs de s’exprimer dans leur langue, inconnue de leurs employeurs, et certains allaient jusqu’à se moquer ouvertement de leurs patrons durant leur performance sans que ceux-ci s’en rendent compte.

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Publié le 11 septembre, 2017, dans la publication : Numéro 14 Volume 35

  • Bottarleaux
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  • Fermont
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  • Polyvalente Horizon-Blanc
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Publié sur le site le 13 septembre 2017

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Décrochage scolaire

La solution a un visage

par Éric Cyr

Légende : Le spécialiste de la réussite scolaire monsieur Égide Royer, est un motivateur hors pair lors de ses conférences.

Pour amorcer la rentrée scolaire du bon pied, le psychologue spécialiste de la réussite scolaire de renommée internationale, le docteur Égide Royer, est venu partager son expertise en éducation. Celui-ci, qui s’est déjà adressé à l’UNESCO à Paris en France, était de passage à Fermont sur l’invitation de la polyvalente Horizon-Blanc, le 1er septembre dernier. Au grand bonheur des différents intervenants, dans le domaine du service de garde et de l’enseignement, qui ont pu apprivoiser certains outils bénéfiques à leur profession dans le cadre de deux séminaires. Le professeur associé en adaptation scolaire à l’Université Laval a aussi présenté en soirée à l’auditorium une conférence destinée plus particulièrement aux parents et à l’ensemble de la communauté.

Son leitmotiv, mieux vaut prévenir que guérir

Ce grand passionné, qui a développé un algorithme unique basé sur l’indice d’Apgar, qui sert à évaluer l’état des bébés à la naissance et qui permet d’estimer les probabilités de réussite d’un enfant à l’école, mise sur la prévention et l’intervention précoce et n’hésite pas à transmettre l’avancement des connaissances pour contrer l’abandon scolaire et à se placer en porte-à-faux avec les décideurs politiques en critiquant les cicatrices que peut laisser l’austérité. « Le monde peut sembler immuable, implacable. Il ne l’est pas. Une petite poussée au bon endroit peut le faire basculer » Égide Royer qui a été éducateur auprès de jeunes lourdement handicapés au début de sa carrière, enseignant au cégep et responsable provincial du dossier des jeunes en difficulté de comportement au ministère de l’Éducation du Québec sait très bien de quoi il parle. Il a l’expérience du terrain, mais entretient aussi la flamme de pouvoir parvenir à changer certaines approches afin de réussir à améliorer la situation et de maximiser les chances de réussite de la relève de demain.

« Nous avons tendance à penser que la cause doit nécessairement avoir la même ampleur que son effet. Or un changement mineur, mais stratégique peut avoir un énorme impact. »

Un de ses séminaires Passionnés de réussite. Comment l’école, les parents et l’ensemble de la communauté peuvent faire une différence encore plus grande dans la vie de plusieurs jeunes, résume bien son approche polyvalente qui cherche à intégrer tous les maillons de la chaîne dans une sorte d’effet levier afin de miser sur des actions précises pour cultiver la persévérance et la réussite. « Les pays les plus efficaces ne laissent pas un jeune prendre du retard », explique celui qui fait le constat que le Québec détient actuellement un des taux de décrochage scolaire les plus élevés dans les pays industrialisés. La sommité mondiale donne aussi des trucs et des astuces aux éducateurs, enseignants et parents pour éviter l’escalade des comportements difficiles et propose une recette pour composer avec ceux-ci qui est de demeurer d’un calme absolu « Cool as a Cucumber » tout expliquant pourquoi un comportement est inadéquat et qu’elles en sont les conséquences. Selon lui il est primordial de bien aiguiller les jeunes. « Cultiver la persévérance permettra de récolter la reconnaissance. » La directrice générale de l’école Des Découvertes et de la polyvalente Horizon-Blanc, Janice Rousseau se réjouit du dynamisme que ce grand passionné de réussite a su transmettre au milieu par sa grande générosité.

Égide Royer a publié six livres. Il a été directeur du Centre de recherche et d’intervention sur la réussite scolaire, fondé le Comité québécois pour les jeunes en difficulté de comportement (CQJDC) et reçu en 2011 le prix reconnaissance de l’Ordre des psychoéducateurs et des psychoéducatrices du Québec pour souligner sa contribution remarquable au rayonnement et à la reconnaissance de la profession et, en 2016, le prix professionnel décerné par l’Ordre des psychologues du Québec à un de ses membres qui s’est distingué par sa contribution remarquable à la profession et sa carrière exceptionnelle.

Twitter/Facebook/Linkedin : un fil en éducation @ egideroyer

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Publié le 11 septembre, 2017, dans la publication : Numéro 14 Volume 35

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  • Éducation
  • Enseignement
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  • Persévérence scolaire
  • Prévention du décrochage
  • Psychologue Égide Royer
  • Réussite scolaire

Publié sur le site le 13 septembre 2017

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