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  • Un pont à Tadoussac ça presse…

    Désenclavement de la Côte-Nord

    Un pont à Tadoussac ça presse…

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    Projet d’exploitation minière

    Une 3 octobre, 2022

    Une consultation mouvementée

Numéro_16

Un pont à Tadoussac ça presse…

Désenclavement de la Côte-Nord

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Projet d’exploitation minière

Une 3 octobre, 2022

Une consultation mouvementée

Désenclavement de la Côte-Nord

Un pont à Tadoussac ça presse…

par Éric Cyr

Source photo : Bonjourquebec.com

Le chef du Parti québécois (PQ), Paul St-Pierre Plamondon, a pris un engagement ferme pour le désenclavement de la Côte-Nord lors de son passage dans cette région durant la campagne électorale. Il a de plus apostrophé le premier ministre sortant, François Legault, au sujet de la construction d’un pont à Tadoussac lors du second débat des chefs orchestré par le diffuseur public Radio-Canada, le 22 septembre dernier, en confrontant le chef de la Coalition avenir Québec (CAQ) avec de solides arguments forçant le caquiste vers un repli défensif.

La candidate du Parti québécois dans Duplessis, Marilou Vanier, a abordé le thème du désenclavement, le 8 septembre, en mettant l’accent sur deux enjeux relatifs aux transports propres à la Côte-Nord en apportant notamment les propositions suivantes : la construction d’un pont à l’embouchure de la rivière Saguenay à Tadoussac et l’appui à la création d’une coopérative de transport aérien pour desservir adéquatement le territoire. « Personne n’a besoin d’attendre la fin d’une étude pour prendre position pour le pont à Tadoussac, sauf la CAQ. La CAQ n’est pas capable de se positionner immédiatement en faveur du projet. Je pose la question au gouvernement : quelles sont les conditions gagnantes pour que vous donniez le feu vert pour le projet du pont ? La CAQ dit on va aller de l’avant si… De mon côté, c’est un oui sans condition. Dès la fin de l’étude en cours, il faut lancer un appel d’offres pour la construction d’un pont. »

Le Parti québécois a officiellement appuyé la construction d’un pont reliant Tadoussac et Baie-Sainte-Catherine lors de la tournée nord-côtière de son chef, Paul St-Pierre Plamondon, qui a été accueilli par le député sortant de René-Lévesque, Martin Ouellet, et l’aspirant député de cette circonscription, Jeff Dufour Tremblay, le 18 septembre. Selon le PQ, qui réitère sa position sans équivoque concernant l’édification d’un pont enjambant la rivière Saguenay à Tadoussac, les avantages d’un tel projet sont manifestes, tant sur le plan économique qu’environnemental, et de nombreuses études ont été menées à ce sujet donc il est plus que temps de passer à l’action pour désenclaver la Côte-Nord. Après une rencontre avec des représentants de la Coalition Union 138, les trois politiciens ne pourraient être plus convaincus de la nécessité d’une telle infrastructure.

Le candidat péquiste dans René-Lévesque, Jeff Dufour Tremblay, confie : « Jamais le projet ne m’a paru aussi nécessaire que maintenant : le manque de personnel et les ennuis mécaniques contraignent la Société des traversiers à modifier sans cesse et inopinément son offre de service, les files d’attente sont de plus en plus longues et l’économie de ma région en souffre. De plus, il ne faut pas négliger l’aspect environnemental, un traversier c’est polluant et celui entre Tadoussac et Baie-Sainte-Catherine, qui effectue des milliers de traversées chaque année, passe à un endroit stratégique pour les bélugas. »

Du côté de la CAQ…

Selon l’agente officielle de la CAQ, Roxanne Rinfret, François Legault aurait un préjugé favorable concernant le pont et a fourni, en réponse au doute soulevé par le PQ sur ses intentions par rapport au pont, un commentaire de celui-ci à ce sujet : « J’ai toujours un préjugé favorable. J’ai de grandes ambitions pour la Côte-Nord. Ça va devenir de plus en plus important d’avoir ce pont-là ». La candidate de ce parti dans Duplessis, Kateri Champagne Jourdain, assure que la CAQ est favorable au projet du pont sur le Saguenay et que la région est une priorité pour elle tout comme pour son homologue dans René-Lévesque, Yves Montigny.

