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    Deux irréductibles Québécois à Fermont

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La députée Marilène Gill souligne l’événement

25e anniversaire du référendum de 1995

La députée Marilène Gill souligne l’événement

Parti québécois

Deux irréductibles Québécois à Fermont

par Éric Cyr

Légende : Sur la photo, les deux députés du Parti québécois s’adressent aux journalistes locaux.

Deux figures de proue du Parti québécois (PQ) proches du chef de cette formation politique, Paul St-Pierre Plamondon, les députés Pascal Bérubé, de la circonscription de Matane-Matapédia (à droite), et Joël Arseneau, de celle des Îles-de-la-Madeleine (à gauche), étaient de passage à Fermont pour la première fois afin d’appuyer une campagne de financement de l’organisme caritatif Cancer Fermont, du 26 au 28 avril 2024. Les deux élus à l’Assemblée nationale du Québec en ont profité pour prendre part à diverses activités en lien avec l’œuvre philanthropique et rencontrer des citoyens qui les ont aidés à mieux connaître les dossiers prioritaires de la région.

Dans le cadre d’un point de presse au bureau d’accueil touristique, le 27 avril, les collègues souverainistes ont confié être heureux d’avoir l’occasion de découvrir la localité lors de cette visite qu’ils ont planifiée de concert.

« On veut revenir en force. Le Parti québécois a un lien historique particulier avec la Côte-Nord depuis la première fois qu’il a accédé au pouvoir avec René Lévesque devenu premier ministre en 1976 seulement deux ans après la fondation de la municipalité. Le député Denis Perron avait alors été élu pour représenter la circonscription de Duplessis dont Fermont fait partie. Les électeurs sont demeurés fidèles au PQ durant des décennies jusqu’à la dernière élection », confie Pascal Bérubé qui, convaincu de la nécessité du désenclavement de la Côte-Nord et après avoir remarqué la déception relative à la programmation routière, a promis de remettre en cadeau un gobelet à café à l’effigie de la route nationale 389 créé par une entreprise locale et affichant les différentes bornes kilométriques où se retrouvent les téléphones d’urgence, à la ministre des Transports, Geneviève Guilbault. « Évidemment, nous avons répondu à l’invitation de Cancer Fermont, mais aussi afin de venir rencontrer les gens, rétablir le contact avec les Québécois et les régions en constatant leurs besoins et leurs réalités sur le terrain comme la problématique des transports aérien et routier qui sévit dans la région. Je suis ravi de l’accueil chaleureux des Fermontois. C’est plus qu’une immersion dans le milieu, je m’y sens comme chez moi !

J’ai croisé plusieurs personnes de mon coin de pays qui sont venues travailler ici. On va porter un certain nombre de demandes formulées par des organisations et des citoyens à l’Assemblée nationale », poursuit M. Bérubé.

Impressionné par le gigantisme des installations minières à la suite d’une visite de la mine de fer du Mont-Wright, Joël Arseneau explique pour sa part l’importance de l’immense région : « C’est beaucoup plus qu’une région-ressource, c’est un territoire habité. On doit beaucoup à Fermont et à la Côte-Nord. La moindre des choses pour exprimer notre gratitude serait de donner aux instances plus éloignées les moyens de développer leur potentiel par un juste retour en termes de redevances et une décentralisation des décisions les concernant. Nous avons la ferme intention de rétablir un ministère des régions et un Plan québécois des infrastructures (PQI) adapté en conséquence », exprime le député madelinot qui insiste sur l’importance de se doter d’un véritable projet de société et de le mener à terme. « On remet sur les rails notre volonté de créer une nation souveraine, un pays du Québec », conclut avec conviction le politicien péquiste.

Durant leur séjour, les deux députés indépendantistes ont notamment eu l’occasion de visiter la ville, de rencontrer des intervenantes du CPE Le Mur-Mûr, de participer au défi Joan se paie ta tête et au souper-bénéfice de crabe au profit de Cancer Fermont.

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Publié le 14 mai, 2024, dans la publication : Numéro_09 Volume_42

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Publié sur le site le 15 mai 2024

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Expédition des Premières Nations

Un accueil chaleureux et fraternel

par Éric Cyr

Source photo : Audrey McMahon

Les représentants de l’expédition des Premières Nations ont chaleureusement été accueillis par des citoyens visiblement heureux de venir à leur rencontre lors de leur passage dans la région de la MRC de Caniapiscau, du 1er au 3 mars 2023, d’abord dans les communautés innue de Matimekush-Lac John et naskapie de Kawawachikamach dans le secteur de Schefferville, puis à Fermont.

