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  • Du popcorn devant l’Assemblée nationale

    Négociations syndicales

    Du popcorn devant l’Assemblée nationale

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    Assemblée des MRC de la Côte-Nord

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    Transport ferroviaire

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  • Le BAPE recommande une révision du projet

    Expansion du parc à résidus de MFQ

    Une 15 mars, 2021

    Le BAPE recommande une révision du projet

Numéro_05

Du popcorn devant l’Assemblée nationale

Négociations syndicales

Du popcorn devant l’Assemblée nationale

Un Fermontois prend les rênes

Assemblée des MRC de la Côte-Nord

Un Fermontois prend les rênes

Entrave sur le seul lien terrestre vers Schefferville

Transport ferroviaire

Entrave sur le seul lien terrestre vers Schefferville

Le BAPE recommande une révision du projet

Expansion du parc à résidus de MFQ

Une 15 mars, 2021

Le BAPE recommande une révision du projet

Négociations syndicales

Du popcorn devant l’Assemblée nationale

par Éric Cyr

Source photo : Syndicat de l’enseignement des Deux Rives. Légende photo : La mascotte Ed appuie les revendications du personnel enseignant.

Soufflés par la décision de compenser les pertes liées à la vente de popcorn dans les cinémas, des enseignantes et enseignants de la Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ) ont fait un pied de nez au gouvernement Legault en distribuant symboliquement du maïs soufflé devant l’Assemblée nationale à Québec, le 25 février dernier, pour exprimer leur indignation face au manque de ressources en éducation qui devrait être une priorité pour les décideurs politiques.

Rapidité pour le privé

La mascotte Ed était sur place pour l’occasion afin d’accompagner les enseignants dont les négociations piétinent et qui sont sans contrat de travail depuis le 31 mars 2020 et qui s’étonnent qu’en seulement deux jours le gouvernement a trouvé des fonds pour indemniser les propriétaires de cinémas.

Scénario douteux et mauvais film

« On peut sérieusement se questionner sur les priorités d’un gouvernement qui trouve aussi rapidement le financement nécessaire pour régler la saga du popcorn dans les cinémas, mais qui a les poches presque vides quand on parle d’ajouter des services aux élèves en difficulté et d’améliorer les conditions d’apprentissage dans les écoles. Qu’on se le dise, ni les élèves ni les profs ne sont dédommagés pour les manques dans les services disponibles. Les enveloppes sont insuffisantes et le délestage est pratique courante dans nos milieux qui peinent à attirer et à retenir leur monde en raison des conditions de travail difficiles. Il est temps pour le premier ministre François Legault de faire de l’ordre dans ses priorités, car nous refusons de jouer dans ce mauvais film. En éducation, il faut changer de scénario maintenant ! » a fait savoir la présidente de la FSE-CSQ, Josée Scalabrini, qui parle d’un « sentiment d’indignation » de la part des enseignants qui remettent en question la bonne foi du gouvernement dans le renouvellement des conventions collectives.

Le personnel enseignant, en négociation depuis près d’un an, réclame notamment des améliorations significatives dans son quotidien et dans les services aux élèves en difficulté. Il exige aussi un allègement de la tâche, de meilleurs salaires, de meilleures conditions d’entrée dans la profession et moins de précarité.

La Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE) regroupe 34 syndicats représentant plus de 65 000 enseignantes et enseignants de centres de services scolaires et de commissions scolaires de partout au Québec. Elle compte parmi ses membres du personnel enseignant de tous les secteurs : préscolaire, primaire, secondaire, formation professionnelle et formation générale des adultes. Elle est affiliée à la Centrale des syndicats du Québec (CSQ).

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Publié le 15 mars, 2021, dans la publication : Numéro_05 Volume 39

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Publié sur le site le 15 mars 2021

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Assemblée des MRC de la Côte-Nord

Un Fermontois prend les rênes

par Éric Cyr

L’Assemblée des municipalités régionales de comté (MRC) de la Côte-Nord a annoncé, le 25 février 2021, la nomination de M. Martin St-Laurent à titre de nouveau président. M. Martin St-Laurent est également préfet de la MRC de Caniapiscau et maire de la municipalité de Fermont.

