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    Nouvelles mesures à l’aéroport de Wabush et à Fermont

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    Une 10 octobre, 2016

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L’énergie verte ça dépasse les bornes

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Expansion envisagée par Polycor

Mine de quartz du site de Fermont

Une 23 janvier, 2017

Expansion envisagée par Polycor

Expansion anticipée pour le quartier industriel

Économie fermontoise

Une 10 octobre, 2016

Expansion anticipée pour le quartier industriel

Déplacements interfrontaliers

Nouvelles mesures à l’aéroport de Wabush et à Fermont

par Éric Cyr

Des modifications aux mesures spéciales liées à la pandémie de Covid-19 qui s’appliquent aux personnes qui entrent à Terre-Neuve-et-Labrador ont récemment été apportées pour l’aéroport régional de Wabush au Labrador en vertu de la loi sur la protection et la promotion de la santé publique de cette province.

À moins d’être exemptée en vertu d’une ordonnance sur les mesures spéciales, toute personne arrivant à Terre-Neuve-et-Labrador par voie aérienne, maritime ou terrestre, y compris celles en provenance des provinces de l’Atlantique, depuis le 25 novembre dernier, est tenue de s’isoler pendant 14 jours à compter de son arrivée sur le territoire à l’exception des citoyens résidant dans les collectivités situées le long de la frontière avec le Labrador et le Québec qui ne présentent pas de symptômes associés à la Covid-19 et qui n’ont pas quitté leur lieu de domicile depuis au moins deux semaines (Labrador City, Wabush, Fermont, la région du détroit du Labrador et Blanc-Sablon) avec une preuve de résidence.

Les voyageurs sont invités à consulter le site internet suivant : https://www.gov.nl.ca/covid-19/fr/ressources/ afin d’en connaître plus sur les exigences et les modalités relatives à un déplacement au Labrador. Il existe un formulaire électronique d’autodéclaration de voyage qu’il est possible de remplir et de soumettre à l’avance en ligne afin de faciliter les choses à l’arrivée par voie aérienne à l’aéroport de Wabush en cliquant sur le lien « formulaire d’autodéclaration  » puis sur « commencer maintenant ». Ce formulaire peut être rempli par voie électronique pour tous les points d’entrée, à l’exception de celui situé à Fermont, à la frontière entre la région du Labrador Ouest et le Québec. Un numéro de confirmation sera émis et vous pourrez fournir celui-ci aux agents de sécurité du terminal aérien afin d’accélérer le processus. Les passagers de vols n’ayant pas au préalable rempli le formulaire électronique devront obligatoirement remplir le format papier immédiatement après leur atterrissage à Wabush en suivant les directives des gardiens de sécurité de l’aéroport sous peine d’amende ou d’intervention policière.

Bulle nordique

Les mesures d’exception terrestres relatives aux résidents permanents de la bulle nordique (Labrador City, Wabush, Fermont) demeurent les mêmes soit de fournir une preuve de résidence afin de traverser la frontière vers le Labrador Ouest, de ne pas avoir reçu un diagnostic positif à la Covid-19, de ne pas présenter de symptômes associés au coronavirus et ne pas avoir voyagé depuis au moins deux semaines à l’extérieur de la région immédiate. De plus, les citoyens de Fermont ne peuvent dépasser les limites du Labrador Ouest.

Directives pour les entrées dans la MRC de Caniapiscau

Pour les voyageurs se rendant à Fermont ou à Schefferville, notamment ceux ayant atterri à Wabush, ceux-ci devront, en plus de respecter les exigences en vigueur au Labrador, se conformer aux directives de la Santé publique du Québec au moment de leur arrivée à destination en sol québécois. Afin de protéger la population, le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de la Côte-Nord a bonifié son programme de gestion des entrées, le 6 décembre dernier, afin de réduire le risque d’introduction de la Covid-19 localement. Ainsi, toute personne, résident, visiteur ou travailleur, en provenance des régions des niveaux d’alerte rouge ou orange du Québec, des provinces ou territoires canadiens ou d’autres pays, est invitée à suivre la recommandation suivante : appeler au 1 877 644-4545 pour faire un dépistage à son arrivée par voie aérienne ou terrestre à Fermont et passer un autre test après une période de confinement préventif (isolement) de sept jours.

Des mesures particulières sont en place pour les travailleurs essentiels, notamment de l’industrie minière, en provenance de l’extérieur de la région et dont les modalités leur sont transmises par leur employeur qui doit impérativement veiller à leur stricte application.

Terre-Neuve-et-Labrador est récemment temporairement sortie de la bulle de l’Atlantique.