La soixantaine de participants de la délégation de motoneigistes de la grande expédition du feu sacré, composée de membres de près de la moitié des 11 nations autochtones distinctes habitant au Québec, incluant le conjoint de feue Joyce Echaquan, Carol Dubé de Manawan, neuf femmes et quatre allochtones québécois, aura parcouru, du 16 février au 4 mars, une distance de 4275 kilomètres jusqu’à sa destination finale, la communauté innue de Uashat mak Mani-utenam (Sept-Îles).

Comment résumer cette démarche sinon en la qualifiant de belle aventure vers la réconciliation entre peuples ? Comment décrire ces échanges amicaux sinon en les désignant de rapprochement enrichissant, harmonieux et respectueux entre nations ? Que retenir sinon que les premiers occupants du territoire sont là depuis des temps immémoriaux et que malgré une histoire malheureusement trop souvent tragique, leurs racines sont bien ancrées dans le sol de leurs ancêtres ? Ils sont toujours là et font partie à part entière du lieu qu’ils habitent dans leur cœur, dans leur mémoire et dans leur vie.

Les communautés de Chisasibi, Kawawachikamach, Lac-Simon, Manawan, Matimekush-Lac John, Nutashkuan, Opitciwan, Oujé-Bougoumou, Pikogan, Uashat mak Mani-utenam, Unamen Shipu et Wemotaci existent bel et bien et ne se situent pas dans un monde parallèle. Les Abénakis, Anishnabe (Algonquins), Atikamekw, Cris, Hurons-Wendat, Innus (Montagnais), Inuits, Malécites, Micmacs, Mohawks et Naskapis sont bien vivants et souhaitent une réconciliation, un rapprochement avec les autres peuples, les Acadiens, les Québécois, les nouveaux arrivants…

Le moment n’est-il pas venu de mieux se connaître et de se découvrir ? Quelle belle occasion de tisser des liens d’amitié avec des représentants de divers peuples autochtones en se réchauffant à même le feu sacré en face d’un tipi érigé pour l’occasion à Fermont par des Innus de Uashat. Les astres semblent alignés sous un ciel d’aurores boréales. Nous ne réécrirons pas l’histoire et il n’est pas question de l’effacer, mais nous pouvons contribuer à dessiner l’avenir sur la mère nourricière, la Terre, qui est notre maison commune.

Innu signifie « être humain » dans la langue innue. Nous avons déjà un lieu commun, le territoire que nous habitons, voici maintenant un lien qui nous unit « mamou ». Ensemble, il est temps de créer un pont entre nous. Les Premières Nations ne sont pas folkloriques, mais bien vivantes avec leurs langues, leurs cultures et leurs traditions. L’influence des Amérindiens et des Inuits ne se limite pas au canot d’écorce, aux traîneaux à chiens, à la crosse (l’ancêtre du hockey sur glace), aux épis de maïs sucré, à la raquette, au sirop d’érable et au toboggan.

Le préfet de la MRC de Caniapiscau et maire de Fermont, Martin St-Laurent, qui a accompagné le convoi en motoneige lors de son départ de Fermont jusqu’à un cimetière innu situé au lac Ashuanipi à 140 km de sa localité, était enchanté d’accueillir ces ambassadeurs. Il considère que c’est un grand honneur d’avoir reçu cette expédition inspirante qu’il a décrite lors de son allocution comme une « aventure remarquable qui vise à promouvoir la réconciliation communautaire, culturelle, sociale et spirituelle entre les peuples autochtones et allochtones. Nous avons été honorés de faire partie de cette initiative qui porte un message de paix, d’harmonie et de guérison à travers les communautés. »

Réconciliation entre peuples

Une grande aventure spirituelle à motoneige

L’Expédition des Premières Nations 2023 est un événement historique rassembleur d’envergure imaginé et créé par des hommes et des femmes autochtones du Québec afin de montrer qu’ils ont été très touchés par les récents événements que vivent leurs peuples à l’échelle du pays. L’organisation de cette grande aventure à motoneige avait également pour objectif d’amorcer une campagne publique de sensibilisation au sujet du sort qui leur est réservé. La démarche visait aussi à rendre hommage aux enfants des pensionnats « indiens » et aux femmes autochtones assassinées ou disparues ainsi qu’à la mémoire de Joyce Echaquan.