Le porte-parole de la Coalition Union 138, Guillaume Tremblay, a affirmé pour sa part que le premier ministre sortant lui a confié qu’il attendait d’obtenir une étude positive avant d’aller de l’avant ou non avec ce projet. Ce positionnement est selon lui ambigu et les raisons justifiant la construction d’un pont à Tadoussac sont très nombreuses. « La nécessaire construction d’un pont à Tadoussac ne devrait pas dépendre de l’interprétation que le chef de la CAQ fera d’une étude et les critères qu’il définit comme positifs ou pas. »

 

Pont à Tadoussac

Le PQ dénonce, la CAQ dément…

Au diapason de leur chef, Paul St-Pierre Plamondon, les candidats du Parti québécois (PQ) sur la Côte-Nord ont dénoncé, le 23 septembre dernier, la position de la Coalition avenir Québec (CAQ) au sujet de la construction d’un pont à l’embouchure de la rivière Saguenay à Tadoussac qui a été selon eux révélée au grand public lors du débat des chefs organisé par la société d’État Radio-Canada.

Le chef du Parti québécois, Paul St-Pierre Plamondon, explique qu’il existe deux différences majeures entre le projet de 3e lien Québec-Lévis de la CAQ et celui d’un pont entre Tadoussac et Baie-Sainte-Catherine qui est revendiqué par les Nord-Côtiers puisque dans le cas de l’ouvrage d’art qui surplomberait la rivière Saguenay pas moins de 14 études ont été effectuées depuis 1973 et on remet sans cesse sa construction à plus tard sans raison valable.

« L’enjeu n’est certes pas nouveau, mais le dossier n’avance toujours pas. Bien sûr, plusieurs considérations sont obligatoirement à prendre en compte, dont l’opportunité, qui a été démontrée, l’impact sur le milieu marin, la faune et la flore, l’analyse de risques, l’échéancier et l’estimation des coûts, la plus récente évaluation parle d’environ 500 M$. Pour nous, il n’y a plus de si. C’est oui ! » a affirmé le chef péquiste.

Selon les candidats du Parti québécois dans les circonscriptions de René-Lévesque, Jeff Dufour Tremblay, et de Duplessis, Marilou Vanier, la vérité concernant les réelles intentions du chef de la CAQ à ce sujet a été dévoilée. « Pendant le débat des chefs, François Legault a finalement répondu aux nombreuses questions que nous avons posées sur la position de son parti quant au pont à Tadoussac. En avouant à notre chef Paul St-Pierre Plamondon que l’étude sur le pont était effectivement négative, François Legault a admis que pour la CAQ c’est non ! », a déclaré Jeff Dufour Tremblay.

« Au Parti québécois, nous avons inclus dans notre cadre financier les sommes nécessaires à la réalisation d’un pont sur la rivière Saguenay. On ne niaise pas autour du pont. Nous venons de constater un refus de la part de Legault et de la CAQ », a ajouté Marilou Vanier. M. Dufour Tremblay poursuit : « Quand la CAQ nous dit être à l’écoute des régions, je me demande ce que signifie pour eux une région ? Le dossier le plus important pour les Nord-Côtiers, c’est le désenclavement. François Legault est-il au moins au courant ? Le désenclavement, ça passe par un pont à Tadoussac. Nous, au Parti québécois, on dit oui parce que nous sommes le vrai parti des régions ! » a fait valoir le candidat péquiste dans René-Lévesque.

La CAQ a démenti ce qui serait, selon ce parti, une interprétation erronée des paroles prononcées par M. Legault durant le second débat des chefs. Dans des propos qui ont été tenus par la suite par ce dernier afin de préciser sa pensée et qui sont rapportés par une porte-parole de la CAQ, Bénédicte Trottier Lavoie, celui-ci déclare : « J’ai de grandes ambitions pour la Côte-Nord. Il semble y avoir, de plus en plus, un consensus d’avoir ce pont sur la rivière Saguenay pour désenclaver la Côte-Nord. Je n’ai pas changé d’idée concernant le pont. J’ai toujours un préjugé favorable. »

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Publié le 3 octobre, 2022, dans la publication : Numéro_16 Volume_40

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Publié sur le site le 3 octobre 2022

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Schefferville

Blocus d’un chemin de fer

par Éric Cyr

Source photo : Gracieuseté

Un chemin de fer privé de la région scheffervilloise a été bloqué, le 5 septembre dernier et durant plus d’une semaine, par des manifestants innus de la communauté autochtone de Matimekush-Lac John qui accusent leur conseil de corruption, d’extorsion et de fraude. Cette action a été revendiquée par une organisation appelée Comité des droits des premiers peuples qui dénonce notamment les injustices liées à la distribution des fonds à la suite d’une entente de réconciliation conclue par deux conseils innus avec la compagnie minière IOC en 2020.