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Publié le 18 janvier, 2021, dans la publication : Numéro_01 Volume 39

  • Aéroport de Wabush
  • Bulle nordique
  • Covid-19
  • Mesures spéciales
  • MRC Caniapiscau
  • Pandémie
  • Pévention propagation coronavirus
  • Santé publique

Publié sur le site le 18 janvier 2021

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Véhicules électriques

L’énergie verte ça dépasse les bornes

par Éric Cyr

Depuis décembre dernier, Fermont est passé à l’électromobilité puisque l’Hôtel Fermont offre une borne de recharge aux conducteurs de véhicules électriques et hybrides rechargables. Les utilisateurs de ce type de transport alternatif peuvent maintenant faire une recharge à la nouvelle borne située dans le stationnement du centre commercial et de l’Hôtel Fermont, au 299 rue Le Carrefour. Cette borne s’ajoute aux 770 autres bornes de recharge du Circuit électrique, le principal réseau de bornes publiques du Québec.

« Nous sommes très heureux d’offrir un service de recharge pour les conducteurs de véhicules électriques. Nous espérons que cette initiative saura intéresser les gens aux avantages de rouler à l’électricité », a mentionné la propriétaire de l’Hôtel Fermont, Leslie Gervais. Selon un conseiller stratégique Relations avec les médias à la Direction des Affaires publiques et gouvernementales d’Hydro-Québec à Montréal, Louis-Olivier Batty, la borne de recharge locale peut alimenter les batteries de tout type de véhicule rechargeable/branchable électrique et hybride.

La conseillère – Communications et collectivités Relations avec le milieu Côte-Nord à la Direction des Affaires régionales et collectivités de la société d’État à Baie-Comeau, Julie Dubé, explique que d’autres bornes ont déjà été implantées dans la région dont une à deux pistolets (double), depuis l’été 2016, qui est située dans le stationnement du Centre d’interprétation des visiteurs à la centrale hydroélectrique de Manic-5 et visible de la route nationale 389. D’autres bornes sont localisées à la rôtisserie St-Hubert Express à Baie-Comeau, depuis janvier 2016, et à la Maison du tourisme à Tadoussac, depuis l’automne 2015. Ces dispositifs tout comme celui installé à Fermont font partie du modèle standard de 240 volts. Selon Mme Dubé, la moyenne est de 2 h 30 pour recharger une batterie avec ce type d’appareil, mais elle peut s’étirer jusqu’à 3 ou 4 heures selon M. Batty qui explique qu’il existe aussi des modèles rapides de 400 volts qui pourraient être mis en service en 2017 sur la Côte-Nord, à Sept-Îles, Port-Cartier, Baie-Comeau et Forestville. Il existe deux types de véhicules électriques rechargeables, tout électrique et hybride rechargeable.

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Publié le 23 janvier, 2017, dans la publication : Numéro 1 Volume 35

  • Borne de recharge publiques
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  • Électromobilité
  • Énergie durable
  • Énergie renouvelable
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  • MRC Caniapiscau
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Publié sur le site le 23 janvier 2017

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Mine de quartz du site de Fermont

Expansion envisagée par Polycor

par Éric Cyr

Vue aérienne de la carrière de quartz de Polycor et de ses équipements miniers sur son site d’exploitation à proximité de Fermont.

L’achat des Carrières boréales de quartz de la compagnie Blackburn Quartz par le producteur québécois de pierres naturelles Polycor en 2015 marque son entrée dans le marché du quartz, une variété plus ou moins pure de silice cristallisée. L’entreprise, dont le siège social est situé à Québec, anticipe un énorme potentiel de développement et d’accroissement de ses activités et souhaite exploiter à l’année ses installations de Fermont en raccordant l’électricité à sa carrière dont la production, parmi les plus convoitées au monde, est destinée d’abord à la fabrication de dessus de comptoirs de cuisine et ensuite à l’industrie du ferrosilicium et du silicium libre (silicium métal).

En constante évolution

En 2015, Polycor investit 300 000 $ pour explorer le gisement « la montagne » qui dispose d’un potentiel de 4,7 millions de tonnes métriques additionnels à la carrière déjà existante sur le site de la route Mills situé à 11 km de Fermont près de la frontière du Labrador. L’année suivante en 2016, Polycor vise à augmenter sa capacité de production annuelle et de transport (totalement par camion) par des investissements de 1,5 millions de dollars destinés à moderniser les équipements sur place notamment par l’acquisition d’un trieur optique, d’équipements de concassage secondaire ainsi que d’un système d’ensachage. Cette même année, Polycor absorbe Quartz Industrie à Saint-Pierre-de-Broughton près de Thetford Mines, qui emploie sept personnes afin d’assurer la deuxième étape de transformation en plus de sécuriser un autre client pour l’approvisionnement du quartz fermontois, DuPont. Polycor assimile aussi, en 2016, deux rivaux américains, Swenson Granite et Rock of Ages devenant ainsi le plus important groupe de production de granite et de marbre en Amérique du Nord et l’un des trois plus importants à l’échelle mondiale.