Le Fermontois s’assurera dorénavant de la bonne marche de l’Assemblée des MRC de la Côte-Nord, qui compte six municipalités régionales de comté. Il succède au préfet de la MRC du Golfe-du-Saint-Laurent en Basse-Côte-Nord, M. Randy Jones. « Je suis très heureux d’avoir obtenu la confiance de mes pairs et je suis prêt à relever ce nouveau défi particulièrement stimulant. Mon parcours préalable et mon expérience dans certains dossiers me seront utiles afin de mener à bien ces nouvelles responsabilités qui sont complémentaires aux fonctions que j’occupe déjà au sein des instances politiques de ma région. J’entends mettre la main à la pâte de concert avec mes collègues des autres MRC afin de contribuer à faire avancer plusieurs dossiers d’importance pour la Côte-Nord, notamment le désenclavement du territoire, qui constitue la priorité des élus nord-côtiers de tous les paliers gouvernementaux : fédéral, provincial et municipal », confie M. St-Laurent.

Parcours professionnel

Martin St-Laurent a commencé sa carrière politique à Fermont en 2003 en tant que conseiller municipal pour par la suite être élu maire par acclamation quelques années plus tard en 2014. En plus d’accomplir son rôle de maire et de préfet, ce dernier occupe un emploi à temps plein à la mine de fer d’Arcelor Mittal au Mont-Wright en tant que pompier. Demeurant dans la région de la MRC de Caniapiscau depuis son plus jeune âge, il a à cœur le développement local et s’assure du bien-être de ses citoyens.

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Publié le 15 mars, 2021, dans la publication : Numéro_05 Volume 39

  • Assemblée des MRC
  • Basse-Côte-Nord
  • Côte-Nord
  • Désenclavement du territoire
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  • MRC de Caniapiscau
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Publié sur le site le 15 mars 2021

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Transport ferroviaire

Entrave sur le seul lien terrestre vers Schefferville

par Éric Cyr

Source photo : IOC

Le seul lien terrestre reliant Schefferville au reste de la Côte-Nord a été coupé après qu’une locomotive tirant un convoi de wagons de minerai de fer de la minière Rio Tinto IOC en direction de Sept-Îles a déraillé sur le chemin de fer QNS&L au Labrador, dans la nuit du 28 février au 1er mars 2021. Heureusement, cet incident où les wagons ont dévié des rails n’a fait aucun blessé. La circulation ferroviaire a cependant été suspendue durant plusieurs jours afin d’effectuer des réparations puisque ce déraillement a endommagé la voie ferrée.

Un porte-parole de la compagnie Rio Tinto IOC, Simon Letendre, a confirmé qu’un déraillement impliquant neuf wagons d’un train de la minière IOC est survenu du côté du Labrador au mile 175 à proximité de Labrador City. Ce dernier a précisé qu’il n’y a eu aucun blessé et que le périmètre des lieux où l’accident est survenu a été circonscrit afin d’assurer la sécurité des équipes spécialisées acheminées sur place qui ont travaillé d’arrache-pied en s’affairant aux réparations nécessaires à la réouverture de la voie ferrée le plus rapidement possible.

L’entreprise Transport ferroviaire Tshiuetin qui assure le transport de passagers et de marchandises entre Sept-Îles et Schefferville a émis un communiqué à l’intention de sa clientèle expliquant que des circonstances exceptionnelles hors de son contrôle ont forcé la fermeture de la billetterie et l’annulation du départ des voyageurs prévu dans la matinée du 1er mars, ce qui a compliqué la vie à une centaine de personnes qui devaient prendre le train en vue de la semaine de relâche.

En plus de transporter les gens de Schefferville vers leurs chalets en bordure du chemin de fer, le train Tshiuetin doit ramener les personnes qui souhaitent sortir de la forêt et se rendre à Sept-Îles.

Autres déraillements

C’est le deuxième déraillement à survenir en un peu plus d’un an pour la minière IOC sur ce lien ferroviaire puisqu’un autre déraillement d’un seul wagon était aussi survenu en janvier 2020. L’événement durant lequel personne n’avait été blessé avait entraîné un retard et des changements d’horaire pour la compagnie Transport ferroviaire Tshiuetin. En mars 2019, un accident avait fait quatre blessés, dont un employé de la minière qui s’est fait estropier. En plus de la voie ferrée, la TransQuébec-Labrador avait été fermée à la hauteur de la route 500 entre Labrador City et Churchill Falls. En mai 2016, un déraillement causé par un bris d’une portion de rails au millage 37 (km 60) au nord de Sept-Îles avait fait dérailler 14 wagons d’un convoi de marchandises qui transportait notamment des rails destinés à l’entretien de la voie ferrée. En novembre 2014, deux locomotives et des wagons d’un train ont plongé dans la rivière Moisie à la suite d’un glissement de terrain (éboulement) qui avait bloqué les rails surplombant le cours d’eau. La voie ferrée longe à cet endroit une partie très escarpée de cette rivière à saumons. Le conducteur de la locomotive est malheureusement décédé.