Le lendemain, le 6 septembre, des contestataires innus de la région de Sept-Îles ayant des revendications communes se sont aussi rassemblés pour les mêmes raisons devant le Conseil des Innus de Uashat mak Mani-Utenam.

Ce blocage, qui a paralysé le chemin de fer de Knob Lake and Timmins (KLT) sur lequel le minerai de fer de la minière Tata Steel est acheminé jusqu’à celui de Quebec North Shore and Labrador (QNS&L) à destination de Sept-Îles, avait pour objectif d’exprimer une exaspération et une insatisfaction de plusieurs citoyens innus envers les deux conseils qui les représentent et aussi de dénoncer une problématique environnementale associée à Tata Steel concernant de la poussière qui se répand dans la communauté autochtone. Des véhicules ont été immobilisés à un passage à niveau afin d’interrompre la circulation ferroviaire. Cette entrave n’a pas interrompu le transport de passagers et de marchandises de Transport ferroviaire Tshiuetin entre Sept-Îles et Schefferville. L’acheminement de minerai sur la voie ferrée a cependant été perturbé occasionnant un ralentissement de la production qui a été temporairement considérablement réduite.

Cet événement a eu des répercussions jusqu’au Saguenay où un autre collectif composé de militants allochtones et autochtones a bloqué par solidarité la voie ferrée de l’entreprise Roberval-Saguenay qui appartient à Rio Tinto IOC à Chicoutimi.

Une rencontre a eu lieu entre les porte-paroles du mouvement et des représentants de l’entreprise, le 11 septembre, et une seconde, le lendemain, afin de discuter des enjeux et de trouver un terrain d’entente. À la suite d’engagements sur le plan environnemental et de la confirmation d’une assurance que le groupe aura un siège au sein du comité santé, sécurité, environnement et communauté de Tata Steel afin de pallier le manque de transparence des conseils, le blocus a finalement été levé, le 16 septembre, et le transport du minerai a pu reprendre son cours normal.

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Publié le 3 octobre, 2022, dans la publication : Numéro_16 Volume_40

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Publié sur le site le 3 octobre 2022

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Monde minier

Congrès MINEx 2022 à Wabush

par Éric Cyr

Le congrès MINEx, organisé par la Chambre de commerce du Labrador Ouest et regroupant des intervenants du monde minier, s’est déroulé à l’hôtel Wabush, à Wabush au Labrador, du 19 au 21 septembre derniers. En parallèle se tenait un salon professionnel rassemblant des exposants œuvrant dans ce domaine au centre récréatif Mike Adam adjacent.

Des décideurs du secteur minier se sont déplacés pour l’occasion afin de présenter leurs produits et services, leurs visions et d’échanger entre eux et avec le public sur leurs aspirations et les technologies du domaine minier dans la région. Les participants ont notamment pu prendre part à des discussions sur l’avenir de l’exploitation minière dans la fosse du Labrador dans le cadre de trois jours de conférences présentant des sujets cruciaux pour la communauté minière de la région. L’événement proposait un dîner, un gala, une table ronde, des conférenciers, un salon professionnel et des kiosques d’exposition reliés à cette sphère d’activités.

Des personnalités politiques se trouvaient sur place : le ministre de l’Industrie, de l’Énergie et de la Technologie de Terre-Neuve-et-Labrador, Andrew Parsons, la députée fédérale du Labrador, Yvonne Jones, le député provincial du Labrador Ouest, Jordan Brown, la mairesse de Labrador City, Belinda Adams, le maire de Wabush, Ron Barron, le grand chef de la nation innue du Labrador, Etienne Rich, et le président du conseil communautaire inuit Nunatukavut et ancien député fédéral libéral, Todd Russell.

Multiples chefs de file

De nombreux dirigeants d’entreprises ont aussi participé: le directeur de l’association minière de Terre-Neuve-et-Labrador (Mining NL) Ed Moriarity, les présidents et chefs de la direction d’IOC, Mike McCann, et de Tacora Resources, Joe Broking, le vice-président et directeur général de High Tide Resources, Steve Roebuck, le directeur général de Nunacor, Andy Turnbull, la directrice générale de NL Hydro, Jennifer Williams, le président et directeur général de Search Minerals, Greg Andrews et le directeur général de Minerai de fer Québec, Marc Beaubien, qui a présenté l’évolution et les grandes orientations de la mine de fer du Lac Bloom à Fermont.