Ce trajet à motoneige hors-piste totalisant un parcours enneigé ardu de plus de 4200 kilomètres a regroupé près de 60 participants issus des nations anishnabe (algonquine), atikamekw, crie, innue, naskapie et québécoise. Les motoneigistes ont sillonné l’immense parcours avec l’intention de mettre en commun les connaissances culturelles des différents occupants du territoire à travers un défi de taille et un objectif conjoint où des valeurs telles que l’amour, la bravoure, le courage, l’entraide, la force, l’harmonie, la persévérance et le respect ont été de mise. De plus, un message d’espoir pour la jeunesse ainsi que de réconciliation et de paix, dans le grand respect de mère Terre, porté par les femmes durant le périple aura rapproché les différents peuples du Québec autour du feu sacré en les incitant à trouver des solutions afin de les guider vers une réconciliation durable.

Selon l’instigateur de cette épopée nordique, Christian Flamand, dont la motoneige a éprouvé des difficultés mécaniques avant de prendre feu alors qu’il était en route vers le village cri de Waskaganish à l’embouchure de la rivière Rupert (Baie-James), cette portion sur la banquise de la baie James jusqu’à Chisasibi a été la plus périlleuse. La plupart des participants du cortège nordique ont dû contourner les rochers, la glace, les détroits et les tourbillons de la forêt en plus de devoir composer avec de nombreux bris mécaniques dans ce secteur. Les bosses incessantes ont même eu raison de plusieurs attelages en acier de traîneaux tirés par les motoneiges.

L’organisateur principal, un ancien commando du régiment aéroporté canadien (Airborne), explique que le froid était extrême et le danger omniprésent. « Ce voyage extraordinaire vers la guérison a permis aux participants de prendre conscience de leur appartenance à leur communauté pour lesquelles l’expérience aura permis de renouer avec la vie sur leurs territoires traditionnels comme des rassemblements sur le Nitaskinan (notre terre) pour les Atikamekw. L’amour pour les diverses communautés autochtones que visait cette expédition a démontré une ouverture vers un avenir très prometteur pour les Premières Nations. » M. Flamand a été ému de l’accueil chaleureux que les participants ont reçu dans les diverses communautés visitées et de la fierté qu’il y a perçue. 

À la fin de la traversée de cette gigantesque terre ancestrale, les participants de cette odyssée unique au monde, qui a commencé à Manawan, ont été accueillis en héros par la population de Uashat mak Mani-utenam (Sept-Îles), leur destination finale, le 4 mars dernier. Cette excursion sur ces territoires traditionnels restera gravée dans la mémoire collective pour les décennies à venir.

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Publié le 13 mars, 2023, dans la publication : Numéro_05 Volume_41

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Publié sur le site le 13 mars 2023

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Course d’endurance à motoneige

Le retour attendu de Cain’s Quest tombe à l’eau

par Éric Cyr

La plus longue course d’endurance à motoneige, la Cain’s Quest, un titre que revendique aussi la Iron Dog en Alaska aux États-Unis, a gagné en popularité depuis sa création en 2006. L’épreuve sportive biennale est reconnue comme ayant l’un des parcours les plus difficiles au monde. Le départ et l’arrivée de l’événement se font à Labrador City.

Le nombre de coureurs a malheureusement diminué après une annulation en raison de la pandémie en 2022. Qu’à cela ne tienne, une trentaine d’équipages composés de deux motoneigistes expérimentés a relevé ce défi biennal d’envergure, nécessitant une préparation de longue haleine, en s’alignant au départ de cet affrontement de calibre international qui s’échelonne sur un itinéraire de 3100 kilomètres à travers le vaste territoire du Labrador, le 4 mars dernier.

Les participants ont franchi le fil de départ de l’édition de 2023 qui s’est effectué sur le lac Tanya. Ils ont enfourché leurs bolides rugissants, mais tous n’ont pas réussi à terminer le trajet dont le degré de difficulté est très rehaussé et qui exige une détermination, une discipline et une ténacité exemplaires. Cette année, les athlètes provenaient tous du Canada et étaient exclusivement originaires du Québec et de Terre-Neuve-et-Labrador à l’exception d’un motoneigiste de Kitimat, en Colombie-Britannique, et d’un autre coureur de Fort McMurray, en Alberta, ainsi que d’une équipe finlandaise, Wild Nordic Finland, dont les coéquipiers sont de la région d’Ostrobotnie du Nord, situé juste au-dessous de la Laponie, soit de la petite station de sports d’hiver d’Iso-Syöte et de la ville de Pudasjärvi au nord de la Finlande en Europe.