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Publié le 15 mars, 2021, dans la publication : Numéro_05 Volume 39

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Publié sur le site le 15 mars 2021

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Expansion du parc à résidus de MFQ

Le BAPE recommande une révision du projet

par Éric Cyr

Source photo : MFQ

Le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) demande à Minerai de fer Québec (MFQ) de revoir le projet d’augmentation de la capacité d’entreposage des résidus miniers et des stériles à la mine de fer du Lac Bloom, située à environ 13 km à l’ouest de Fermont, que la minière a proposé, avant de lui accorder l’autorisation d’aller de l’avant, et recommande que celui-ci ne soit pas autorisé tel que présenté.

L’organisme dont le mandat dans ce dossier a commencé en juin 2020 et qui a recueilli des avis d’experts indépendants, conclut dans son rapport rendu public à la demande du ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques (MELCC) le 5 mars dernier, que MFQ, une filiale de Champion Iron, n’a pas fait la démonstration que les solutions retenues pour la gestion des rejets miniers sont celles qui diminueront leurs impacts sur les milieux humides et hydriques avoisinants. Le BAPE considère que l’échéancier des travaux anticipés donnerait suffisamment de temps au promoteur pour qu’il entame des études additionnelles nécessaires à la révision des solutions de remplacement. Le vice-président aux relations avec les investisseurs chez Champion Iron, Michael Marcotte, a expliqué que le projet, qui respecte en tout point le cadre légal et réglementaire, a fait l’objet d’un examen approfondi et minutieux de 17 experts du domaine qui ont analysé plus d’une douzaine de scénarios et que le projet a été développé en se basant sur la meilleure solution globale du point de vue des aspects environnementaux, sociaux et techniques. De plus, MFQ s’est engagé à mettre en œuvre plus de 120 mesures d’atténuation permettant de minimiser les impacts.

Exigences strictes

Le document de la commission d’enquête, qui contient une description détaillée du projet, les opinions et les préoccupations des participants, l’analyse de la commission ainsi que l’ensemble des constats et des avis qu’elle en dégage, dévoile entre autres que dans son souci de protéger l’environnement MFQ s’est astreint à des normes parfois trop sévères et que ces critères rigoureux ont eu pour conséquence d’écarter d’autres options qui auraient pu être considérées pour disposer du terril (entassement des déblais issus de l’extraction).

Apport économique majeur

Le projet recueille des appuis importants en raison des retombées économiques d’envergure qu’il entraînerait à Fermont et sur la Côte-Nord et de nombreux nouveaux emplois qu’il créerait. Plusieurs acteurs du milieu se sont prononcés en faveur de la démarche notamment la Ville de Fermont et la MRC de Caniapiscau en plus du Conseil de bande Innu Takuaikan Uashat mak Mani-utenam qui a donné son consentement au nom des communautés autochtones innues de Uashat et de Maliotenam à proximité de Sept-Îles.

Réticences

Les détracteurs, qui s’opposent au projet sous sa forme actuelle accueillent favorablement les conclusions du BAPE selon lesquelles la minière MFQ doit refaire ses devoirs et proposer des solutions de rechange afin d’éviter la destruction de cours d’eau, sont principalement composés de groupes environnementaux tels qu’Eau Secours, Équiterre, Fondation Rivières, Nature Québec et Québec meilleure mine. Un regroupement de résidents et de villégiateurs du lac Daigle a aussi émis des réserves et fait circuler une pétition.

Le travail d’analyse suit son cours au cabinet et l’ultime décision d’accepter le projet ou de renvoyer MFQ à la planche à dessin revient au ministre du MELCC, Benoit Charette, qui devrait se prononcer à ce sujet à l’automne 2021.  Pour le dossier complet, consulter le site internet du BAPE au : https://www.bape.gouv.qc.ca/fr/dossiers/projet-augment-entrepos-residus-steriles-mine-lac-bloom/ et télécharger le document « Consulter le rapport du BAPE 361 ».

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Publié le 15 mars, 2021, dans la publication : Numéro_05 Volume 39

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Publié sur le site le 15 mars 2021

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