Tisser des liens vers l’avenir

Le président de la Chambre de commerce du Labrador Ouest, Toby Leon, confie : « Le Labrador Ouest est heureux d’être l’hôte de ce congrès d’envergure après une interruption involontaire de quelques années causée par la pandémie. Notre souhait pour cet événement est de construire des liens et des relations plus solides à la suite de ces journées. Ensemble, développons une meilleure compréhension de l’activité minière au Labrador et, ultimement, améliorons la façon dont nous faisons des affaires dans la région. »

Le député provincial néodémocrate du Labrador Ouest, Jordan Brown, est ravi que cette manifestation contribue à mettre l’accent sur une industrie qu’il définit comme un socle des villes minières de sa circonscription et qui a contribué à enrichir les coffres de l’État terre-neuvien de cinquante-cinq à soixante milliards de dollars depuis leur fondation sans compter l’apport de ces localités au gouvernement fédéral.

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Publié le 3 octobre, 2022, dans la publication : Numéro_16 Volume_40

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Publié sur le site le 3 octobre 2022

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Projet d’exploitation minière

Une consultation mouvementée

par Éric Cyr

Source photo : Martine Cotte

Une assemblée publique de consultation concernant le projet d’exploitation du dépôt de surface d’un gisement de quartz situé sur les terres publiques près du lac Tupper à Fermont proposé par la compagnie Saffron H.O.F. s’est tenue à la salle Aurora (ancien centre multifonctionnel), le 22 septembre 2022, devant un public hostile à cette idée.

Étant donné que la Ville de Fermont a adopté, en juin dernier, une résolution unanime en défaveur du projet, puisque le secteur visé par cette éventuelle carrière de pierre concassée est situé à l’intérieur de l’aire de protection de l’unique source d’eau potable alimentant la municipalité, soit le bassin versant du lac Perchard, et qu’un groupe citoyen fermontois en désaccord avec la démarche a été formé afin de s’y opposer, il était prévisible qu’un accueil très froid serait réservé au promoteur du projet, ce qui fut le cas.

Ambiance tendue

Le vice-président à l’exploitation chez Midatlantic Minerals, la compagnie sœur de Saffron H.O.F., qui souhaite exploiter une nouvelle carrière de quartz dans ce périmètre qui pourrait extraire de 25 000 à 35 000 tonnes de quartz blanc de haute qualité et destiné au marché de la construction de comptoirs conçus à partir de ce matériau friable, Steve Daigle, a exposé seul le dossier à la trentaine de citoyens qui se sont déplacés pour venir en prendre connaissance. Sa présentation, sans études pour étoffer le projet, ne semble pas avoir réussi à satisfaire l’auditoire qui lui a fait part de nombreuses observations et interrogations légitimes et dont plusieurs étaient teintées d’une opposition sans équivoque.

Questionnement sans réponse

Plusieurs questions, qui ont été formulées et auxquelles le chef d’entreprise n’a su répondre, sont demeurées en suspens, ce qui n’a fait que renforcer les appréhensions, les craintes et les inquiétudes des représentants du milieu venus prendre part à cet exercice. Parmi les sujets qui n’ont pas obtenu de réponses, il y a l’absence des résultats d’une étude du ministère de l’Environnement et des Ressources naturelles (MERN) au sujet des risques de contamination de l’eau potable que le promoteur lui-même n’a pas pu consulter et qui n’a pas été dévoilée.

À la fin de la présentation, une porte-parole du mouvement citoyen qui s’oppose à la destruction de ce site naturel prisé pour la pratique d’activités de plein air situé à proximité de Fermont, Martine Cotte, a reçu une ovation et des applaudissements après avoir lu un discours enflammé pour signifier le mécontentement et l’opposition de la population locale à cette action purement mercantile qui n’aurait que de minces retombées économiques locales et qui ne créerait environ que cinq emplois saisonniers pour un total de six à huit mois par année.

De plus, comme le nouvel exploitant minier n’installerait pas d’infrastructures, il serait exempté de taxes municipales et les travailleurs, qui proviendraient probablement totalement de l’extérieur, seraient hébergés à Fermont, ce qui contribuerait à alourdir le problème déjà criant de la pénurie de logements.

Le directeur général de la municipalité, Claude Gagné, et la présidente de la section locale 5778 du Syndicat des Métallos, Karine Sénéchal, étaient sur place.

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Publié le 3 octobre, 2022, dans la publication : Numéro_16 Volume_40

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