Délégation des Premières Nations

Plusieurs représentants autochtones incluant des Cris (Chisasibi et Mistissini, Nord-du-Québec), des Innus (Matimekush-Lac John, Schefferville, Côte-Nord ainsi que Natuashish et Sheshatshiu, Labrador), des Naskapis (Kawawachikamach, Schefferville, Côte-Nord) et des Inuits (Kuujjuaq, Nunavik, Nord-du-Québec), se sont aussi élancés vers la grande aventure sur des sentiers non damés à travers les régions sauvages du Labrador où ils ont pu mettre à l’épreuve leur courage et leur débrouillardise. De nombreuses difficultés attendaient les athlètes endurcis qui ont dû affronter les caprices de dame nature durant leur parcours rempli d’embûches naturelles.

Avant de prendre part à Cain’s Quest et en symbole de solidarité, certains motoneigistes autochtones ont été rendre visite à leurs confrères de l’Expédition des Premières Nations dans la ville voisine de Fermont, le 2 mars.

Représentation féminine

Aucune participante n’était inscrite à cette compétition dominée par les hommes. Coreen Paul, originaire du Labrador et habitant au Nouveau-Brunswick, qui était auparavant la seule femme motoneigiste à avoir terminé l’épreuve en 2012 partage aujourd’hui cet exploit avec sa coéquipière de l’édition de 2020, l’Américaine originaire de l’Alaska, Rebecca Charles, avec qui elle a pris l’alignement de cette année-là au sein de la première équipe féminine à avoir complété le très difficile circuit enneigé.

Annulation et déception

La course a malheureusement été annulée à mi-parcours, le 7 mars, à cause de la pluie et de la fragilité de la nappe de glace de mer. En route vers un point de contrôle à Port Hope Simpson à plus de 900 km du départ, un membre de l’équipage finlandais s’est retrouvé dans l’eau glacée. Heureusement, il s’en est sorti indemne.

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Publié le 13 mars, 2023, dans la publication : Numéro_05 Volume_41

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Publié sur le site le 13 mars 2023

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25e anniversaire du référendum de 1995

La députée Marilène Gill souligne l’événement

par Éric Cyr

Source photo : BQ

À l’occasion du 25e anniversaire du référendum de 1995, le chef du Bloc québécois, Yves-François Blanchet, et la députée nord-côtière de Manicouagan et responsable de la circonscription de Gaspésie-Les Îles-de-la-Madeleine, Marilène Gill, ont tenu à souligner cet événement historique en faisant preuve d’optimisme.

Le 30 octobre dernier, il y a 25 ans, les Québécois votaient « Oui » à 49,9 %, faisant largement progresser l’option souverainiste comparativement aux 40 % obtenus au premier référendum de 1980. « Dans mon esprit, ce ne fut pas la fin de l’idée indépendantiste, mais bien un moment de progression extraordinaire. Notre devoir maintenant, en tant que Québécois et souverainistes, est de continuer d’avancer et de comprendre ce qui aurait pu être fait autrement, pour que la prochaine fois soit la bonne », a déclaré Yves-François Blanchet dont le parti politique fait la promotion de l’indépendance et de la défense des intérêts du Québec.

Viabilité et vitalité

« Il faut démontrer la viabilité, voire la vitalité d’un Québec qui se voudrait prospère et écologique, qui miserait sur la création de richesses dans nos régions, sur notre innovation et nos PME (petites et moyennes entreprises) et qui se développerait à partir de nos richesses naturelles et de notre énergie propre », a renchéri Marilène Gill. Vingt-cinq ans après le second référendum sur l’avenir du Québec, la députée de Manicouagan, qui avait voté « Oui », se remémore le dénouement serré de ce second référendum, tout en précisant que l’avenir du mouvement n’est pas hypothéqué en soi, loin de là.

En route vers l’avenir

« La jeunesse énergique du nouveau chef du Parti québécois (Paul St-Pierre-Plamondon), le nationalisme affirmé du gouvernement de la CAQ (Coalition avenir Québec) et la présence forte du Bloc québécois à Ottawa ainsi que les agressions répétées du gouvernement fédéral contre le Québec plantent un décor où le Québec pourra de nouveau mettre en scène sa marche vers la souveraineté », a affirmé la députée bloquiste. « L’indépendance, nous la ferons parce que les gens qu’on aime, la culture et les valeurs qui nous forgent et la langue qui nous définit méritent de s’épanouir en toute liberté, dans un Québec qui se distingue en Amérique du Nord et dans le monde. Vive l’indépendance du Québec ! » a conclu Mme Gill.

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Publié le 16 novembre, 2020, dans la publication : Numéro_19 Volume 38

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Publié sur le site le 16 novembre 2020

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