Vision d’avenir

La carrière de Fermont produit actuellement en moyenne 20 000 tonnes de quartz annuellement à l’aide de 10 travailleurs-résidents sur une période limitée de 4 à 6 mois et le procédé d’extraction fonctionne grâce à de la machinerie alimentée au pétrole et deux génératrices au diésel d’où la nécessité de procéder à l’électrification de la carrière, ce qui permettrait de considérablement augmenter la capacité de production (40 000 tonnes anticipées pour 2017) et de réduire les coûts d’opération tout en favorisant l’exploitation de la ressource à l’année et de stimuler l’embauche de plus d’employés locaux. Le raccordement électrique s’avère un outil primordial et essentiel à toute expansion future. Selon l’ingénieur Jonathan Cantin qui travaille sur place :

« L’emploi d’une génératrice n’est pas idéal pour de la machinerie avancée telle que le trieur optique et le système d’ensachage. Les flux d’énergie causent des problèmes. Il faut envisager un raccordement. L’électricité est l’outil qui permettra à l’entreprise de grossir. »

Polycor a une vision à long terme pour sa carrière de Fermont et souhaite concrétiser un projet de recouvrement de la zone de production afin de pouvoir produire 12 mois par année et ne pas être dépendant des intempéries, ce qui nécessiterait des investissements d’un million de dollars pour la construction d’un bâtiment munis d’un système de dépoussiérage recouvrant les opérations. Un projet subséquent de développement de la montagne et d’une 3e carrière engendrerait des retombées locales et le nombre d’employés pourrait s’accroître de façon significative en passant de 12 à 106 en 2025.

Plan Nord et cie

Le préfet de la MRC de Caniapiscau et maire de Fermont, Martin St-Laurent, utilise ses contacts politiques à bon escient. Ce dernier a récemment approché les responsables de la Société du Plan Nord, notamment lors de sa participation au forum de l’Arctic Circle à Québec en décembre dernier, et a fait appel à différentes instances pertinentes pour tenter de faire progresser le dossier de ce projet d’expansion minière, qui constitue un atout important pour le développement de la région et dont bénéficiera la communauté fermontoise.

Créée en 1987 à Québec, Polycor distribue des produits de pierre naturelle en Amérique du Nord, en Asie et en Europe. La compagnie transforme le granite, le marbre, le calcaire et le quartz pour en faire des dalles, des tuiles, des mosaïques, des comptoirs, des monuments funéraires et des articles d’aménagement paysager. Employant désormais plus de 800 employés, elle possède 35 carrières et 12 usines au Canada et aux États-Unis.

 

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Publié le 23 janvier, 2017, dans la publication : Numéro 1 Volume 35

  • Blackburn Quartz
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Publié sur le site le 23 janvier 2017

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Économie fermontoise

Expansion anticipée pour le quartier industriel

par Éric Cyr

À première vue, les observateurs pourraient penser que le parc industriel de Fermont stagne depuis plusieurs années et que rien ne semble bouger depuis sa construction au milieu des années 1970 malgré un regain d’activité lors de la période du dernier boom minier. Une poignée d’entreprises s’y sont établies lors de son ouverture et quelques autres durant la relance, coïncidant avec la flambée du prix des métaux, mais plusieurs des nouveaux ajouts ont plié bagage par la suite et ne se sont pas implantés à long terme.

Au-delà des apparences, la municipalité régionale de comté (MRC) de Caniapiscau a cependant une stratégie, n’a pas baissé les bras et travaille de concert avec la Ville de Fermont à faire avancer ce dossier depuis plusieurs années en misant sur l’acquisition de nouveaux terrains dans le cadre d’une revitalisation et d’une expansion de ce secteur d’activité économique.

Le boom minier a profité au Labrador

C’est un tout autre scénario au Labrador voisin qui a une longueur d’avance et où les parcs industriels fourmillaient d’activités durant le boom minier. Ils affichent complet malgré le récent ralentissement économique et aucun espace vacant n’est disponible. Plusieurs commerces se sont établis dans des zones résidentielles à cause du manque d’espace et ce phénomène d’étalement urbain a motivé un projet de création d’un troisième quartier industriel qui serait situé non loin du nouvel hôpital de Labrador City et dont le démarrage attend pour l’instant une remontée significative des prix du fer. Certains dirigeants d’entreprises ayant pignon sur rue dans le parc industriel fermontois sont moins enthousiastes par rapport au boom minier alors qu’ils ont vu leur compte de taxes commerciales tripler durant cette période.

Approche différent

Pourtant les villes de Labrador City et de Wabush presqu’exclusivement mono-industrielles doivent composer avec les mêmes réalités que Fermont à la différence qu’elles sont situées dans une autre province où le principal employeur, la minière IOC, une filiale de Rio Tinto oblige les entreprises et fournisseurs qui souhaitent faire affaire avec la compagnie à avoir une succursale ou un siège social au Labrador, ce qui a grandement contribué à l’expansion des commerces et à la vitalité économique de l’ouest du Labrador.

Aucune obligation à Fermont

La minière ArcelorMittal située à Fermont au Québec bénéficie également depuis plusieurs années de l’implantation de nombreuses entreprises spécialisées au Labrador, car elle fait affaire avec plusieurs de celles-ci, mais n’a jamais considéré obliger ses fournisseurs à avoir une succursale en sol québécois, ce qui pourrait avoir une incidence grandement bénéfique sur la création d’emplois et le développement de l’économie locale. Les retombées profiteraient également à la Ville de Fermont. La défunte Cliffs qui était propriétaire de la mine du lac Bloom jouait également des deux côtés de la frontière et on verra si le récent achat de ses actifs par la société Minerai de fer Québec dont le gouvernement du Québec est l’un des principaux actionnaires aura un impact sur l’activité du parc industriel fermontois lors du redémarrage anticipé de la minière actuellement en veilleuse.

Évolution du dossier

Le défunt Centre local de développement (CLD) de Caniapiscau auquel le gouvernement libéral de Philippe Couillard a donné le coup de grâce avait réalisé un sondage auprès des entreprises intéressées à s’implanter dans le quartier économique fermontois il y a quelques années et ce sondage a été repris par la MRC afin d’étoffer sa vision de développement de la zone industrielle. À l’époque, la Ville de Fermont souhaite développer un parc industriel plus élargi afin de combler les besoins criants et répondre aux nombreuses demandes d’entreprises, mais aucun terrain industriel n’est disponible à la suite du boom économique majeur de 2010 et du déploiement du Plan Nord. Une étude est alors réalisée par la firme Roche en 2011 et un plan de développement est présenté par le directeur général, secrétaire trésorier de la MRC et directeur de l’urbanisme de la Ville de Fermont, Jimmy Morneau, dans le cadre du programme relatif à une cession à titre gratuit des terres du domaine de l’État en faveur des municipalités nordiques. Plus tard en 2013, un mémoire sur le projet de loi numéro 43 sur les mines expose la position de la Ville dans le dossier du parc industriel :

« La réalisation des projets des deux minières (du côté québécois) fait en sorte que leur service d’entretien doit être effectué par des fournisseurs qui désirent s’établir près de Fermont et des installations des minières, et ce, normalement, dans un parc industriel. L’aménagement de 36 terrains représente un coût estimé de construction et d’aménagement d’au moins 15 millions $. Une liste de 20 entreprises est désireuse d’acquérir un terrain dans ce futur parc industriel. »

La Ville poursuit : « Malheureusement, faute d’argent, autant des titulaires de droit minier que du gouvernement, et considérant sa capacité financière, la Ville de Fermont n’a pas pu réaliser jusqu’à présent ce projet, de telle sorte que plusieurs de ces entreprises sont allées s’installer à Labrador City ou Wabush, ce qui signifie une perte importante de revenus pour la Ville. »

Vision d’avenir

M. Morneau est enthousiaste et se dit prêt à relever le défi. Selon ce dernier, la MRC et la Ville de Fermont ont entrepris des démarches afin d’acquérir plusieurs terres du ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles du Québec (MERN) afin de réaliser ce projet et le dossier progresse rapidement. « Des requêtes ont été déposées et  on attend une confirmation incessamment pour l’obtention de terrains stratégiques avant le dépôt de demandes de financement par le biais de divers programmes et du Plan Nord. » Ce dernier confie que l’expansion est prévue dans le secteur du nouveau tracé de la route nationale 389 de Fire-Lake vers Fermont. Les nouvelles infrastructures seraient raccordées au service d’aqueduc et d’égout sur la rue Bertrand. « On s’attend à ce que les terrains soient cédés à la municipalité d’ici peu. »

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Publié le 10 octobre, 2016, dans la publication : Numéro 17 Volume 34

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Publié sur le site le 11 octobre 2016

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